Agnès Maillard est une des blogueuses qui sait écrire. "Il m'en aura fallu du boulot pour sortir ce premier opus des Chroniques du Monolecte sur papier. Du boulot et des encouragements, de mes amis, de mes proches. Du boulot et des coups de main, de sacrés coups de main, tous bénévoles, en plus. Déjà, il y a la couverture, dont l'illustration a été fort gracieusement créée par ©Olivier Ffrench qui allie le savoir-faire numérique avec l'imagination artistique. Ensuite, il y a la photo de quatrième de couverture, un portrait sur lequel ©Éric Despin s'est bien pris la tête pour parvenir à un résultat probant malgré un modèle peu coopératif. Il faut m'imaginer en talons, petite jupe et décolleté — que certains ont laissé entendre très plongeant — écrasée par une migraine atroce, en train de sourire comme un barracuda sous amphétamines, dans un studio qui s'était franchement frigorifié avec l'arrivée de l'automne. Le tout pendant trois heures. Avec des coupures rushe où je dois me regarder à en oublier mon propre reflet. Bien de la patience, Éric !
Enfin, il y a eu John, qui me lit et me corrige en ligne depuis bien des mois et qui s'est cogné la relecture attentive des 440 pages du projet. Je peux vous le dire pour avoir une bonne demi-douzaine de relectures du bousin à mon actif : c'est éprouvant. Et c'est pénible. Et c'est interminable. Et... c'est chiant ! Affreusement chiant.En fait, Le Syndrome du poisson rouge était prêt depuis un mois. Un mois pendant lequel j'ai attendu mon numéro ISBN de l'AFNIL. Bon, là, tout va bien, j'en ai eu dix pour le même prix. Parce que ce n'est jamais que la Saison 1..., j'ai plein d'autres choses sous le coude. Des projets, des envies, des idées. Mais bon, ça dépendra aussi un peu de l'accueil que vous allez faire à ce livre. La balle est dans votre camp.
Noël approche.
C'est le moment de glisser un Monolecte sous le sapin !".
Pour vous le procurer, c’est simple c’est ici... et vous cliquez sur « ajouter au panier »…voilà c’est fait… bravo, c’est un excellent choix. (phrase honteusement pompée chez Marc)
Merde, je croyais que tu l'avais lu !
RépondreSupprimerAgnés Maillard sait peut-être écrire,mais pas le mot "syndrome" en tout cas.
RépondreSupprimerEt ça la fout mal.
Purée, ça sent le copinage, tout ça ! On se croirait dans un parti de droite, là !
RépondreSupprimerSinon, je ne veux pas faire mon cynique, mais enfin, n'importe quel blogueur a le loisir de s'auto-éditer, si la fantaisie lui en prend. Il faut juste avoir le blé pour et se croire écrivain.
euh... toutes les méchancetés qu'il y avait à dire l'ayant été, ou presque, je me contenterai d'ajouter que... d'abord moi j'en connais plein des blogueuses qui "savent écrire"... wouah !!! quel compliment... "une des blogueuses qui sait [et non "savent"] écrire", ça te jette un froid. Ca te juge du haut d'un numéro.
RépondreSupprimerBon, je retourne à mon tricot...
PS: merci pour l'info, quand même... on ira lire (peut-être) car à défaut de savoir écrire...
Bravo à Agnès qui sait écrire et nous faire sourire !
RépondreSupprimer:-))
Pour le coup, elle aurait pu solliciter de vrais éditeurs (je ne parle pas de Filaplomb et ses petits livres) plutôt que Lulu qui est juste un photocopieur en ligne. En tout cas, cette critique n'enlève rien à sa plume !
:-))
son blog est dense (un peu trop) mais elle sait vraiment écrire.J'achète et je soutiens!
RépondreSupprimercec i dit purée, il est cher son livre à compte d'auteur. Bon j'achéte quand même mais bon...
RépondreSupprimerConnard anonyme : la faute est de moi.
RépondreSupprimerLes autres,
Bonjour...