06 février 2008

Appel Laique

Vous pensez que la loi de 1905 est un pilier de notre république, c'est pourquoi je me permets de vous inviter à vous joindre aux signataires du texte que vous trouverez à l'adresse : www.appel-laique.org

8 commentaires:

  1. nicolas, espèce d'obsédé de la pétition. tu sais que dans pétition il y a pet^^

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  2. ah non c'est contre ma religion^^

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  3. La laïcité, oui, bien sûr... j'y suis attaché autant que vous... Mais je vous rappelle que les instances musulmanes de France ont à plusieurs reprises fait savoir qu'ils la refusaient en bloc. Alors ? Vous proposez quoi ? On tape sur les cathos (en situation de coma dépassé) et, pour le reste, on attend de voir ?

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  4. mc,

    Il est temps !

    Didier,

    N'oubliez pas qui a fédéré les instances Musulmanes en France !

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  5. Oh ! mais non, je ne l'oublie pas ! Et c'est même l'un des nombreux griefs que je peux avoir contre l'actuel président - lesquels sont peut-être au moins aussi nombreux que les vôtres et ceux de vos lecteurs habituels (quoique sans doute pas les mêmes...).

    Simplement, il me semble (et je ne dis pas cela pour vous : encore aujourd'hui, dans le courrier des lecteurs du Nouvel Obs...) que brandir la laïcité avec des accents indignés dès que le pape remue une oreille et se faire tout doux et tout conciliant dès qu'il s'agit des revendications musulmanes est une position intenable et, pour tout dire, dangereuse pour la laïcité même (dont le concept n'existe même pas dans les pays islamiques). Il y a là une "géométrie variable" qui ressemble foutrement à une capitulation en rase campagne.

    Ainsi, lorsque Nicolas Sarkozy éprouve le besoin, en Arabie saoudite, l'un des régimes les plus tyranniques et rétrogrades de cette planète, inépuisable vivier du terrorisme islamique, d'annoncer triomphalement qu'on va construire plus de mosquées en France, alors qu'il sait très bien que jamais ses interlocuteurs n'autoriseront la construction de la moindre église sur leur territoire, il capitule en rase campagne et me donne envie de le bouter hors de l'Élysée à grands coups de pompe dans le fondement.

    Pour cette dernière opération, je sais pouvoir compter sur votre appui... même si mes raisons de le faire ne doivent pas vous agréer !

    Comme disent les bathmologues, il y a parfois plus d'écart entre deux "non" qu'entre un "non" et un "oui".

    Pour illustrer cela (puisque j'en suis à babiller), Renaud Camus cite le cas de cette comtesse italienne qui se flattait, après la guerre d'avoir été la toute première opposante à Mussolini. Et c'était la plus stricte vérité. Sauf que, partisane d'une dictature férocement d'extrême-droite, elle s'est opposée à lui en raison de sa jeunesse socialiste !

    Néanmoins, strico sensu, cette charmante dame était bel et bien "antifasciste" dès 1923...

    (Pardon de m'être "étalé" ainsi...)

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  6. Il faut s'étaler... et bouter Sarkozy.

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