En salle

07 avril 2015

L'UMP et l'Education Nationale

Michaël Miguères, jeune prodige de l'UMP, pense que l'Education Nationale entraîne des dépenses publiques nuisibles à notre croissance, nos emplois, nos investissements.

Il me semble pourtant que l'éducation des jeunes est le meilleur investissement que l'on puisse faire.

Bon, je vous présente sa photo de profil et sa bio parce que vous êtes sympathiques : 

26 commentaires:

  1. on peut le dire ? ? ?

    quel connard

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    1. Évite quand même ! S'il porte plainte, c'est moi qui l'ai dans l'os.

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    2. promis , je le ferai plus

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  2. Il n'a pas tort, pourtant… Dans la mesure où la prétendue Éducation soi-disant nationale est devenue ce qu'elle est aujourd'hui, on voit mal pourquoi on devrait lui allouer ces invraisemblables crédits qui sont les siens.

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    1. Je m'attendais à votre réponse, mon vieux. Il a tort. Je veux bien reconnaître que c'est le bordel mais l'investissements dans l'éducation de la jeunesse est très important à un pont de vue économique (pour le reste, si des imbéciles ne savent pas lire, je m'en fous un peu, sauf que je considère que c'est un droit). (Je me comprends). Toujours est-il que si on veut s'en sortir économiquement, il faut des jeunes correctement formés et ce n'est pas en réduisant les budgets qu'on y arrivera. Il ne s'agit pour l'instant que de remettre une partie des postes supprimés lors du précédent quinquennat. Ca fut peut-être une des plus grosses erreurs de la droite.

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    2. Vous ne comprenez rien (enfin, vous faites semblant). L'argent n'a rien à voir là-dedans. Le système entier est en train de s'écrouler. Ce qu'on appelle aujourd'hui des "profs" n'auraient pas eu le BEPC il y a trente ans, ni le certif' il y en a cinquante. Vous n'en avez rien à foutre, comme moi, puisque vous n'avez pas d'enfant, mais c'est la réalité. Regardez comment écrivent les "profs" qui tiennent des blogs : j'aurais rougi de honte d'écrire comme eux à mon entrée en sixième. Voyez ce que sait de l'histoire de France notre chère Élodie, nantie d'un doctorat, par rapport à moi qui n'ai fait aucune étude mais ai lu quelques livres durant ces quarante dernières années.

      Lier la culture, la lecture, l'enseignement, etc., et le "budget" est une stupidité issue de crétins syndicaux, qui ne se rendent même pas compte qu'ils sont incapables d'écrire une carte postale en y faisant aussi peu de fautes que ma grand-mère, et également mon autre grand-mère, morte toutes deux depuis quelque temps.

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    3. Mais je comprends très bien, andouille ! Et je ne fais pas semblant, bordel (j'ai éclusé mon stock de grossièretés à votre égard, désolé, la suite des échanges va être morne).

      Ce n'est pas issu de cretins de syndicalistes mais d'économistes qui étudient les typologies d'emplois qui font l'avenir de la France...

      Pour le reste, vous avez à la fois raison et tort. Sarkozy avait supprimé la formation des profs, par exemple. Non seulement ces couillons ne savent plus écrire mais en plus ils n'apprennent plus à enseigner.

      Il reste des meubles à sauver et cela ne se fera pas sans moyen.

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    4. Clonons les Goux et mettons-les dans les lycées et les collèges... nous serons sauvés.

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  3. Sans être aussi caricatural que ce jeune homme que tu mets en avant pour le lynchage, on peut discuter sur l'éducation nationale, et sur la manière dont on ne cesse de dépenser ou de recruter pour des résultats qui peuvent être discutés, ou c'est interdit ?
    Si on ne peut plus discuter sur rien pendant encore deux ans, il faut le dire. Comme ça on ira tous faire autre chose...

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    1. On peut discuter et je veux bien que les militants de droite continuent à dire que l'éducation est du gaspillage. On peut aussi discuter des résultats de la droite : des profs malades non remplacés, des classes surchargées, la suppression de l'assistance personnalisée... Si un de tes gamins a des difficultés scolaires (ce que je ne souhaite évidemment pas, mais ils pourraient hériter des défauts de leur mère...), tu seras peut-être content qu'il ait droit à un traitement de VIP.

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  4. Avant, on disait : Un winner ! ^^

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  5. Le métier de prof fait tellement rêver que la Cour des Comptes a noté qu'il manquait 7000 postes en deux ans. Faute de candidats au concours. Ce Mickael a raison : il faut continuer à geler les salaires et le reste !
    Paul

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  6. Si on commençaient par supprimer les subventions pour l'ecole privée ce genre de char qui pense sifflerait moins et on en ferait des économies, qu'on pourrait reverser dans l'éducation.
    Le but de ces gens est de supprimer l'école publique et obligatoire. Les illettrés sont plus facilement maléables.
    Je serais curieux de voir les écoles publiques qu'a fréquenté ce premier de la classe rillettes sous les bras, comme disait Coluche.En tout ça nul doute c'est un vrai deux point : zéro.

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    1. Ce n'est pas si simple. Si tu supprimes les subventions aux écoles privées les mômes iront dans le public (je parle en termes comptables, il est évident que je suis contre les subventions à l'enseignement privé).

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    2. Ma foi les parents des eleves du prive payent leurs parts d impots plus l ecole donc ils ne "volent" pas leurs choix. J ai ete eleve boursiere comme beaucoup de mes camarades d un milieu tres defavorise avec des parents non francophones. Les profs sont moins payes et les classes plus chargees (le nombre de prof du prive est fonction du nombre de prof du public pas du nombre d eleve donc mathematiquement les classes ont plus d eleves). Donc ma foi heureusement qu il y a du prive pour soulager le public dont on dit que le probleme sont des profs pas assez payes et trop d eleves par classe!

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  7. Ca me fait penser que j'ai du retard de billet dans mon blog à baffes.

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  8. Bonjour,

    Je vous remercie d'avoir déformer mes propos et de me laisser ainsi l'occasion de les préciser pour ceux qui auraient une démarche sincère envers l'Education Nationale.
    (Je déplore préalablement les insultes qui n'amèneront rien au débat sur l'Education des jeunes élèves de notre nation et vous prierai de modérer comme il convient ce blog.)

    La Ministre NVB se faisait une gloire de respecter un engagement dans l'EN, qui est celui d'un chiffre d'embauche. (chiffre d'ailleurs très contestable en soi puisqu'il ne prend pas en compte le solde : embauches-départs à la retraite, mais passons, ce sont les aléas de la communication politique).

    Je critiquais, et maintiens d'ailleurs ces critiques sur des objectifs de chiffres dans l'EN sans réfléchir à des changements structurelles qui ne modifieront rien. Pour rappel, pour le même nombre d'élèves, l'Allemagne et l'Angleterre ont des budgets qui sont la moitié celui du ministère de l'Education français pour des résultats qui sont loin d'être inférieurs, cela signifie que l'amélioration du système éducatif ne passe pas par une politique de dépenses nouvelles, mais que le problème est plus profond et ailleurs.
    (D'ailleurs, pourquoi embaucher quand on veut supprimer des enseignements comme ceux des langues anciennes à l'origine de notre propre langue ?!)

    Je sais que ça peut paraître déplaisant pour des socialistes, mais toutes les dépenses publiques ne sont pas bonne. Pour rappel, la dépense publique en France est de + de 1 150 Milliards d'Euros par an pour près de 0% de croissance, et un chômage qui augmente. Il semble qu'il y a la des raisonnements à voir quand à l'utilisation de l'argent publique et s'assurer que les dépenses réalisées soient effectivement productives sous une forme ou sous une autre pour ne plus nuire à la croissance et à l'emploi. Et que ce raisonnement doit également s'appliquer dans l'Education Nationale.

    Je vais meme décevoir votre talent de caricaturiste mais je serait le premier favorable à davantage de dépense, même dans l'Education nationale si ces dépenses sont efficaces. Je me suis d'ailleurs battu pour que Madame la Ministre renonce à cette folie de supprimer les Bourses au mérite qui permettaient quelques centaines d'euros aux étudiants boursiers sur critères sociaux ayant obtenu une Mention Très Bien au Bac.
    Il ne me semblait pas que les dépenses nouvelles dont se vantaient la Ministre vont dans un sens bénéfique à la collectivité alors qu'elles s'inscrivent dans un climat d'hyper dépenses improductives, mais libre à vous d'être pour des dépenses publiques totales et sans regards.

    Bien cordialement,

    Michael Miguères

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  9. Bonjour,

    Je vous remercie d'avoir déformer mes propos et de me laisser ainsi l'occasion de les préciser pour ceux qui auraient une démarche sincère envers l'Education Nationale.
    (Je déplore préalablement les insultes qui n'amèneront rien au débat sur l'Education des jeunes élèves de notre nation et vous prierai de modérer comme il convient ce blog.)

    La Ministre NVB se faisait une gloire de respecter un engagement dans l'EN, qui est celui d'un chiffre d'embauche. (chiffre d'ailleurs très contestable en soi puisqu'il ne prend pas en compte le solde : embauches-départs à la retraite, mais passons, ce sont les aléas de la communication politique).

    Je critiquais, et maintiens d'ailleurs ces critiques sur des objectifs de chiffres dans l'EN sans réfléchir à des changements structurelles qui ne modifieront rien. Pour rappel, pour le même nombre d'élèves, l'Allemagne et l'Angleterre ont des budgets qui sont la moitié celui du ministère de l'Education français pour des résultats qui sont loin d'être inférieurs, cela signifie que l'amélioration du système éducatif ne passe pas par une politique de dépenses nouvelles, mais que le problème est plus profond et ailleurs.
    (D'ailleurs, pourquoi embaucher quand on veut supprimer des enseignements comme ceux des langues anciennes à l'origine de notre propre langue ?!)

    Je sais que ça peut paraître déplaisant pour des socialistes, mais toutes les dépenses publiques ne sont pas bonne. Pour rappel, la dépense publique en France est de + de 1 150 Milliards d'Euros par an pour près de 0% de croissance, et un chômage qui augmente. Il semble qu'il y a la des raisonnements à voir quand à l'utilisation de l'argent publique et s'assurer que les dépenses réalisées soient effectivement productives sous une forme ou sous une autre pour ne plus nuire à la croissance et à l'emploi. Et que ce raisonnement doit également s'appliquer dans l'Education Nationale.

    Je vais meme décevoir votre talent de caricaturiste mais je serait le premier favorable à davantage de dépense, même dans l'Education nationale si ces dépenses sont efficaces. Je me suis d'ailleurs battu pour que Madame la Ministre renonce à cette folie de supprimer les Bourses au mérite qui permettaient quelques centaines d'euros aux étudiants boursiers sur critères sociaux ayant obtenu une Mention Très Bien au Bac.
    Il ne me semblait pas que les dépenses nouvelles dont se vantaient la Ministre vont dans un sens bénéfique à la collectivité alors qu'elles s'inscrivent dans un climat d'hyper dépenses improductives, mais libre à vous d'être pour des dépenses publiques totales et sans regards.

    Bien cordialement,

    Michael Miguères

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  10. Première phrase : une faute de participe passé.
    Deuxième : une faute de conjugaison.
    Troisième : une majuscule en trop.
    Quatrième : un adjectif au féminin alors que le nom est masculin.
    Cinquième : il manque un mot (avant "celui").
    Sixième : un faute de ponctuation (mais ce n'est pas grave).
    Septième : il manque un "s" à "bonne".
    Huitième : faute de ponctuation (pas grave).
    Neuvième : trois fautes (un accent à "là", un t à "quant", et "public".
    Dixième : une majuscule en trop à "nationale" (pas grave).
    Onzième : le "je serait" fait mal aux yeux.
    Douzième : beaucoup de majuscules en trop.
    Treizième : une faute de conjugaison (vantait).

    Pas une phrase sans faute. Sans compter le français aléatoire (c'est quoi une dépense publique totale ?).

    Je propose le redoublement (et pas seulement du commentaire).

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