En salle

31 octobre 2017

To speak rosbif or not

Dans une récente publication dans Facebook, je disais que j'avais envoyé un mail en anglais à un correspondant Indien qui vaut mieux que De Tulora. Une première pour moi qui ne jacte pas le rosbif (mais arrive à lire les publications techniques). Il m'a répondu mais n'était pas satisfait de ma réponse (à raison, j'avais oublié qu'un collègue lui avait envoyé un mail en anglais en lui disant que je prenais son relai mais comme c'était en anglais, je n'avais pas lu). 

Donc il a fallu que je réponde à nouveau en anglais. Ca me faisait chier de demander à un collègue de faire la traduction. J'ai donc utilisé Google Translate. 

J'espère que les Indiens ont de l'humour.

5 commentaires:

  1. Votre allusion à Google Translate me fait penser à cet article.

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  2. Z'ont qu'à apprendre le fransozich comme tout le monde, hein.

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    1. Langue qui célèbre l'union de Franz et Soizich.

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  3. J'espère que les Indiens ont de l’humour.

    Pour nous changer...

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  4. "Sprechen sie Englisch ? No ? Alors Berlitz !

    (je vous parle d'un temps que les moins de 100 ans ne peuvent pas connaître 🎶🎵🎶🎵🎵😀

    Hélène dici

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