06 juillet 2011

Réactionnaires de rien

Grâce à ma relation avec Didier Goux (relation de comptoir, hein, n'allez pas vous méprendre...), j'ai la joie d'être dans sa blogroll et d'être lu par sa clientèle de réactionnaires en peau de lapin. Ainsi, certains me prennent en exemple pour leurs billets sarcastiques et méprisants. C'est bien, ça diversifie les liens vers billets. Très bon pour les classements de blog.

Nos réacs sont un peu comme nos gauchistes, ils se revendiquent de la droite, mais de la vraie, hein ! 

J'aurais aime en faire une caricature mais c'est inutile. Il suffit de lire le dernier billet où mon blog est cité.

Ranger Pompidou et de Gaulle parmi les socialistes, il fallait oser franchir le pas. C'est fait.

7 commentaires:

  1. Ce fut globalement une catastrophe organisée par ce premier grand socialisme capitaliste qu’on appelait le Gaullisme.

    Avec de telles saillies, on ne peut plus douter en effet : La reaction se situe au niveau du cerveau sous l'effet du diéthylamide de l'acide lysergique auto-synthétisé par l'hémisphère droit des réactionnaires en carton.

    RépondreSupprimer
  2. essékika pris des communistes à couteau entre les dents dans son premier gouvernement, hmm ?

    essékika qu'a nationalisé comme une bête à la Libé, hmm ?

    essékiki voulait faire la participation salariale dans les entreprises, hmm ?

    essékiki a toujours été détesté par la “vraie” droite bourgeoise et affairiste, hmm ?

    Et si on compare Charles de Gaulle et Guy Mollet, cékika fait la guerre à outrance en Algérie et cékiki y a mis fin, hmm ?

    Je continue ou ça vous va comme ça ?

    RépondreSupprimer
  3. "Aux socialistes de tous les partis" ( Hayek-La route de la servitude ) :

    "La propriété, la direction, le bénéfice des entreprises dans le système capitaliste n'appartiennent qu'au capital. Alors ceux qui ne le possèdent pas se trouvent dans une sorte d'aliénation à l'intérieur même de l'activité à laquelle ils contribuent. Non, le capitalisme, du point de vue de l'homme, n'offre pas de solution satisfaisante. "

    " Ce sont les régimes communistes [...] qui encagent tout et chacun dans un totalitarisme lugubre. Mais le capitalisme lui aussi, d'une autre façon, sous une autre forme, empoigne et asservit les gens "

    " Si une révolution, c'est des exhibitions et des tumultes bruyants, scandaleux et, pour finir, sanglants, alors non ! [...] Mais si une révolution consiste à changer profondément ce qui est, notamment en ce qui concerne la dignité et la condition ouvrière, alors certainement, c'en est une. Et moi, je ne suis pas gêné dans ce sens-là d'être un révolutionnaire, comme je l'ai été si souvent : [...], en créant, à la libération, par les comités d'entreprise, par les nationalisations, par la Sécurité Sociale, des conditions sociales toutes nouvelles."

    Charles de Gaulle ( 7 juin 1968 )

    RépondreSupprimer
  4. donc, comme j'aime dire de certains un comique de plus (ignares qui croient savoir et n'ont pas du lire beaucoup de livres dans leur triste vie… ou alors ils choisissent ceux qui ont une imagination débordante et dédaignent la réalité des faits)

    ils sont le plus souvent ceux que je classe parmi les psychorigides : ils sont entourés de barbelés de leur certitude parce que, comme les crabes, l'intérieur est très fragile

    RépondreSupprimer
  5. Je lis au deuxième paragraphe que les HLM ont été une horreur de gauchisses et d'architectes. Or, ils ont été un énorme pas dans le progrès hygiénique puisqu'on y trouvait pour la première fois une salle de bain.
    Sur une telle méconnaissance de ce dont il radote, j'ai arrêté ma lecteur là !
    :-))

    [T'as de la chance je n'ai aucun troll. A croire qu'ils n'aiment pas les légumes ! :-) ].

    RépondreSupprimer
  6. De Gaulle a acheté une gentilhommière un temps dénommée "La Brasserie". C'est ce qu'il a fait avec un certain brio en politique. Quant à Pompidou, il était de Montboudif c'est-à-dire un petit peu en dessous du centre. Mon conseil : en France, ne roulez à droite que si vous êtes complètement beurré.

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...