En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
En salle
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17 octobre 2008
Marylise Lebranchu à Loudéac ce week-end
C'est Anthony qui me l'apprend. Ca tombe bien, moi aussi je vais à Loudéac. Par contre, ça m'étonnerait que vous me trouviez dans une librairie à 10 heures du matin. Vous feriez mieux d'essayer le Vincennes vers 18 heures ou après 21 heures.
Mais peut-être qu'elle sera au bistrot aussi après sa journée !
RépondreSupprimerUne bière bien méritée !!!
:-)))
[Madame Lebranchu : allez boire un verre avec Nicolas, il est très sympa !].
On ne peut rien faire contre cet abruti qui poste partout la même chose ?
RépondreSupprimer:-]
Ta gueule.
RépondreSupprimerPoireau,
Dis pas ! Son père était mon toubib quand j'étais môme... Alors s'il savait que je vais au bistro...
Poireau,
RépondreSupprimerLe "ta gueule" ne s'adressait pas à toi mais l'imbécile anonyme.
Nicolas : j'avais fait le tri !
RépondreSupprimer(il me saoûle ce crétin avec son message réitéré...).
:-)
D'ailleurs tu es au courant pour son père?
RépondreSupprimerIl s'est fait électrocutu.
Drôlement mal fréquenté, ce bled...
RépondreSupprimerMaxime,
RépondreSupprimerTu ne l'as pas déjà faite, celle là ?
Didier,
Il est surtout fréquenté par des Loudéaciens...
Alors là, je dis stop !
RépondreSupprimerJ'étais persuadé que son père était médecin, jusqu'à ce qu'un tenancier de blog me signifie qu'il était censeur de collège (non à la censure !).
Et maintenant, paf.
Ah ! Je me suis gouré. Le Docteur Lebranchu, c'est le beau père !
RépondreSupprimerCombien de librairies , combien de bistrots à Loudéac?
RépondreSupprimerPour les librairies, deux je crois. Pour les bistros, je n'ai jamais réussi à les faire tous en une soirée !
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