18 octobre 2007

Séparation officialisée, selon mes informateurs (et le JT de F2)

La rumeur se précise ! Toute la presse en parle… Mais ça se termine toujours par « selon nos informations ». Il faut traduire : « nous n’en savons rien, mais il faut bien qu’on cause pour être avant les autres ».

Je vais donc me lancer à mon tour. Voilà mon préambule : « Ce que je dis après n’est pas une information, mais ce que je crois avoir compris en lisant la presse, les blogs, dont Partageons mon avis, les forums, le marc de café, celui de bourgogne, la Côte du Rhône, le houblon, les entrailles des chiens, … »

Cécilia Sarkozy et homonyme de son épouse et de moi se sont rabibochés en 2006 après une séparation en 2005. Pour se faire, Nicolas aurait dit à Madame : « Viens, ma poule, tu verras, on sera à l’Elysée, c’est joli, on a une vue sur le parc avec ses canards, ses oies, ses oursins, ses vespasiennes, … ». Je ne sais pas s’il a dit ma poule. C’est mon informateur qui dit qu’il a dit « ma poule ».

Elle a dit « Bon ! D’accord ». Elle a fait ça pour le bien des enfants, des poisons rouges et des oursins dont au sujet desquels j’évoquais préalablement à ce paragraphe.

Mais ! En juillet, après avoir fait le con devant la troupe (c’est mon informateur qui parle) pour les cérémonies du 14, elle se serait dit : « Tout ça me casse les couilles, j’me casse » (ce n’est pas Madame qui est mal embouchée, mais mon nain formateur).

Elle a rajouté : « Bon on va attendre un peu, on va aller passer des vacances aux US, c’est joli, il y a la Statue de la Liberté, le Grand Camion du Colorado, les usines General Motors, les clochards de Washington, la Grande Muraille de Chine et en plus le demi pression est à 2 dollars au comptoir ce qui est moins cher que 2 euros chez nous ».

Je me demande si mon informateur ne boit pas un peu.

De retour à Paris, elle s’est occupée de la rentrée des mômes pendant que Monsieur vaquait à ses occupations : discours et galipettes. Comme toute mère de famille, elle a fait les supermarchés pour acheter des cahiers, des cartables, des Nike, des casquettes à l’envers, du reblochon pour faire une tartiflette avec le petit personnel de l’Elysée et une caisse de Beaujolais, car à l’Elysée, côté Bordeaux et Bourgognes, ça va, mais de temps en temps, un truc un peu plus léger, ça ne fait pas de mal.

Je confirme ! Il boit !

Après tout ça, elle s’est dit « Ah ! Oui ! Au fait ! Il faut que je divorce, qu’on recommence pas toutes ces conneries protocolaires de rien ». Elle a commencé les papiers, les réunions avec les avocats payés à l’heure, … Quelqu’un a lâché le morceau et il y a eu des fuites, un peu comme Jackie, la copine à mon copain le Vieux Jacques, dont je parle sur « Partageons mes âneries ».

Tout ça a fini (pour l’instant) en début de semaine, où le juge lui a fait signer un papelard (une convention divorce, si j’ai bien compris !). Il semblerait que Monsieur signât mardi.

Et jeudi, à l’instant, l’Elysée sort le communiqué de presse qui va avec, repris par Le Monde.

Mon informateur ne dit pas que n’importe quoi. Même s’il dit beaucoup de bêtises (pour rigoler, Monsieur l'Agent).

6 commentaires:

  1. Pinaise, il est à la source (de côtes du rhone), ton informateur pour savoir tout ça !

    ;-)

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  2. Et des fois, dans les rayons, ils n'ont que des casquettes à l'endroit, c'est compliqué !

    [Je pense que david Martinon va pouvoir respirer un peu ! Pour le coup, je le plains, voilà trois jours qu'il sort la même phrase : pas de commentaires ! :-) ].

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  3. Fil,

    Il faudrait Sarko à l'intérieur pour mettre de l'ordre dans les casquettes !

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  4. C'est qui ton nain formateur? Le mien c'est passe partout !

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