Imaginons qu’un soir de bonne humeur légèrement arrosée, nous mettions Geneviève enceinte par mégarde et par devant.
Gene aura alors la possibilité d’avoir l’enfant « normalement », d’accoucher « sous X » ou de choisir une IVG (ce qui serait la meilleure solution, les éducateurs sociaux ayant suffisant de travail). Je résume, hein !
L’homme, le fier géniteur, lui n’aura aucun choix. Si Gene renonce à l’enfant, il devra renoncer à l’enfant (ce qui semble tout à fait normal, d’ailleurs). Si Gene souhaite garder l’enfant, le père sera obligé (éventuellement après la majorité du môme) d’en reconnaître la paternité, par la loi.
Mais ZoneErogène vous expliquera ça bien mieux que moi.
Je souhaite juste savoir ce qu’en pensent mes copines blogueuses…
Oh, ça, c'est un sujet qu'elles évitent soigneusement, en général. Puisque c'est l'un des rares domaines où elles nous ont retiré tout pouvoir et toute initiative, elles préfèrent rester discrètes, forcément...
RépondreSupprimerJe dirais que d'un autre coté, quand Geneviève est enceinte, elle n'a pas le choix, elle doit subir la grossesse non désirée et/ou l'avortement.
RépondreSupprimerInjustice de la nature compensée par une injustice juridique?
Ça ne me choque pas. Celle qui se tape 9 mois de grossesse a bien le droit de dire non au bébé si elle le souhaite, c'est son corps.
Elle peut le garder si elle le veut aussi, après tout c'est elle qui le porte.
A mon sens il est normal que la décision lui appartienne car elle engendre plus de conséquences sur elle et l'inverse serait injuste. Et on est tous d'accord pour dire que le mieux serait de trouver un compromis.
Par contre, ça me semble moins normal qu'il soit obligé de le reconnaître s'il ne l'a pas voulu. Il devrait avoir le choix lui, en son nom, de l'accepter ou non.
Pour faire plaisir à Didier, je dirais que tant que la maternité est un inconvénient majeur dans la carrière professionnelle des femmes, il est normal d'en garder quelques avantages... liés à la biologie.
RépondreSupprimerSinon, je ne savais pas qu'un homme était obligé de reconnaitre sa paternité : est-ce seulement biologique (pour que l'enfant sache qui est son père) ou aussi juridique (pour exercer ses droits et devoirs de père) ?
Je croyais que les hommes pouvaient renoncer à leurs droits de paternité...
Si tel est le cas un système plus équilibré serait souhaitable : ca serait l'accouchement sous y... :-)
Didier,
RépondreSupprimerOuais...
BDMarmotte,
Il est bien joli ton commentaire pour dire que j'ai tort mais il finit par la même conclusion que moi : "Il devrait avoir le choix lui, en son nom, de l'accepter ou non."
Il ne l'a pas. Tu es rentrée dans le lard comme si j'allais exiger la suppression de droits pour les femmes... Tu es tombée à côté.
Polluxe,
Vous n'avez qu'à accoucher pendant les congés.
Oui, je pensais à l'accouchement sous y !
(pour les détails juridiques, va voir le billet que j'ai mis en lien).
Je l'ai déjà lu. Mais il reste des zones d'ombres...
RépondreSupprimerIl n'y a pas de SAV ?
RépondreSupprimerCe n'est pas infamant de reconnaître ses enfants : même Louis XIV a reconnu la moitié de ses bâtards...
RépondreSupprimerEt puis les mecs n'ont qu'à prendre la pilule, ce truc contraignant et qui colle sans doute le cancer...Ou mettre des capotes, parce qu'en plus de se voir appeler Papa, il se pourrait bien que le mec à Geneviève se retrouve avec la chtouille...On s'rait beau... :)
CC,
RépondreSupprimerToi aussi, tu bottes en touche pour éviter le sujet du billet : une femme peut refuser d'avoir un enfant "légalement". Pas un homme.
(ce qui n'empêche pas les contraintes des femmes : pilules, grossesse, ...).
La capote n'est pas légale ? ça y est, le pape a gagné ?
RépondreSupprimerJe ne pense pas botter en touche quand je dis que les hommes devraient faire un peu plus attention à leur semence et qu'il est rare qu'une femme viole un homme pour faire un enfant. Je ne dis pas que ça ne peut pas arriver, mais c'est quand même pas souvent dans ce sens là que ça se passe, les viols...
CC,
RépondreSupprimerTu continues à botter en touche. Une capote ça se casse, une femme peut faire croire qu'elle prend la pilule, elle peut manipuler un homme pour avoir un enfant et je t'en passe.
A partir du moment où l'enfant est conçu, l'homme n'a plus "aucun" droit.
Tout ça pour dire que le combat féministe doit (je dis "doit" pour provoquer, ce n'est pas mon problème en fait) évoluer (sauf pour les populations en difficulté, notamment les jeunes filles) : les progrès sociaux, économiques, moraux, techniques, sont passés par là. L'IVG est légale et la pilule du lendemain existe.
Elle fonctionne assez difficilement sur l'homme.
Il y a des cas où Geneviève se retrouve toute seule parce que monsieur a pris la poudre d'escampette, il y a de fois où Geneuviève a 15 ans et ça fout bien la m... chez maman, il y a des cas où Geneviève n'a pas le choix et est contrainte d'avorter. Geneviève, ça pourrait être ma copine Vanessa qui s'est retrouvée toute seule à Saint Etienne, qui n'a pas eu le courage d'en parler autour d'elle et qui s'est faite avorter toute seule comme une grande. Puis l'hopital a appelé le numéro de la copine qui était à l'autre bout de la France, bibi en l'occurence, parce que ça s'était mal passé.
RépondreSupprimerJe comprends que tu voies ça avec les yeux d'un garçon, mais il y a autant d'histoire, il y a autant de problème qu'il y a de grossesses non désirées. Ce n'est jamais facile ni pour l'un, ni pour l'autre.... et Geneviève, ça sera certainement pas avec le sourire qu'elle ira se faire passer un coup d'aspirateur (parce que oui, c'est ça, c'est comme une aspirateur qui racle) à l'intérieur.
d'accord avec mes cops ! crois moi nicolas, je connais bien le problème (par mon boulot ...) c'est toujours les mecs qui se sauvent et la pauvre maman se retrouve toute seule pour éléver son enfant. Certes la mère peut choisir de l'avoir ou de ne pas l'avoir cet enfant quelques fois contre l'avis du père mais c'est très rare ! d'autre part le père n'est pas du tout obligé de reconnaître son enfant ! il peut le faire bien sur à n'importe quel moment mais il n'est pas obligé
RépondreSupprimerJu,
RépondreSupprimerJe ne dis pas que le dispositif de protection des femmes n'est pas justifié (je dis même en réponse à CC qu'il faut le renforcer pour certaines populations).
Il n'empêche qu'il y a une faille juridique : un homme ne peut pas refuser d'avoir une enfant une fois qu'il est conçu alors qu'une femme le peut.
Par ailleurs, il n'y a pas que des hommes qui prennent la poudre d'escampette devant des saintes, il y a aussi des gugusses qui se font avoir par des filles qu'ont envie de tirer un coup.
"Je comprends que tu voies ça avec les yeux" d'une fille mais tous les hommes ne sont pas des salopards et toutes les femmes ne sont pas des saintes...
Je propose que tout le monde devienne gay. Plus de problème. Laissons le soin de faire des enfants aux curés.
RépondreSupprimer:)
Scourti,
RépondreSupprimerVa voir le billet que j'ai mis en lien : il est obligé.
Ton commentaire a un côté burlesque : évidemment que c'est la mère qui se retrouve avec l'enfant, c'est elle qui le porte. Un homme NE PEUT PAS se retrouver tout seul avec un enfant, si la mère se barre au bout de quelques mois (ce qui est rare, je suppose, mais arrive) il prendra son mal en patience sans se plaindre aux services sociaux.
CC,
RépondreSupprimerREFUSE.
bravo pour ton humour CC ! c'est la mère qui porte l'enfant nicolas cela résume tout a mon avis il n'y a pas de vide juridique, sans mère pas d'enfant ! voilà
RépondreSupprimerScourti,
RépondreSupprimerEt sans père, il y a des enfants ? Un peu de sérieux.
En outre, je ne crois pas avoir parlé de "vide juridique" juste d'inégalité devant la loi (pour "compenser" une inégalité biologique, mais ce n'est pas moi qui exige l'égalité !).
Sérieux, y'a des lesbiennes qui seraient heureuses de trouver des géniteurs qui ne veuillent pas reconnaître leur enfant par la suite. Et ce droit leur est refusé, à cause de cette loi injuste...
RépondreSupprimerCC,
RépondreSupprimerOn est d'accord, la loi est injuste.
Mais relis bien les commentaires ci-dessus des copines (peut-être toi, d'ailleurs) : l'homme devrait être responsable de sa semence selon elles...
Mais c'est un autre sujet (conséquence de celui-ci).
@ Nicolas, oui ca je t'en ai parlé sur twitter des nanas qui se font mettre enceintes et se tirer, ca arrive aussi et c'est ce que je te dis, il y a autant de bordel que de grossesses non désirées.
RépondreSupprimerJe suis d'accord qu'il y a un vide juridique, au lieu de brasser de l'air entre nous, pourquoi n'écririons ous pas une lettre au ministre de la famille pour faire une demande ?
Oui, on est d'accord, évidemment.
RépondreSupprimerCe qui n'empêche pas que les hommes doivent être responsables de leur semence, ce qu'ils ne sont pas la plupart du temps, laissant le soin à la femme de gérer ça. Et depuis toujours...Le coït interruptus n'est pas tellement fiable et l'abstinence pas tellement humaine...
Mais une loi est toujours là pour le plus grand nombre et pour protéger les victimes potentiellement les plus nombreuses. Et les victimes les plus nombreuses sont les femmes dans ce cas-là.
Les hommes "obligés" d'assumer leur paternité alors qu'ils avaient été contraints à donner leur semence contre leur gré et les lesbiennes sont des exceptions.
Les lois sont faites pour le meilleur possible. Et les jugements qui peuvent faire jurisprudence sont là pour les cas particuliers...
Juju,
RépondreSupprimerCe n'est pas un vide juridique mais une législation qui a une "erreur".
Pour ce qui concerne ta dernière phrase : "au lieu de brasser de l'air entre nous, pourquoi n'écririons ous pas une lettre au ministre de la famille pour faire une demande ?"
1. Je ne suis pas un spécialiste, je n'ai pas les compétences pour analyser une loi (je me base, ici, sur un billet de blog) et donc pour faire des propositions.
2. Je ne sais pas si c'est un vrai problème ! Combien de père sont-ils concernés ? Dix par ans ? Faut-il mobiliser un ministre, des députés et des sénateurs pour ça ? Pour ma part, j'ai juste fait un "appeau à troll" parce que les commentaires de l'autre billet devenaient "lourds" (les gens qui commentent oublient souvent qu'ils sont dans un lieu public et que ça n'est pas qu'une conversation de comptoir) (c'est aussi pour ça que je les aime !).
3. Je suis un blogger pas un militant. Je suis bon pour faire des billets de blogs, animer un peu le bazar et le temps que je passe à "brasser" de l'air, je n'ai pas le temps de le consacrer à faire une bafouille au ministre (et tout ce qui va autour : monopoliser les signataires, ...) (à l'époque du No Sarkozy Day, je m'étais vautré à ce sujet car les autres participants n'avaient pas compris le rôle du blogueur : diffuser de l'information, faire bouger, ...). Or il faut de tout dans la politique, y compris des gens pour faire un peu de bruit dans les blogs.
tu as parlé de faille juridique ... c'est de la provoc ou quoi ? un père n'est jamais obligé et je le soutiens, de reconnître son enfant. J'ai lu le lien et ça ne concerne que des cas très rares. Tu vois il faut que cette loi existe sinon jamais une mère ne pourrait faire reconnaître au père ses droits et...... ses devoirs ! Mais les enfant dans tout ça est ce qu'on y pense ? Imagine : un enfant est reconnu à sa naissance par un monsieur qui n'est pas son père, (c'est possible) après quelques année le vrai père se reveille et veut reconnaître son enfant, il le peut et c'est à ce moment là qu'il y a recherche en paternité. Donc l'enfant fils ou fille d'untel se retrouve pendant quelques temps fils ou fille de deux pères et après avis du procureur fils du monsieur qui ne l'a pas reconnu à la naissance ! c'est bien pour cet enfant qui va bien sur changer de nom aussi !
RépondreSupprimerEt pourquoi ne pas faire du lobbying auprès des labos pour la contraception masculine ?
RépondreSupprimerA lire article très intéressant dans Causette de ce mois-ci (extrait ici http://www.causette.fr/articles/lire-article/article-158/la-contraception-masculine.html)
CC,
RépondreSupprimer"Ce qui n'empêche pas que les hommes doivent être responsables de leur semence, ce qu'ils ne sont pas la plupart du temps, laissant le soin à la femme de gérer ça."
Il y a quand même un certain nombre de ménages où tout va bien, où le père assure, garde les mômes, font la lessive, vont les chercher à l'école, prennent des congés quand ils sont malades, ...
Stop au "tous des salopards". Merci...
Pour le reste, c'est ce que je réponds à Ju : on ne va pas modifier la loi pour quelques exceptions.
Je ne parle pas du ménage et de la vaisselle ! Je parle de la semence ! Juste l'acte sexuel ! Je ne connais pas beaucoup de mecs qui prennent la pilule ! Et ceux qui mettent un préservatif de leur propre initiative le font surtout en pensant à leur santé, au SIDA et pas vraiment à l'enfant qu'il pourrait provoquer ! (En tout cas les garçons de ma génération qui ont été sensibilisés au problème du SIDA)
RépondreSupprimerFaire la vaisselle, c'est super ! Je ne dis pas le contraire et je n'ai surtout pas dit que tous les mecs étaient des salauds ! Ce n'est pas parce que je préfère les femmes que je dénigre les hommes !
MIP,
RépondreSupprimerPas d'avis sur le sujet. Mais ça ne changera rien au fond du problème (sur le fond on est d'accord : l'homme et la femme devraient porter la même responsabilité).
Scourti,
Il a bien une différence entre "faille" et "vide" juridique mais ce n'est qu'une bricole.
Et évidemment que l'intérêt de l'enfant est à voir en premier. Et la faim dans le monde aussi, et l'Islamisation, et le prix de la bière.
Mais ce n'est pas en disant qu'il y a des problèmes plus importants qu'on résout les autres...
Et voilà, comme prévu, aucune n'admet que les femmes ont conquis, par la science, un pouvoir unilatéral sur l'une des choses les plus fondamentales : la propagation (ou non...) de l'espèce...
RépondreSupprimerCC,
RépondreSupprimerTu as eu de la chance, à "mon époque", le sida était encore un tabou... (18 ans en 84).
Et il y a une époque où on ne parlait pas de sida, où on faisait l'amour sans capote parce que c'est mieux et où les seuls vrais moyens de contraception étaient de la responsabilité "exclusive" de la femme (j'abuse, l'homme pouvait demander "tu as bien ta pilule régulièrement ma chérie ?").
Mais on dérive : jusqu'à la fin des temps, c'est la femme qui portera l'enfant et supportera tous les désagréments liés à la grossesse...
Didier,
RépondreSupprimerMais non, la science permettra aux hommes de devenir enceints.
Quand je pense que c'est un réac qui gueule.
il ne s'agit pas d'éluder un problème en parlant d'un autre plus important, il s'agit de parler du vrai problème dans tout ça : L'ENFANT ! depuis toujours les hommes fuient leur responsabilité, les femmes leur font des enfants dans le dos etc etc .... et qui paye à la fin le plus : L'ENFANT !
RépondreSupprimerfaille et vide ce n'est pas pareil, si tu le dis je te crois.
Scourti,
RépondreSupprimerL'enfant n'est pas l'objet du billet. Le vrai problème est bien l'enfant.
Mais s'il y a de la contraception en fin de compte, il est assez peu concerné...
Et il ne faut jamais employer l'expression "vrai problème". N'oublie pas que je suis lu par un tas de réactionnaires. Surtout qu'on se plante sur le vrai problème : le vrai problème est la condition de la mère désespérée, la démographie en général, l'évolution de la société (bordel, 40 ans après 68, il y a encore des gonzesses qui se font engrosser par mégarde et qui ne savent pas quoi faire).
pardon pour le "brasser d el'air" mais je ne l'employais pas sur un ton négatif. Ce que je voulais dire c'est "allez, bougeons, s'il y a des gens à aider !" rien de plus.
RépondreSupprimerJe ne suis ni inteklligente, ni cultivée mais ce que je sais c'est que l'action permet parfois de faire bouger les lignes... sans plus.
désolée si je me suis mal exprimée.
Mais effectivement, si on modifie la loi pour des exceptions, on fait nue loi pour une minorité et ça m'embête en terme de laïcité.
je sais que l'enfant n'est pas le sujet du billet. Tu penses que je vais faire plaisir aux reac en disant cela. Qu'ils arrêtent de se réjouir , je suis pour l'avortement, la contraception, l'accouchement sous X ... et je regrette comme toi que 40 ans après 68, des filles se retrouvent enceintes, rejetées par des parents idiots qui les obligent à garder leur enfant.
RépondreSupprimer@Scourti : bonjour :) Je suis l'auteur de l'article sur le mag ZoneZeroGene.
RépondreSupprimerDonc : bien sûr que la loi permet d'obliger un homme à reconnaître son enfant. L'enfant (ou sa mère pendant la minorité de ce dernier) este en justice par assignation et peut apporter la preuve par tous moyens (témoignages, présomptions, et/ou demande d'expertise génétique, presque toujours accordée par le JAF) de la paternité. Bien sûr, le père prétendu peut refuser le test ADN, ce qui encouragera le juge à en déduire qu'il est bien le père.
Une fois la paternité judiciairement déclarée, la filiation sera établie, et le père assumera ses obligations légales (entretien, éducation, etc).
Voilà pour la précision. :)
Et le sujet de l'article est bien un souci d'inégalité juridique.
par ailleurs, je ne me positionne pas en tant que moralisatrice sur le plan de la prise de responsabilité, mais simplement en tant qu'observatrice de l'état du droit à ce jour.
Je me garde donc soigneusement de généraliser en affirmant que les hommes font "toujours" ceci ou que les femmes font "toujours" cela. Les deux sexes peuvent avoir des comportements très variés...
Je ne nie donc en aucun cas les questionnements qui découlent de mon article, et les positionnements que cela soulève, mais j'ai choisi l'angle juridique parce qu'il me semblait intéressant.
Ju,
RépondreSupprimerNe j'ai pas mal pris le "brasser de l'air" ! J'aide les gens à mon niveau : je fais des billets de blog. Peut-être que je vais convaincre dix ou vingt lecteurs que c'est bien un problème... Ce qui équivaut à pisser dans un violon (comme d'écrire au ministre, mais chacun est plus ou moins bon dans un domaine).
Scourti,
Je suis d'accord avec toi, mais ce n'est pas spécialement à ces "parents idiots" que je pensais mais aux parents qui n'ont pas su élever leurs enfants dans un climat de confiance, leur parler librement de cul et de contraception ou, plus précisément, ne pas savoir les mettre en confiance pour qu'ils abordent les problèmes, soit auprès d'eux-mêmes, soit auprès d'institutions spécialisées : planning familial, infirmières scolaires. Tant que ces machins existent encore.
Les féministes mènent un combat (fort juste, hein, ne détournons pas mes propos) mais il y a au fond un problème "de société", d'exclusion, ... Finalement, de gens bêtes, de semi idiots du village. Et la droite baisse le budget du planning familial, des aides sociales, ...
La Peste,
RépondreSupprimerAh ! Te voila, toi ! Je ne savais pas que j'allais faire recette avec ton billet.
Je trouve l'attaque par l'angle de vue juridique intéressant (bien qu'à moitié anecdotique) parce qu'on recherche l'égalité et le droit propose, en l'occurrence, l'inégalité parce qu'on a rien trouvé de mieux...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBonjour les idées reçues. Allez, je me propose au lynchage.
RépondreSupprimerJ'invite chacun à aller jeter un oeil sur les sites d'associations de pères divorcés qui se battent pour obtenir la garde de leur môme en vain ; même face à des mères négligentes, ils perdent quasiment à tous les coups et au passage, la Justice se charge parfois de les humilier comme il faut. Etre père dans cette société, c'est valoir autant qu'un pet dans le vent. Il faut lire le témoignage de ces hommes qui aiment leurs enfants, le récit de leur souffrance. Elle est vraie, authentique. Pourquoi cherche-t-on à la nier, pourquoi n'en parle-t-on jamais ?
La violence, quand elle s'exerce, n'est pas plus condamnable quand elle s'exerce sur les femmes ou sur les hommes.
De plus en plus de pères sont désireux de s'occuper à temps plein de leurs enfants. Le cliché du père démissionnaire, c'est un préjugé au même titre que celui qui prétend que les noirs ont le rythme dans la peau.
De plus en plus de pères demandent à remplir leur devoir mais on ne leur en donne pas réellement le droit. C'est pourtant l'équilibre dans une société juste que d'observer des devoirs tout en ayant des droits. Des devoirs sans des droits, c'est ce qui caractérise une société totalitaire, pourtant.
Cette biologie à la noix dont vous parlez donne le droit à la mère de "dire non" à l'enfant ou de lui dire "oui" tout en disant souvent "oui" à des très grosses pensions alimentaires. C'est pratique...
Légitimer l'avortement en affirmant que c'est l'expression de la volonté des femmes à disposer de leur corps, c'est là le féminisme dans ce qu'il a de plus con.
A l'époque où nos mères, nos grands-mères se faisaient avorter clandestinement, elles ne le faisaient pas vraiment pour ses raisons, mais parce que majoritairement, elles ne pouvaient pas conjuguer leur vie de femme, leur foyer et leur vie professionnelle. C'était une question de survie pour elle, pas un prétexte aussi bidon que celui qui est ici avancé (d'autant plus qu'aujourd'hui, l'arsenal contraceptif est plus qu'efficace).
En ce temps, nos mères et nos grands-mères crevaient de leurs avortements.
Cette Loi est essentielle non pas parce qu'elle permet aux femmes de choisir si elles ont envie ou non d'être grosses pendant neuf mois, mais parce qu'elle garantit une politique cohérente de santé publique.
Dorham: alors on pourrait imaginer une loi qui demanderait aux deux parents de reconnaitre ou pas l'enfant à sa naissance, avec possibilité pour le père d'abandon sous y comme le dit Polluxe. Il n'aurait après ni droit ni devoir, mais en connaissance de cause. Les femmes qui seraient tentés d'avoir un enfant avec l'arrière pensée de la pension alimentaire réfléchiraient peut-être un peu.L'accouchement sous X perdure plus pour éviter les infanticides qu'autre chose. et d'accord sur ce que vous dites pour la garde des enfants en cas de séparation, mais qui parle du point de vue de l'enfant? Il aurait préféré ne pas être fait du tout qu'être marchandé et balloté à ce point, dans bien des cas.
RépondreSupprimerLes filles,
RépondreSupprimerRangez vos miches, voilà Dorham.
Dorham,
Je ne rentrerai pas dans un débat sur l'IVG, ça n'est pas le sujet essentiel du billet.
Tu as raison sur la fin : ce qui compte, ce sont bien les objectifs de santé publique. Pour le rester, légitimer des trucs en comparant à ce qui se faisait à une autre époque... Bof. Ca me rappelle les commentaire à mon billet sur la lapidation.
Sur le début : les pères ont de plus en plus de droits (mais en tant que célibataire, mon avis, on s'en passera).
Il n'y a pas de "bien" ou de "mal" élever ses enfants.
RépondreSupprimerchez moi, on n'a jamais parlé de ça, pourtant, je suis arrivée tard, la même année que le Sida.
C'est juste que non, fallait pas parler de ça. et bien des années plus tard quand je suis partie, quand j'ai conseillé à mes parents de mettre des capotes quelquepart à la salle de bain pour mon petit frère "au cas où..." ben volée de bois vert. Non, on ne parle pas de ça ici, on, on ne fait pas ça ici.
Mais ça ne m'a pas empechée d'être renseignée, en partie grâce à l'école. Alors oui, on planche surun autre débat, est-ce la misison des profs de filer des infos sur la contraception ?
Suzanne,
RépondreSupprimerIl faudrait une loi qui permettre de choisir le sexe de l'enfant après la naissance.
Plus sérieusement, si la loi était modifiée, on se retrouverait, du coup, avec des salopards, celle que la loi veut empêcher.
Je ne sais pas s'il y a une solution.
Ju,
Ce n'est pas la mission des profs de filer des infos sur la contraception. Il faut bien qu'ils le fassent mais il ne faut pas confondre "enseignement" et "élevage".
C'est aux parents d'élever les mômes. Désolé, je suis assez sensible à ce sujet car on met trop de maux sur l'Education Nationale qui a suffisamment de problèmes comme ça.
@Ju : l'école doit tout faire : le permis de conduire, l'informatique, le sauvetage en mer, la politesse, "Mouche-toi et dis bonjour à la dame..." et la contraception. Entre autre. Mais c'est en effet un autre débat !
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi là dessus à 100% seulement c'es tun constat. Et chez nous, on n'était aps religieux pour deux sous.
RépondreSupprimeralors dans les familles où c'est archi tabou, comment on fait ?
ou alors on laisse les gens des milieux défavorisés se reproduire comme des lapins parce qu'on n'en parle pas et les autres se gérer.
C'est ce qu'il se apsse en Egypte...
CC,
RépondreSupprimerJ'ai répondu la même chose à Juju mais avec d'autres mots.
Juju,
Oui, mais ça nous éloigne du sujet du billet.
Dorham : un femme n'a pas envie d'être grosse pendant neuf mois mais d'attendre un enfant. Bonjour la délicatesse !
RépondreSupprimerZoneZeroGene : c'est juste que quand tu dis ça tu généralises alors que cette loi ne s'applique que dans des situations particulières (Présomption de paternité).
Nicolas: ben à part donner le permis de procréation après stage civique probatoire , garanties médicales et banquaires, on est bien obligé d'accepter les effets pervers d'une loi faute de mieux.
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerOui. Mais ça n'empêche pas de parler des effets pervers...
Scourti,
On est forcément dans des situations particulières...
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer@Scourti : désolée, mais tu fais erreur. L'ordonnance n° 2005-759 du 4 juillet 2005 portant réforme de la filiation a supprimé l’exigence de présomptions et indices graves de paternité. La présomption de paternité n'est donc plus nécessaire pour que l'assignation du père prétendu puisse être faite auprès du JAF.
RépondreSupprimerEt j'aurais pu aller plus loin en mentionnant l'action à fins de subsides, qui sans même établir un lien de filiation (ce n'est pas l'objectif de cette action) permet d'obtenir de l'argent de l'homme qui a eu des relations intimes avec la mère pendant la période légale de conception. Mais c'est un autre débat juridique :).
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerquand je dis "situations particulières", je me comprends et ça ne va pas être facile de t'expliquer. Je vois presque tous les jours des situations qui ne sont pas des situations qu'on pourrait dire "normales". donc la présomption de paternité ... c'est vraiment pour moi une situation très rare.on ne rentre pas dans les détails, ça ferait plaisir aux réac, a dorham qui engrosse et à toi qui a lancé un sacré débat sur la blogosphère !
RépondreSupprimerZoneZerogene : il faut donc que je relise cette ordonnance et je m'en vais le faire dès demain. Merci.
RépondreSupprimerJe n'ai pas lancé de débat, j'ai "piqué" un débat !
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer@Scourti : oui, tu as raison, ne donnons pas de grain à moudre aux réacs. En revanche, pour ce qui me concerne, je ne prends aucun plaisir personnel à lancer des débats (sur la blogosphère ou ailleurs), je me contente de faire mon travail, tout simplement :)
RépondreSupprimerD'ailleurs, je n'encourage pas la polémique stérile (comme certains aiment à le faire en vue de générer du trafic) puisque je veille sur le mag à ce que les échanges se fassent dans le respect des opinions de chacun(e). L'échange de vues est toujours intéressant et sur ZoneZerogene, mon lieu de travail, je veille à ce qu'il puisse se faire en toute sérénité : chaque commentateur doit pouvoir s'exprimer sans stress. Mais je gère l'interactivité de façon à éviter le clash, ne serait-ce qu'entre lecteurs : ça ne présente aucun intérêt et il n'y en a jamais sur le site. :)
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerNon, je crois qu'il y a un malentendu, je n'ai pas su me faire bien comprendre. C'est trop compliqué par écrit.
RépondreSupprimerSupprimez donc mes posts, car c'est vrai que je ne veux pas choquer les femmes, je veux juste rappeler que les hommes ont des droits... et que les femmes aussi.
Que chacun doit prendre ses responsabilités, mais bon, je comprends que mes réponses puissent être mal interprétées.
Effacez donc mes posts, car c'est vrai que je ne veux choquer personne,je ne sais décidément pas communiquer mes idées. Pardon pour le dérangement.
A bientôt Ema^^
Ema,
RépondreSupprimerIl n'y a pas de problème ! Je supprime vos deux derniers commentaires.
Grand merci, pardon encore Nicolas, loin de moi l'idée de faire du mal...
RépondreSupprimerScourti,
RépondreSupprimerJe ne suis pas très délicat comme gars, faut dire.
Je ne prétends pas savoir ce que c'est que vivre une grossesse. Comment oserais-je ? Du reste, je n'ai pas souhaité assister à l'accouchement de mes 3 enfants (chacun son job) dont je m'occupe et m'occuperais seul si nécessaire.
Il me semble d'ailleurs que c'est la condition sine qua none avant de décider de garder un enfant : savoir que l'on pourrait s'en occuper seul en cas de pépin (séparation (même si ça ne m'arrivera pas), décès (ça, ça peut arriver)).
Cette question de l'enfant touche à l'intime le plus pur, les pères aussi, je ne pourrais pas aller plus loin dans le débat sans raconter ma vie et mon expérience, et je ne le souhaite pas. Mais il y aurait beaucoup à dire et beaucoup d'aspects à mettre en lumière.
----
Suzanne,
ça, c'est un autre débat. On ne va pas aborder ce sujet, je suis catholique, donc, je ne crois pas au divorce :)
Ema,
RépondreSupprimerJ'ai bien compris. On dit des trucs dans le feu de la discussion !
Dorham,
Vive les cathos : ils sont optimistes.
Ah bon, je suis un réac moi ?
RépondreSupprimerBon, ben, ça va faire plaisir à Didier...
(pffff)
Dès qu'on n'est pas d'accord, on est réac faut croire.
Si il faut nier que les femmes sont grosses lorsqu'elles sont enceintes. J'étais pourtant sûr de trouver ma femme (féministe du reste) plus svelte quand elle n'est pas enceinte.
Bon, okay, je n'engrosse pas, je fais l'amouuuuur !
(pour info, Scourti, j'ai écrit cela parce que les féministe quand elles parlent de disposer de leur corps, elles mentionnent cet aspect là : la déformation du corps, les bouleversements hormonaux, les vergetures...etc... ; être enceinte n'est pas une sinécure quoi...)
dorham serait presque un mec bien s'il n'était un maudit papiste.
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerIl fait partie des gens qui payent pour aller voir le pape ?
Nicolas,
RépondreSupprimerQui me quitterais ? Soyons sérieux :)
Dorham,
RépondreSupprimerOui, j'oubliais que ton épouse est sourde.
Nicolas: ah oui, payer pour voir le Pape. C'est bien trouvé. Et plus on paie, meilleure est la place au Paradis, comme au temps des indulgences ? Les juifs doivent se féliciter de ne pas avoir de Pape, eux, radins comme ils sont.
RépondreSupprimer(c'était la minute "faisons plaisir à Rimbus", qui veut qu'on ne médise pas d'une religion en oubliant les autres)
Dans ce cas, allons médire chez Yann.
RépondreSupprimerDorham : le plaisir est très émoussé, car je le sais depuis longtemps...
RépondreSupprimerça m'a toujours posé problème, j'y vois en effet une discrimination en défaveur de l'homme, mais je ne vois pas non plus d'alternative concevable...
RépondreSupprimerOcéane,
RépondreSupprimerIl n'y en a probablement pas.
Papiste, c'est quelqu'un qui préfère son Papa ?
RépondreSupprimer---
Didier,
Et si un jour je vous disais que vous avez raison ? ça vous ferait pas un deuxième trou du cul ?
---
Suzanne,
Vous savez, je ne risque pas de changer. Les Evangiles constituent quelque chose d'immense pour moi. Je sais que ça fait ringard et je m'en fous.
Rousseau qui a beaucoup oeuvré contre les religions, contre la catholique en particulier, ne disait pas autrement. Les vraies Lumières sont là-dedans. Le Pape, le Pape, c'est juste un intendant en chef... Il est parfois bon, parfois médiocre. On attend un millésime.
Le Pape, le Pape, c'est juste un intendant en chef... Il est parfois bon, parfois médiocre. On attend un millésime.
RépondreSupprimerexcellente réplique.
Tiens, à propos de bondieuseries, z'avez lu "le Judas de Léonard," de Perutz? Léonard de Vinci traine un peu pour finir la Scène, il n'arrive pas à trouver son modèle pour le personnage de Judas.
(Nicolas va me lapider pour hors sujet)
Non, je ne l'ai pas lu.
RépondreSupprimerMerci du tuyau chère Suzanne.
(ne lui jette pas la pierre Nicolas, ni Pierre d'ailleurs)
Dorham, pour me forer un nouveau sphincter, il vous faudra trouver plus inattendu que de m'annoncer que vous êtes devenu ce que vous étiez déjà.
RépondreSupprimerElle est comment la Geneviève ?
RépondreSupprimerBon je me permet de rajouter mon grain de sel... Est-ce que ce n'est pas un peu facile l'accouchement sous Y pour l'homme ? Du genre, à deux on fait un gamin, la femme porte l'enfant et après l'accouchement et bien oh non finalement le père ne se sent pas d'être père et annonce qu'il accouche sous y laissant la maman toute seule... Bon j'imagine que ce ne serait pas fréquent et que l'idée c'est plutôt de protéger l'homme d'une femme lui faisant un enfant dans le dos... Mais mon scénario pourrait aussi se produire....
RépondreSupprimerUn sphincter n'est pas vraiment un trou vous savez... C'est un muscle...
RépondreSupprimerJ'ai une amie qui est "tombée enceinte" et qui a gardé l'enfant malgré le désinvestissement du papa (et son départ)... Finalement, il le voit, il l'aime, il s'en occupe.
RépondreSupprimerCertes, mettre devant le fait accompli n'est pas "honnête" mais je ne crois pas que ce soit nécessaire de légiférer sur la chose. Et puis.. un homme pourrait toujours dire, tardivement, quand les choses se gâtent entre les parents, cet enfant je n'en voulais pas. Il est d'ailleurs bien assez fréquent de voir cette situation dans les séparations: désinvestissement de certains pères quant à la garde et la pension. Et pourtant l'enfant fut désiré, reconnu....
Soit un accident de capote.banal malheureusement, aucune préméditation machiavélique de la fille mais c'est elle qui va se payer tous les problèmes.
RépondreSupprimerL'ivg si c'est son choix et qui est une partie de plaisir comme chacun sai
Ou une grossesse et un môme pour toute la vie.
Et le garçon qui a inconsideremment jeté sa semence il devrait avoir le droit de s'en laver les mains en disant que ça lenconcerne pas !!!???
Les femmes se sont battues pour maitriser leur fécondité, pour avoir des cachets qui leur file la migraine et mal au sein et augmente leur risque avc alors les hommes n'ont qu a se battre pour obtenir la même chose et maitriser leur non fécondité.
Parceque la seule injustice c'est quilles ne puissent pas avoir d'enfant sans une mère mais aucune loi ne pourra changer ça.
salut nicolas ! tout à fait d'accord avec olympe !
RépondreSupprimerJ'ai survolé les 80 et quelques commentaires de ce sujet de société, intéressant pour meubler une soirée… Je ne comprends pas pourquoi Dorham devrait avoir un droit sur le petit qu'il a fait à Didier par inadvertance pendant que Suzanne regardait ailleurs… C'est expliqué quelque part ?
RépondreSupprimerLe Coucou,
RépondreSupprimerJ'ai un peu de mal à suivre, je dois reconnaitre.
Scourti,
Ca m'aurait étonné !
LJDC,
Ouais, c'est compliqué. Mais une loi existe...
NDN,
On rigolait...
Captain,
Pas bonne...
Dorham, Didier,
Arrêtez de faire des mômes ensemble.
Olympe,
Ah ! Te voila, toi.
Aucune loi ne pourra changer ça. Alors, pourquoi une loi tente de changer autre chose, d'obliger les pères à être père ?
Tu ne réponds pas à la question posée sauf en disant : "c'est nous qui en chions, c'est donc normal".
Ainsi, il est normal que je fasse des excès de vitesse puisque l'autre en fait...
crois-tu que si le père a catégoriquement refusé de reconnaître son enfant, la mère va se lancer dans une procedure longue et compliquée afin que celui-ci y soit contraint ? franchement ? c'est non c'est non qu'il aille au diable, ce ne sera jamais un bon père !
RépondreSupprimerSi le père a de l'oseille...
RépondreSupprimerah oui bien sur, une mère vénale ! s'il a du fric elle aura exigé le mariage bien sur !
RépondreSupprimeras-tu épuisé tous les cas ?
Scourti,
RépondreSupprimerOn va cesser la discussion. On est hors sujet depuis le départ : le sujet est une inégalité devant la loi.
Tu as voulu la nier, quelqu'un t'a démontré le contraire et maintenant tu veux me pousser dans mes derniers retranchement alors que tu es en tort, puisqu'il existe au moins un cas. Tu as d'ailleurs avoué ce tort en commentaire de mon dernier billet en disant que tu pensais avec une sensibilité de mère, c'est-à-dire sans objectivité.
Bon très bien cessons ! tu es en colère ou quoi ? pas moi ! le dernier commentaire je te signale était une plaisanterie ! et puis c'est toi qui a cherché en parlant d'oseille !
RépondreSupprimerScourti,
RépondreSupprimerTu as vu le nombre de commentaires que j'ai eu aux deux billets d'hier ? Mets-toi un peu à place du blogueur.
Tiens ! Tu devrais ouvrir un blog...
La discussion est close.
ouvrir un blog, non pas pour l'instant et puis je m'enflamme trop , mes paroles dépassent quelques fois mes pensées !
RépondreSupprimerJustement...
RépondreSupprimerC'est quoi cette marée de commentaires ?
RépondreSupprimerJ'ai lu Zone Erogène et je trouve le droit affligeant.
Les commentaires de femme qui s'appuient sur "les hommes n'ont qu'à maîtriser leur semence" sont assez comiques. L'image de l'homme grand responsable et maitre de tout est encore un beau cliché qui a la peau épaisse…
:-)))
Poireau,
RépondreSupprimerParfois le droit va de travers.
Et oui, l'argument des femmes est assez rigolo. Mais affligeant : aucune ne prend du recul (si je puis dire dans un billet sur le sexe).