Teasing pour le blog bistro. |
En ce vingt-neuvième jour de confinement, mon billet du « journal »
devrait être court vu que j’ai déjà fait deux billets au sujet du discours de
Macron. J’ajouterai seulement que les trolls LFI sont infernaux voire con comme
des bites dans Facebook.
A propos de bite, j’ai remarqué qu’à chaque fois que je
sortais faire des courses (de première nécessité, hein !, comme de l’apéritif),
je revenais avec une sérieuse envie de
pisser qui me poussait dans les toilettes avant d’avoir eu le temps de me laver
les mains. Du coup, je me demande si je n’ai pas su covid sur l’engin. D’un
autre côté, en période de confinement, ça ne semble pas très grave.
Pour en terminer avec le corona, j’ai vu une vidéo du
professeur Raoult, aujourd’hui qui, d’une part, continue à recevoir des preuves
que son traitement fonctionne et, d’autre part, pense que l’épidémie pourrait s’éteindre
rapidement comme si le « 19 » mourrait de lui-même. Je ne sais pas s’il
faut le croire mais il n’y a jamais de mal à se faire du bien. Les collègues de
travail sont bien moins optimistes que moi. Sauf sur un détail : les
conditions du déconfinage pourraient faire que l’on reste en télétravail après
le 11 mai. Ca me va.
La journée de travail fut normale. Traitement de mails au
réveil (9 heures…), point d’équipe, courses à 11h15 pour éviter la foule, rédaction d’un billet de blog, dîner et
reprise du travail à 14 heures pour une réunion qui a duré une heure trente.
Comme beaucoup de jours (pas seulement dans cette période), je me suis demandé
ce que j’allais branler aujourd’hui d’autant que, je n’avais bossé qu’un peu
plus de trois heures aujourd’hui. Et j’ai reçu un mail d’un fournisseur qui m’a
incité à faire des recherches documentaires jusqu’à 19h (moins le temps d’un
appel à ma mère). Pas vu le temps passer. Et j’ai continué à traiter mes mails
jusqu’à 20h15. J’ai fait ma dose de travail.
A 19h, nous avions notre « téléafterwork » hebdomadaire,
avec les collègues. Toujours très sympa même si la partie de la discussion
relative au covid fut assez déprimante. Surtout que je réserve mes histoires de
bites aux lecteurs de mon blog politique.
Je disais : « , courses à 11h15 pour éviter la
foule ». C’est raté. Il y avait la queue jusqu’au bord de l’avenue Eugène
Thomas, en face de l’Aéro. Quand le vigile m’a vu avec ma canne, il m’a fait
rentrer immédiatement. Cette canne a au moins un intérêt (je pensais qu’elle ne
servait à rien mais avec trois entorses en trois ans dont deux cette année, je
suis excessivement prudent). Je vais donc continuer à prendre cette canne.
Et à être sympa avec les vigiles qui en chient. Les gens
sont odieux. Quand un gars ouvre la porte pour laisser passer des clients, ils
disent « il est temps ! ». Moi je dis « merci et bon
courage ». Sincèrement et naturellement. Les gars, en plus de leur boulot
habituel, ils doivent ouvrir et fermer les portes pour réguler le nombre de
clients et surveiller que ces derniers respectent bien les règles…
Je lis des récits sur internet de gens qui parlent des
caissières protégées par du plexiglass. Dans mon Leclerc, il n’en est rien.
Elles ont un masque et, encore, seulement depuis peu. Aujourd’hui, la cheffe
des caissières ou la responsable du magasin avait en plus une espèce de casque
en plexi devant le visage, par-dessus le masque. On dirait que le niveau de
protection dépend du niveau hiérarchique… C’est mal mais connu et évident. Mais
dans supermarché de banlieue, ça la fiche mal.
Parmi les clients et les passants sur l’avenue, il y a peu
de masques. Je suppose que ceux qui en avaient eu par effet d’aubaine ont fini
le stock et se demandent comment ils feront quand ils seront obligatoires. C’est
bien fait. Fallait être solidaire dans la contamination…
Je vous laisse, il faut que je fasse un billet dans le blog
bistro. A lire dans une demi-heure.
+1000 on doit etre poli avec ces gens qui font un travail chiant.
RépondreSupprimerOui.
SupprimerFaut éviter le gel sur la bite quand meme
RépondreSupprimerOuf.
Supprimer“une sérieuse envie de pisser”
RépondreSupprimer“je me suis demandé ce que j’allais branler aujourd’hui”
“je réserve mes histoires de bites aux lecteurs de mon blog politique”
“Il y avait la queue jusqu’au bord de l’avenue Eugène Thomas”
C'est un TOC ?
Bon, attention!: je rigole ! ….
Trois entorses en 54 ans. La première une plaque glace sur la route. La deuxième, une descente d’escaliers en bois avec les pieds nus et mouillés. La troisième, je ne sais pas. Je suppose que la seconde était mal soignée. C’était trois semaines après et que j’ai fait un « faux mouvement ».
RépondreSupprimertoute la famille ont l'immense tristesse de vous annoncer le décès de
RépondreSupprimerNicolas JEGOU
à l'âge de 38 ans.
Un hommage lui sera rendu samedi 10 février, à 14 h 30, à la salle de cérémonie du Pôle funéraire de Saint-Thégonnec, suivie de l'inhumation au cimetière de Ploujean.
Nicolas repose au Centre funéraire du Cosquer, route de Ploujean à Morlaix.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
Ah h merci.
Supprimert'es en forme !
RépondreSupprimerBen oui !
SupprimerMmmmm...
RépondreSupprimerVous voulez faire croire que vous travaillez à domicile, ça ne serait pas plutôt ça?
Non non. Mais je reconnais qu'il y a des jours, la productivité n'est pas au top !
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