En salle

28 octobre 2009

Intellectuel national

Hier, en début de soirée, j'étais au comptoir avec un type de Bicêtre qui a découvert mon blog récemment, l'heureux homme ! Il a gagné une bière mais s'est trouvé dépité par mon billet sur l'Identité Nationale. Il trouvait que je conchiais un peu trop les intellectuels de gauche !

Il n'en est rien ! D'une part, je ne sais pas s'il en reste vraiment et, d'autre part, j'ai trop de respect : sans eux, la société n'aurait pas évolué.

L'objet de mon billet était de dire qu'il ne fallait pas intellectualiser le débat (qui n'en est pas un) mais faire de la politique (l'UMP a besoin de ce sujet pour enfoncer l'extrême droite aux régionales pour qu'elle ne soit pas au deuxième tour, comme en 2004, où plusieurs triangulaires avaient fait perdre des régions à l'UMP).

Un tel sujet peut être traité de deux manières. La première par l'évolution de la France dans le monde depuis 2002. La deuxième par l'humour, ce que fait très bien Le Coucou !

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9 commentaires:

  1. Est-on obligé de rentrer dans le débat ?

    Et si on avait laisser besson débattre avec lui-même, il n'est d'ailleurs pas trop tard.

    La gauche n'a-t-elle pas autre chose à faire quand les gens se jettent par la fenêtre de leur lieu de travail parce leur vie est devenu un enfer ?

    Ceci dit sans vouloir créer une polémique qui serait totalement inintéressante.

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  2. Entrer ou pas dans le débat: ça ne dépendra pas de nous, mais de la façon dont les leaders de l'opposition réagiront. Cela peut faire un flop, ou mousser. Et surtout, si E. Besson en fait un sujet de débat parlementaire, on en parlera beaucoup, que cela nous plaise ou non.

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  3. Made,

    On peut ne pas rentrer dans le débat.

    Le Coucou,

    Ca ne dépendra effectivement de nous mais il faudra trouver la bonne réponse. Sur ton blog, tu en as une ! "l'évolution".

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  4. Parfois, on en arrive à comprendre Françoise Sagan tiens : "Aimez-vous Brahms ?"

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  5. Oui. Il faut débattre pour savoir s'il faut débattre.

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  6. Après avoir été fier d'être socialiste, fier d'être ségolèniste puis fier d'être sarkoziste, voilà que le petit Besson se demande s'il faut être fier d'être français ! Personnellement, je vais attendre qu'il ait fini de tourner pour me décider à le suivre… ou non !
    :-))

    [Corrections proposées par mon dictionnaire pour le mot "sarkoziste" : trapéziste !!! ].

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  7. Je ne vais pas attendre pour le suivre. Je ne vais pas le suivre.

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