09 octobre 2006

Dette écologique

Une dépêche Reuters (pour changer, ça fait deux fois qu’on me charrie en deux semaines sur ma source habituelle d'informations) m’apprend la notion de dette écologique. Voilà trois extraits, vous êtes assez grands pour aller chercher des informations supplémentaires sur gogole.

Chaque année, la NEF calcule la date à laquelle la consommation de ressources dépasse cette capacité de renouvellement. Cette date anniversaire a été baptisée Jour de la dette écologique ou Jour du dépassement ("Overshoot day").


[…]

"En vivant autant au-delà de nos moyens environnementaux et en amassant de la dette écologique, nous faisons deux erreurs", avance Andrew Simms, de la NEF. "D'abord, nous privons des millions de personnes dans le monde, qui manquent de terre, de nourriture et d'eau potable, de la possibilité de satisfaire leurs besoins. Ensuite, nous mettons en danger les mécanismes de survie de la planète."

[…]

"Si par exemple on pêche davantage de poissons qu'il n'en naît, il y en aura moins l'année suivante."

Pourquoi en parle-je ? Ca fait quelques temps qu’on nous les brise menu (je voulais écrire rabâche, mais mes doigts ont glissés, par contre je ne sais pas comment écrire menu. Menues ?) avec cette histoire de « dette » qu’on laisserait à nos enfants. Il a plus grave.

Wikipedia nous apprend par ailleurs que : L’organisation équatorienne Acción Ecológica définit la dette écologique comme « la dette accumulée par les pays industrialisés du Nord envers les pays du tiers monde à cause du pillage des ressources, des dommages causés à l’environnement et l’occupation gratuite de l’environnement pour le dépôt des déchets, tels que les gaz à effets de serre, provenant des pays industrialisés »

A suivre...

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