A Paris, côté habitat indigne, on a même l’habitat Griveaux.
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
17 février 2020
12 commentaires:
La modération des commentaires est activée. JE SUIS LE SEUL à décider des commentaires qui sont supprimés et ils ne le sont jamais pour divergence politique sauf si les propos tiennent du harcèlement de la part d'imbéciles qui ne savent pas prendre acte d'un constat de désaccord.
Je supprime les commentaires qui n'apportent rien à l'esprit de ce blog, tel que je me l'imagine. Tant pis pour les andouilles qui voient autre chose...
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Tout ça pour amener à ça… C’est fort !
RépondreSupprimerBah.
SupprimerOn notera que le titre produit par les analphabètes du Monde est fâcheusement amphibologique : veut-on nous dire qu'il s'agit d'un habitat indigne, ou bien que cette affaire suscite l'indignation ? Telle que la phrase est bâtie, impossible d'en décider.
RépondreSupprimerNon, pardon : ce n'est pas l'affaire qui pourrait susciter l'indignation mais bien la municipalité elle-même. Ce qui ne change rien à l'ambiguïté de la chose.
SupprimerC’est compliqué.
SupprimerAprès l'habitat griveaux, l'habitat Gaudin ?
RépondreSupprimerBeurk !!!
Elle est molle.
SupprimerS'il n'y avait que ça...
SupprimerDe mou bien sûr.
On avait eu l'Habitat Montebourg!
RépondreSupprimerOui !
SupprimerToto n’osera jamais devenir ministre du logement...
RépondreSupprimerAh merde.
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