En salle

19 décembre 2012

Le soleil se couche à l'ouest

Quand une amie blogueuse sort un livre, je fonce en commencer la lecture. Yolande Charis, dans « Le soleil se couche à l’ouest », nous raconte, chapitre après chapitre, comme « l’Occident » domine ou s’imagine dominer le monde, impose ses valeurs, …

J’en ai lu des passages, pour l’instant. Je suis d’accord avec le chapitre lié au féminisme, pas avec celui lié à la religion.

A vous de vous faire une idée. Son blog est ici. Vous pouvez vous procurer l’ouvrage ici.

18 commentaires:

  1. D'abord blogueur de gouvernement et maintenant homme-sandwich de Mamie Rosa…

    Mais jusqu'où s'arrêtera-t-il, dans son inexorable dégringolade intellectuelle et morale ?

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    1. Se laisser envahir par la jalousie est indigne de vous, Didier ! Faites taire ce monstre qui vous dévore !

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    2. Jaloux. Il est où le commentaire de JE ?

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    3. Il était dans les spams...

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    4. Il doit s'agir d'une vengeance, vos commentaires étant souvent passés dans mes spams !

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    5. Ouais. Celui là est passé.

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  2. Hum, le livre de Yolande Charis, je crois qu'on peut déjà s'en faire une idée d'après les extraits parus sur son blog.

    Cette maison d'édition, en bon marchand, vend les livres au poids.(Enfin, au nombre de pages). Allez voir son catalogue. Il y a de pauvres essais de gens qui ont du mal à s'exprimer et qui tiennent pourtant à essayer de convaincre le monde entier qu'ils ont des idées et des solutions pour le sauver. 75€ pour des livres de blogueurs qui ont été "remarqués"... L'éditeur gagne sa vie, mais peut-on féliciter "l'écrivain" ? Pourvu que des personnes pas trop riches n'y laissent pas trop d'argent, c'est tout ce qu'on peut leur souhaiter.
    Je n'ai rien contre ceux qui s'auto-ditent, qui se font des livres de photos, des livres de n'importe quoi d'ailleurs, qui se bricolent leur ouvrage chez Lulu.com ou d'autres prestataires d'auto édition. Au moins, ils n'offrent pas le côté un peu pitoyable "j'ai été choisi, sélectionné" par toutes ces entreprises qui se nourrissent quand même des rêves d'écrivains de gens qui, pour l'immense majorité, auraient beaucoup de progrès à faire en expression écrite pour passer du billet de blog au texte imprimé.
    Avec un éditeur comme le sien, comment fait-on si l'on veut envoyer son livre aux services de presse, par exemple ? Eh bien on l'achète d'abord, exemplaire par exemplaire. On paie tout ce dont se charge un vrai éditeur, ce qui fait normalement partie de son travail, comme la correction, la mise en page... Comment fait-on si l'on veut une bonne mise en page, une correction minimum, ne serait-ce que de l'orthographe ou des phrases incompréhensibles ? (correction qui fait cruellement défaut à notre bouillante blogueuse, mais elle monte sur ses grands chevaux et se sent persécutée par des trolls nationalistes si on lui en fait la remarque) Eh bien on paie, et on paie très cher. C'est ça, le livre "gratuit". Ceux qui ont été démarchés se sentent fiers ont l'impression d'avoir été choisis, sélectionnés pour l'intérêt de leur prose et de leurs idées. Pourtant, quand un marchand de vérandas essaie de vous vendre ses services en flattant votre goût pour la restauration de votre maison, l'agencement de vos massifs fleuris et la beauté de vos nains de jardin, vous le croyez ? (parfois, me répondra-t-on, à voir certaines vérandas...)

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    1. Ouais. J'en ai parlé avec Sarkofrance qui vient de sortir un bouquin chez le même éditeur et à un copain "vrai éditeur". Le service est nul et frise l'arnaque.

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    2. Il n'y a pas d'arnaque, dans le sens où l'éditeur annonce clairement la couleur : il est un marchand de papier et rien de plus.

      En revanche, que les “auteurs” arrivent à se persuader eux-mêmes qu'ils ont été “choisi”, alors là, on tombe dans le pitoyable. Il n'y a évidemment pas le moindre “comité de lecture” chez ces gens-là.

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    3. Dans notre métier, nous avons un devoir de conseil et disons aux clients quand ils font une erreur (un développement informatique inutile par exemple). Ça devrait exister chez les éditeurs.

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    4. Le fait est que ce livre coûte cher la page.

      Et j'ai déjà vu des critiques sur le groupe éditorial en question, notamment concernant sa gestion des publications scientifiques.

      Concernant le fonctionnement des comités de lecture des maisons d'édition, enfin, Didier Goux, en écrivain chevronné, saura certainement mieux que moi ce qu'il en est dans les grandes maisons d'édition parisiennes.

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  3. (Didier Goux écrit en quatre lignes la même chose que moi en cinquante lignes. La classe !)

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  4. Allons bon ! Voilà Didier dans les spams. On dirait que c'est Rosa qui modère.

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    1. En fait, Mamie et vous n'êtes qu'une seule personne : il serait temps de l'avouer…

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  5. La couronne d'étoiles sur la couverture, ça veut dire qu'elle est européaniste?

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  6. En parlant de Mamie, faut que je demande à ma mère si elle n'aurait pas été publié, par hasard, que je ne sois pas ce mauvais fils toujours centré sur lui-même.

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