En salle

30 mai 2023

Restons miséricordieux avec notre calendrier

 


« Supprimons les références aux fêtes religieuses dans notre calendrier républicain : déclarons fériées les fêtes laïques qui marquent notre attachement commun à la République, aux révolutions, à la Commune, à l'abolition de l'esclavage, aux droits des femmes ou des personnes LGBT. » Voila ce qu’a déclaré Eric Piolle, hier.

Mon copain FalconHill n’est pas content. Moi non plus. Mon optimisme naturel me laisse à penser que, au moins, Piolle nous permet une amusante distraction : nous demander s’il tient ces propos par clientélisme, par connerie ou par conviction, ces différentes options, notamment les deux dernières n’étant pas exclusives. C’est un récidiviste de la provocation opportuniste (sa page Wikipedia est là pour le montrer).

 

Je n’aime pas du tout la formulation de son tweet. Tout d’abord, il réduit la laïcité à des fêtes ou des commémorations en l’excluant de fait, des valeurs de la République dans lesquels il fait figurer un peu de tout, non pas que ce dont il parle ne soit pas très important mais, pour les catalogues, je préfère La Redoute, voire la Samaritaine où l’on trouve tout sauf de l’intelligence des cadres d’EELV. Prenez ses « droits des femmes ou des personnes LGBT », et les « droits de l’Homme » (renommés « droits Humains », ils puent de la gueule au pays des droits de l’homme…).

En fait, on a l’impression qu’il crache à la gueule des valeurs de la République sans même se rendre compte. Quant aux fêtes laïques, un de ces jours, il va les confondre avec les fêtes païennes. Pour l’instant, je suppose qu’il pense à Noël qui est la fête des enfants et à la Pentecôte, le jour férié qui permet de passer le week-end chez les beaux-parents, au 15 août qui est l’occasion de faire des balluches au milieu de l’été…

Ces quelques fêtes « catholiques » font partie de nos coutumes et autres traditions et les remettre en cause serait un beau coup de hache dans la République en question…

 


La question à se poser est plutôt de savoir si on ne pourrait pas ajouter un ou deux jours fériés en fonctions des fêtes musulmanes (ce qui serait plus facile si ces braves arrivaient à déterminer les dates de l’Aïd et autres machins plus que deux ou trois jours à l’avance : il faut bien imprimer les calendriers…).

En bon sympathisant de gauche, pour ma part, je n’ai aucun complexe à ajouter des jours où l’on ne travaille pas et je n’ai pas besoin de me cacher derrière la laïcité pour raconter des conneries. Je peux le faire au bistro et la laïcité n’est pas la haine des catholiques.

 

Cela me rappelle, il y a quelques années, quand nos gauchistes en peau d’ours militaient pour défendre le repos du dimanche sans se préoccuper, d’une part, du fait que la famille soit tout de même une valeur de droite et, d’autre part, que le dimanche était chômé pour permettre aux andouilles d’assister à la messe.

C’est d’autant plus rigolo que le repos dominical avait été sanctuarisé en 1906 en compensation, pour le clergé, de la loi de 1905. L’histoire, c’est compliqué. Si Piolle veut supprimer les fêtes religieuses, il pourrait aussi supprimer le dimanche chômé. Ou alors, ajoutons le vendredi comme jour chômé, pour le jour de la grande prière hebdomadaire. Et n’oublions pas le samedi même si nous avons sûrement des hordes d’antisémites se croyant à gauche qui pourraient hurler.

 

Ne touchons donc à rien… (même si je ne déconne pas vraiment pour l’Aïd, je ne vois pas pourquoi mes collègues seraient obligés de prendre un jour de congés pour fêter leur truc alors que je peux passer mon lundi de Pâques au bistro).

 


C’est très fatigant de voir des lascars comme Piolle remettre en cause certains de nos héritages, tordre le cul aux valeurs de la République pour en faire une liste qui l’arrange. Surtout, n’oublions pas l’abolition de l’esclavage au cas où on aurait des renois inscrits sur les listes électorales. Je pourrais ajouter, d’ailleurs, que l’abolition de l’esclavage n’est pas une valeur de la République mais si on peut, voire on doit, la commémorer (ce qui est d’autant plus rigolo qu’on trouve toujours des zozos pour remettre en cause la date choisie). Les valeurs qui y correspondent sont la liberté et l’égalité. Ce n’est tout de même pas compliqué, si ?

S’il faut arrêter de remettre en cause la République et ses valeurs, il faut aussi arrêter d’enterrer ses valeurs et quelques faits comme celui de l’héritage de notre nation, basé, tout de même en grande partie sur la chrétienté. S’il faut égorger les lascars de droite qui veulent inscrire cet héritage chrétien dans la Constitution car nous n’avons pas à mélanger les sujets, il ne faut pas oublier que la plupart des militants qui gobent se bordel ont au moins trois quarts de leurs grands-parents catholiques ou musulmans.

Moi pas.

Je n’ai pas attendu une mode pour taper sur les cathos mais cela ne m’empêche pas de défendre la liberté de conscience de ces braves gens comme de tous les autres et ma laïcité, voir mon anticléricalisme ne me fait pas tout enterrer dont le respect des religions, de toutes les religions…

 


Le clientélisme de gens comme Piolle est insupportable. Il ne s’adresse même pas aux musulmans mais à des militants de gauche dont les fils se touchent.

23 commentaires:

  1. Non seulement il ne s'adresse pas aux musulmans, mais ce sinistre imbécile risquent fort, au contraire. Car je suis à peu près certain que les dits musulmans seront toujours moins heurtés par Noël ou Pâques que par je ne sais quelle génuflexion LGBTique.

    Du reste, les joueurs de foot refusant de se transformer en hommes-sandwichs pro-pédés sont là pour le rappeler.

    Si demain, à une élection présidentielle, je n'avais le choix qu'entre un Éric Piolle et un Mohammed Ben Mohammed, je voterais pour Momo sans hésiter.

    Et c'est ainsi qu'Allah est grand.

    DG

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    1. On est d'accord. D'ailleurs, FalconHill parle de ces hommes sandwichs dans son billet mais je n'ai pas voulu ajouter une couche.

      Par contre, je ne voterai jamais pour un musulmans absolutiste : n'oublions pas que ces ânes interdisent de picoler, contrairement aux cathos qui, en plus, tolèrent les amusants sexuels avec les enfants. Ils ont des valeurs morales, eux !

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    2. Deux choses :
      1) Falconhill parle en effet des joueurs récalcitrants... mais c'est, si j'ai bien compris, pour critiquer leur attitude, alors que, moi, je l'approuve pleinement.

      2) L'interdiction de l'alcool ne vaut que si vous êtes musulman vous-même. Bien sûr, je parle pour les musulmans "normaux", pas pour les enragés talibanesques...

      DG

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    3. 1. Vous avez raison à propos de FalconHill. Du moins, j'ai fait ma réponse un peu vite. J'en ai discuté avec lui "à l'époque" (dans le billet que j'avais fait, je défendais plutôt les lascars mais dans le sens où ils sont soumis à une religion). Ce que je voulais dire c'est que, au moins, il en parle, de ces imbéciles alors que Piolle ne fait que chier sur les cathos sans oser le dire.

      2. Ouf.

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    4. Sans rentrer dans le débat sur mon billet, je mettais aussi le parallèle entre ceux qui à l'époque, aussi par culture racine et tout le tralala avait refusé de mettre le TShirt Charly. Le terme "récalcitrant" me parait être comme on dit "sauvageons". Mais soit, on peut être en désaccord.

      Après Nicolas a raison, Piolle et cette gauche fait dans la provocation. Je pense que c'est moins Zemour que Piolle et ses zozos qui cherchent le choc des cultures. Et que ça se passe mal (comme ça l'un pourra dire que c'est la faute de l'autre, en comptant les taches de sang sur le goudron...)

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    5. J'ai ri au premier commentaire de Didier. Bordel, c'est bien envoyé !

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  2. C'est fatigant cette manie de créer des remugles médiatiques pour rien. la majorité des personnes avec qui je bosse ne savent pas ce qui est fêté le lundi de Pâques, le jeudi de l'ascension, le lundi de Pentecôte voire même pour le 8 mai et le 11 novembre. Par tradition, je vais aux cérémonies du patelin à ces dates de victoires ou d'armistices et on est pas nombreux (la faucheuse enlevant de l'assistance et point de génération spontanée)...

    Sauf à reprendre ton argument valable du côté chômé pour aller aux offices qui permettrait à terme de revendiquer les jours fériés comme une victoire sociale et non un acquis religieux...

    Perso, je garde le 1er mai, le 14 juillet, une journée commémorative citoyenne, le 25 décembre pour les gosses et le 1er janvier pour ma gueule de bois. 9 JF en moyenne glissante entre le lundi et le vendredi. je donne donc 4 jours de CP en échanges et chacun les met ou il veut...

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    1. Ben oui, on ne sait plus ce que c'est : ce ne sont plus des faites religieuses.

      Je ne serais pas opposé à ton idée de remplacer quelques JF par des CP mais pas tous. Par exemple, Ascension est bien pratique pour organiser des fêtes et autres événements familiaux. La difficulté des CP c'est qu'ils ne peuvent pas être totalement à disposition des salariés, contrairement aux dimanches par exemple (et en théorie...).

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    2. En s'y penchant on peut trouver des solutions. Dans ma boite, on a 1 puis 2 jours de pont conventionnel (après ancienneté) qui ne sont posables qu'accolés à un férié (comme on en aura plus, faudra trouver autre chose)... et la loi peut prévoir ce qui est nécessaire à mon sens. Ca doit être faisable plutôt que d'essayer de trouver des motifs pour faire chier ceux qui pensent autrement (ce qui est le cas systématiquement de Piolle qui doit se réveiller en se demandant que faire pour passer à la télé et/ou faire chier le prolo...)

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    3. Il ne faut pas chercher de solution quand il n'y a pas de problème. Toutes les boîtes ne sont pas équivalentes. Par exemple, il y a les profs qui ne peuvent pas prendre des vacances comme ils veulent et les mômes ont aussi "le droit" à leurs jours fériés. Si je n'ai pas d'opposition de principe, comme je disais (après avoir écrit "faites religieuses", honte sur moi), il y a aussi des arguments qui vont contre.

      Et dans la pratique, s'il y a des JF à supprimer et à remplacer par autre chose, on peut aussi aller voir du côté de choses comme le 8 mai (même si le sujet a déjà été revisité) avant de se précipiter sur autre chose. D'autant que le 8 mai est assez souvent pile poil une semaine après le 1er mai...

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  3. @Nicolas Jégou: Oui, vous faites bien de rappeler que la protection de la famille est de droite. C'est Ferdinand Engerand, un député de droite qui fait voter en 1909 le congés maternité de 8 semaines (mais c'est M.G Buffet, députée communiste qui l'étendra à 18 semaines). C'est Jean Lerolle et Maurice Eblée, deux catholiques sociaux, qui généralisent par la loi la pratique des allocations familiales déjà mise en place depuis la fin du XIX par quelques entreprises. Comme quoi, tous les hommes de droite n'ont pas comme seule ambition la mise en esclavage de leurs contemporains ...

    @cyrille Le but des jours fériés n'est pas de fournir des congés. Il y a des congés payés et des RTT pour celà, mais de commémorer ce qui fait la France. Le choix de ces commémorations reflète l'histoire du pays et comme notre pays a des racines chrétiennes, il est normal que des fêtes chrétiennes, souvent elles même issues de fêtes païennes plus anciennes, soit retenues en même temps que le 14 juillet, le 1er mai, le 8 mai ou le 11 novembre. Remplacer ces jours fériés par des CP reviendrait à amoindrir ce qui fait la France au profit d'un choix individuel. Je ne crois pas que ce soit une très bonne politique.

    La Dive

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    1. Si je vais aux commémorations des victoires/armistices, c'est pour vos arguments que je partage. Dans ma jeunesse, les écoles allaient aux commémorations du 1er novembre et du 8 mai, avec corps enseignant en encadrement en première ligne. Las, dans mon patelin flamand de 5 000 habitants, si j'enlève les personnes "obligées" d'être là (pompiers, musique municipale, gendarmes et élus)... y avait pas grand monde...
      Le débat sur les CPs et les RTT peut-être intéressant, notamment parce que, de plus en plus, dans mon boulot, je suis confronté à des personnes qui n'envisagent pas de poser un congés pour autre chose que pour quelque chose qui ressemble aux vacances ou qui en a la connotation. Et les jours fériés, comme de plus en plus, personne ne se souvient (mes enfants les premiers, à mon grand effroi) de leurs origines...

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    2. Henri,

      Je ne crois pas avoir dit que la défense de la famille était de droite mais que les politiques familiales étaient souvent de droite. Pour le reste, défendre la famille est aussi soutenir le regroupement familial, par exemple, ou l'école gratuite et un tas de trucs.

      Pour le reste, je pense qu'on est d'accord et rien ne m'énerve plus que de voir des gauchistes incultes revendiquant l'ensemble des progrès sociaux (tout en vénérant Simone Veil, tout de même).

      Pour ce qui concerne votre réponse à Cyrille, nous ne sommes pas trop d'accord, non plus. Pâques, l'Ascension et la Pentecôte (et on pourrait en ajouter) ne sont plus des commémorations aux yeux de beaucoup. On ne peut pas commémorer des événements religieux, même de notre histoire, si on n'est pas soi même de la religion en question.

      Mais vous avez raison sur la fin, remplacer les JF par des CP est renforcer des choix individuels par rapport à des choix collectifs (même issus de l'histoire et de la religion).

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  4. Étant au bistro donc sans clavier et avec autre chose à faire, je lis quand même les commentaires. J’y répondrai demain. Il n’empêche que l’évidence me vient maintenant : on ne peut pas remplacer un JF par un CP. Les écoles sont fermées pendant les JF. Et certaines administrations. Un prof peut toujours vouloir pendre un CP à sa guise, il est peu probable que son patron accepte.
    NJ.

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    1. T'as écrit un super billet, et je suis pas peu fier d'en avoir été la petite étincelle.

      Message pour moi et mon égo (hashtag coaching je suis bô tu es bô) : écrire des billets avec du fond et de permettre la discussion. Etre clivant aussi.

      Bonne soirée.

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    2. J'avais pas répondu à ton commentaire. Permettre la discussion et être clivant ne sont pas des priorités, je crois. Et chacun son lectorat. Mes clients sont surtout des gens de droite et des copains, par exemple. Alors je peux chier sur la gauche sans risque mais en faire un truc clivant ou lancer une discussion n'est pas mon but.

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  5. Oui le tweet est délirant. De tout ce qu'il met à côté de la République, on pourrait rigoler. Comme je le disais, il prend l'abolition de l'esclavage comme valeur alors que les valeurs sont, à la limite, de ne pas avoir d'esclavage.

    Pour l'homophobie, il y en a partout, il ne faut pas se voiler la face. Forcément, dans les milieux virils, comme les sports masculins, ça se voit plus. Et je vais oser aller plus loin : les défendeurs d'homosexuels et les pourfendeurs de racisme sont souvent les pires.

    Comme le disait Didier, en défendant les homosexuels, Piolle se met à dos les musulmans. Ce n'est donc pas les musulmans qu'il flatte mais les gauchistes... Un parachutage dans un coin bien "musulman" le ferait s'écraser.

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  6. Moi je ne serais pas contre qu'on vire 5 ou 6 jours fériés dans l'année et qu'on les remplace par une semaine de CP.
    Ca sera à la fois plus égalitaire, et mieux pour les gosses (le mois de mai à l'école c'est une plaie).
    Mettre des JF pour les fêtes religieuses des autres religions importantes en France, je suis pas foncièrement contre, mais en cela je reste dans mes habitudes :
    Tout comme au mariage pour tous, je préférais le mariage pour personne, je préfère restreindre le nombre de JF pour que chacun puisse s'organiser comme il l'entend.

    Et bordel, le mois de mai au collège, bordel.

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    1. N'oublie pas de signer tes commentaires pour autant. Sinon, ton avis a tout de même très peu d'intérêt.

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    2. C'est vrai que je ne rajoute rien par rapport à ce qui a été dit, mais je ne voudrais surtout pas commenter le discours de Piolle qui est un cuistre.
      Et pourtant je peux être complètement woke avec du poil aux oreilles et trouver qu'on n'en fait pas assez pour l'inclusion des minorités diverses, mais là c'est complètement n'importe quoi. Mais comme Piolle et ses souteneurs le savent, il n'est pas très utile de le rappeler.
      Et évidemment je commente le discours de Piolle en disant que je ne voudrais pas le faire :)

      Pierre M

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    3. Il faudrait que tu vérifies la définition de "inclusion" dans un dictionnaire. Ce n'est pas spécialement adapté dans notre contexte (alors que l'on comprend assez bien, parce que c'est français, ce qu'on entend par exclusion, même s'il manque souvent un complément : exclure de quoi ? Donc inclure dans quoi ?).

      Oui, c'est n'importe quoi, son tweet.

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  7. Oh, au fait et sans rapport : j'ai une erreur quand je me rends sur ton blog depuis firefox (possible que ça soit en lien avec mon paramétrage un peu... ferme et pas de la faute de ton blog)

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