En salle

24 novembre 2013

Lui, Romain Blachier, élu, cadre, et dyspraxique (et blogueur)

"Les gens qui croisent Romain Blachier pour la première fois dans les rues de Lyon le pensent maladroit à l’extrême, distrait, voire un peu tête de linotte. Un personnage lunaire, quelque part entre Pierre Richard et le professeur Tournesol."  Je confirme ! Et un côté Bernard Blier, compte tenu de la carrure.

C'est ainsi que commence (ou presque) cet article du Nouvel Obs poursuivant par : "Sauf que cet élu socialiste chargé de l’économie, du commerce et de l’artisanat dans le 7e arrondissement la capitale des Gaules, vit cette involontaire drôlerie comme une malédiction. Une malédiction portant un nom très "Larousse médical" : la dyspraxie."

"Ma posture est naturellement un peu avachie, je fais très souvent tomber des objets, je me fais des taches partout en mangeant, j’oublie mes clés ou mon portable partout... énumère le trentenaire. Quant à faire mes lacets ou nouer correctement ma cravate, cela relève de l’exploit !" Je confirme aussi ! Au mariage de Trub, il avait fallu que Bembelly lui fasse son nœud de cravate...

Lisez donc l'article en question pour en connaître un peu plus sur cette maladie.

13 commentaires:

  1. Je confirme pour la cravate ;-) , il est sympa et très efficace!
    Je confirme une deuxième fois...
    (@bembelly)

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    1. je confirme aussi, je dois bien avoir une photo quelque part d'ailleurs...

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  2. Commençons par supprimer les cravates (surtout si elles sont à chier, comme c'est souvent le cas chez les gros blogueurs de gauche) !

    Pour le reste, moi aussi je mange comme un goret, et je n'ai même pas l'excuse d'avoir une maladie avec tout plein de y et de x dedans…

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  3. Néanmoins, je pense qu'il y a pire épreuve que cette maladie : c'est d'avoir droit à un article dans le Nouvel Observateur

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  4. J'espère que pour déboucher une bonne bouteille ça se passe bien.

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  5. Quel gros jaloux, ce Didier Goux !

    Je vais poser la question que tout le monde a envie de poser mais n'ose pas, car il est bien connu que l'auteur de ce blog et l'immense majorité de ses lecteurs sont délicats, pudiques et discriminophobes à l’extrême : le dyspraxique dont il est question (je ne mets pas son nom, je ne tiens pas à ce que les recherches gougueuleuses lui nuisent) a-t-il pu faire un bébé, ou pas ? S'est-il coincé le petit oiseau auparavant dans une boite aux lettres, le vide-ordures, le tiroir à lessive du lave-linge, le sac à main de sa femme, l'ouverture du réservoir à essence de la voiture, la bouche d'aération de la salle de bains ?

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    1. Personne ne se pose la question...

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    2. J'avais déjà lu un article intéressant, que Romain avait recommandé sur son blog, et en partie financé.
      Les maladies ou handicaps qui font sourire sont un peu plus embêtantes que les autres. Il faut supporter aussi les blagues idiotes, et donner des suppléments d'information. Ce qui est spécialement abominable pour les personnes souffrant de bégaiement.

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