En salle

20 novembre 2009

Peillon, un coup

Certains penseront que si je n'ai pas fait de billet, ce matin, c'est à cause du Beaujolais nouveau. Pas du tout. Je suis resté 45 minutes scotché devant l'écran de mon PC, chez Abadinte, à regarder une nouvelle émission de télévision. Le principe : une personnalité politique est invitée dans une famille de braves gens pour discuter avec eux (devant les caméras).

Pour cette première émission, c'est Vincent Peillon qui s'y colle. C'est un politicien expérimenté, son métier est de nous convaincre. Il est convaincant ! Quand vous aurez 45 minutes devant vous, aller l'écouter. Il aborde plein de sujets : l'école, Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal, le PS, l'UMP, l'Identité Nationale, la France dans l'Europe, ...

Certes, le gugusse m'est sympathique depuis ses bisbilles avec Ségolène Royal. Mais j'aime bien sa vision de la politique.

Edit : je viens de voire que mon copain Le Coucou a fait un billet sur cette émission. Allez le lire, il n'a pas le même avis que moi... (ma manie de faire mes billets dès que j'ai sujet, sans même aller faire le tour des blogs).

8 commentaires:

  1. Je n'ai pas vu donc mon avis est de principe sur la mise en spectacle de la politique. Je suis réticent.
    J'aime bien Vincent Peillon par ailleurs…
    :-))

    [Un élu a-t-il besoin de la télé pour rencontrer des électeurs ? Non ! Donc c'est une mise en scène et cet aspect là me gène. Dès qu'il y a camera, il y a volonté de spectacle… Le sujet mérite de débattre !!! :-)) ].

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  2. Pas mal le principe. Va falloir que je la regarde au moins une fois.

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  3. Ah, Nicolas, tu as sûrement aimmé le coup de la "psychiatrie lourde", toi ?
    Moi aussi, mais j'ai préféré "en venir aux mains si elle était un homme"...
    Remarque, "faire le lit de la fascisation de la société" c'était pas mal non plus, on sent le docteur en Philosophie, là !

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  4. Nicolas, je ne suis pas franchement d'un autre avis: je n'ai pas d'hostilité de principe envers V. Peillon, et j'ai fait mon billet sans écouter l'émission jusqu'à la fin. Je me suis simplement diverti de cette nouvelle épreuve que les politiques, si la formule séduit le public, vont devoir rajouter à leur parcours obligé de communication.
    Si les "hôtes" du politique sont sans complaisance (sans être obligatoirement opposés à ce qu'il représente), il est évident que la rencontre avec un concentré du "pays réel" peut être passionnante.

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  5. Bof ! rien de bien nouveau : Giscard faisait déjà ça il y a 35 ans...

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  6. peillon, je l'aimais bien, je trouvais qu'il avait un regard franc - eh bien, j'avais tout faux et contrairement à vous je ne peux pas soutenir un homme qui traite une collègue -même s'il n'est pas d'accord avec elle - digne d'un service de psychiatrie lourd !!! c'est un grossier, un jaloux, une personne indigne de donner des leçons ce qu'il fait à tous propos - que certains n'aiment pas ségolène pourquoi pas, mais vous remarquerez que jamais elle n'insulte une personne,ancien ami ou ennemi !! ce n'est pas une bonne farce qui lui est faite, mais cela montre que peillon est capable de tout et cela ne me fait pas rire !!

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  7. Poireau,

    Il faut voir (mais comme toi, je n'aime pas interrompre mon blogage pour mater une vidéo longue).

    Olivier,

    Oui, il faut regarder (mais il faudrait conseiller aux types qui font ça d'en faire une version courte...).

    Estelle,

    Ouvre les yeux !

    Le Coucou,

    J'attends beaucoup de voir cette émission avec une personnalité de droite (dans les coms, chez toi, j'évoque Copé) voir si "mon avis" pourrait être changé.

    Didier,

    C'était le Président de la République, pas un second couteau et pas à l'heure d'Internet... Et c'était Giscard...

    Danielle,

    Z'êtes pas objective, c'est tout !

    Poireau,

    Un coup dans la gueule ?

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