27 février 2018

Les opposants à la réforme déraillent

J'ai lu plein de publications au sujet de la SNCF et je reste sur ma faim. J'en ai lu une bonne, de Bastamag, je crois, qui rappelle ce qu'est la SNCF, une boite tournée vers l'international, avec plus de 1000 (1300 ?) filiales. 

Je reste sur ma faim, tout d'abord, sur la fin du statut de cheminot (pour les nouveaux embauchés), fin qui concerne surtout l'emploi à vie. Je le disais dans un récent billet de blog : il faut que les gugusses qui ont des horaires décalés, des contraintes de déplacement et tout ça gardent des avantages acquis, notamment des jours congés supplémentaires, mais, l'emploi à vie ne doit plus être maintenu même si c'est bien dommage, ma brave dame, mais dans cinq ou dix ans, les lignes entièrement automatisées vont exploser. 

Les socialistes, en particulier, ne doivent pas l'oublier. L'accompagnement de la mutation du travail est essentiel. Ils ont défendu la taxe robot (mal nommée) et le revenu universel pendant la campagne présidentielle mais reviennent sur leurs vieux démons. Comme les zacquissociaux. 

Macron l'a très bien compris (ce que soulignent plusieurs publications) : il a commencé à opposer les paysans (qui vivent des politiques européennes, cela étant) et les cheminots. Les syndicats rêvent d'une grève comme en 1995 mais n'y croyons pas. A l'époque, on soutenait les grévistes pour différentes raisons. Cette fois, je ne sais pas...

Je parlais des socialistes. Il y en a qui parlent du "service public du transport ferré". C'est une erreur. On doit avoir un service public du transport. Pas du ferré. En outre, qu'ils n'oublient pas que ce sont les socialos au pouvoir qui ont fait la dernière réforme de la SNCF (qui comprenait déjà l'abandon du statut de cheminot mais cela n'a pas été pris en compte). Et ce sont également eux qui ont fait les décentralisations qui font que les petites lignes dépendent plus des régions que de l'Etat. Et c'est heureux. 

Reste "le motif caché de la réforme" : la privatisation. C'est ce dont parle Bastamag. 
https://www.bastamag.net/Comment-la-SNCF-a-cree-des-centaines-de-filiales-pour-mieux-preparer-le
(En cherchant le lien, je me rends compte que c'est un vieil article). 

Que l'Etat reprenne la dette me semble logique. Mais, c'est un peu comme pour les autoroutes, quand l'actionnaire détient une pépite, c'est complètement con de la vendre. 

Voila mon avis. Et vous comprendrez que les propos à l'emporte pièce me fatiguent. 

24 février 2018

La reforme duraille


Ceci est mon deuxième billet du jour après 9 jours d'abstinence. C'est de la faute à Denis. ;-) Toujours est-il que je voulais en faire une suite au rapport Machin sur la SNCF et sa nécessaire réorganisation mais mon poil dans la main m'a empêché. 

C'est alors que je suis tombé, grâce à Hip et non pas Hips, sur cette publication : les trains sans conducteur arrivent. 

Et on voit des militants bas du front nous expliquer qu'il ne faut pas remettre en cause le statut de cheminot. Je défends évidemment les avantages dont ils bénéficient, notamment en compensation de leurs horaires délirants et des conditions de vie du personnel roulant (Ben oui, un contrôleur parisien qui doit passer la nuit à Passy sur Eure parce que son train s'arrête là...).  

Par contre, il faut bien reconnaître que le marche du travail évolue. C'est bien. Des métiers chiants disparaissent. C'est mal, ça fait du chômage patati patata. 

Mais il faut bien reconnaître que l'emploi à vie n'est plus possible. Les statuts particuliers doivent disparaître. Doucement. Et pas tous. Étudions au cas par cas. A l'occasion. 

Tout comme la fameuse suppression des petites lignes. Certaines doivent disparaître, par exemple quand une ligne de car est plus efficace. C'est le cas pour la petite ligne que je prends le plus souvent (Saint-Brieuc - Loudéac). 

Mais des andouilles pensent que le service public doit passer par le train alors que l'essentiel est de permettre aux gens de se déplacer. 

Notons que ce sont de vils réactionnaires hostiles à tout changement et se prétendant progressistes. 

Pensons peu mais pensons bien !


Ce dessin m'avait bien fait rire. Il avait été RT par la Licra, un des seuls organisme "contre le racisme et l'antisémitisme" qui garde tout mon respect. D'après mes informations (un commentaire dans Facebook, pour vous dire le sérieux de la chose), ils ont obligé de retirer leur tweet suite aux différentes critiques de différents bien pensant de gauche comme un député LREM et Tariq Ramadandufondquibaigneentaule. 

C'est bien triste ma pauvre dame. On ne peut plus penser. 

D'ailleurs, ça fait neuf jours que je n'ai rien foutu dans ce blog, ce que me fait remarquer un honorable confrère à qui je tiens à signaler que j'ai toujours là capacire à faire un billet de blog avec n'importe quoi. Mais j'ai eu la flemme. Trop de boulot. 

Profitons de ce moment pour souhaiter un bon anniversaire à l'andouille. 

15 février 2018

Des problèmes de riches de la vie quotidienne

Je n'ai pas raconté ma double dernière connerie. Ainsi, depuis samedi, je n'ai plus de carte bancaire. Ça me préoccupe. Quand vais-je en avoir une et tout ça ? Admettez que, pour un type comme moi, ce n'est pas facile de manquer de liquidités, emprunter aux copains (merci Djibril), faire des notes au bistro (merci Francois et l'autre, à La Défense). Ce n'est pas mon style. Je sais : c'est un problème de riche. 

Ce matin, je me suis réveillé à 5 heures. J'ai immédiatement compris que ce n'était pas la seule envie de pisser. C'était définitif. J'ai décidé de faire une activité que je ne peux faire que de nuit : jeter les vieux papiers inutiles, notamment les publicités, des journaux,... Pourquoi que de nuit me demanderez-vous ? Parce que c'est le genre de truc qu'on ne fait que tous les deux ou trois ans (quand la pile atteint une quarantaine de centimètres) et que les deux dernières fois, j'ai croisé la même voisine qui m'a fait une leçon de morale au motif que ce n'est pas prudent de jeter des papiers sans les broyer n'est pas prudent. Je lui répondais que les papiers n'ont rien d'important. Elle me rétorquais qu'il y avait mon nom sur certains avec mon adresse. Je suis dans l'annuaire et elle ne sait pas ce que je publie dans les réseaux sociaux. 

Donc, je prends la pile et l'ascenseur. Je me trompe d'étage (je prends celui de la sortie piéton et pas le sous sol où est le local poubelle). Je décide de jeter mes papiers dans la poubelle du hall et je me rends compte alors que ça allait faire chier la concierge. Je choisis alors d'aller jeter ça dans la poubelle "municipale" dans l'espèce de jardin devant l'immeuble. Elle était bouchée par un énorme sac poubelle qu'il fallait que je soulève pour mettre mes trucs dessous. 

Vous voyez que le suspens est à son comble. 

Chez moi, je m'étais habillé rapidement sans mettre ma ceinture. J'avais un paquet de papier sur un bras et j'utilisais ma main libre pour tenir mon pantalon (et ouvrir les portes). Et soulever les sacs poubelles qui bouchent les machins. 

Vous êtes dans l'ambiance ?

Je soulève le truc et constate que le machin est plein. Je reste quelques secondes à réfléchir. Et je me retrouve en caleçon sur la place avec les deux mains occupées. 

(J'ai mis les papiers sur la poubelle pleine, remis le gros sac dessus, remonté mon pantalon, me suis assuré qu'il n'y avait aucun risque que le tout de casse la gueule)(il y a des gens assez cons pour jeter des sacs poubelles dans des poubelles dans des parcs publics)(je sais : j'y ai jeté des papiers mais n'ai pas mis de sac). 

Je remonte chez moi, genre soulagé, et décide de me coucher pour jouer avec mon iPhone. Je me rendors... A 8h45, je me réveille. Sachez qu'il faut que je parte de chez moi avant 9h pour avoir une chance d'arriver au boulot à une heure raisonnable (10h). J'avais la tête dans le cul. Je décide de m'asseoir sur mon fauteuil le temps de consulter mes mails, soit cinq minutes. Au moment de poursuivre l'opération, je tente de me lever et je me retrouve comme si j'étais malade, dans aucune force, l'envie de me recoucher. Ca a duré quelques secondes, le temps d'arriver à la salle de bain (je n'avais plus le temps d'un passage mérité vers les toilettes). La douche m'a réparé. 

J'arrive au bureau vers 10h. Je bosse sans même aller sur Facebook. Les collègues viennent me chercher pour le repas. Malgré le fait que je n'avais pas eu le temps de passer aux toilettes et que l'envie devenait plus pressante, je les ai accompagnés. Je suis remonté au bureau et vers 13h45, je n'en pouvais plus. Je suis allé aux toilettes. Elles étaient pleines (d'utilisateurs). Je décide d'aller à l'autre étage que me boite occupe, 20 étages en dessous. L'ascenseur met du temps à arriver. Je n'en pouvais plus. 

Ca s'est bien terminé. Qu'est-ce que vous espériez ?

14 février 2018

De Ass


Je n'ai pas le temps de faire un billet de blog ce soir. J'ai des gonzesses à violer. Désolé. 

13 février 2018

Polémiques printanières

Les polémiques autour du Printemps Républicain me surprennent toujours. Quand elles viennent d'imbéciles gauchistes bas du front, elles m'amusent toujours (et je suis fâché avec eux même si, par vice, je reste abonné à leurs blogs). Mais quand les trucs viennent de copains plus modérés, je suis circonspect. 

Depuis un mois, je suis membre du PR. J'ai lu plein de trucs avant et mon choix était réfléchi. Depuis je lis toutes leurs communications et celle des "chefs" comme Amine et Laurent.  Les mots sont pesés et je n'y trouve rien à redire, y compris quand je tombe sur leurs tweets. Il est hors de question que je puisse rester membre d'un machin dont je n'approuve pas les publications. 

Il y a, je crois, un manque de discernement que j'aimerais comprendre (je ne peux soupçonner de la moindre bêtise certains de mes copains circonspects, donc ce n'est pas un manque de discernement). Y a un truc qui m'échappe. Peut-être l'effet "riposte systématique" qui génère l'effet meute. Mais peut-on faire autre chose, laisser tomber des abominations,... ?

11 février 2018

Vive Chicago !


Un illustre copain tient une boutique à Chicago. Il a pris cette photo de sa vitrine. C'est extraordinaire. 

10 février 2018

Alléluia !

Je n'ai aucun avis sur l'affaire Mennel et je vais m'empresser de donner mon non avis. Je n'ai pas d'avis parce que ça ne m'intéresse pas et parce que je n'ai pas envie de juger de la gravité de tweets que je n'ai pas lus. 


Que des fachos en culotte courte utilisent son turban pour chier sur l'islam est la routine. Et que des gauchistes en culotte courte profite de l'occasion pour assimiler les défenseurs de la laïcité et de la République à ces fachos est aussi la routine. 


Cette jeune fille a parfaitement le droit de chanter avec un slip kangourou sur la tête surtout si elle le fait magnifiquement avec une chanson sublime d'un chanteur grandiose même si un tantinet juif (je déconne, c'est Libération dans son article pour défendre la luronne qui rappelle que Cohen est juif ce qui ne m'était jamais venu à l'idée, je croyais que c'était un chanteur. Véridique. Je ne fais pas l'amalgame entre le nom d'un type et sa religion. C'est un truc d'athées, de vrais athées, sans aucune éducation religieuse,... La religion nous échappe. Les racistes, islamophobes et autres antisémites ne sont pas toujours où on croit mais je m'égare et je crois bien avoir une parenthèse à fermer)(c'est chose faite)(mais je ne sais plus où j'en étais, il va falloir que je me relise). 


Elle a le droit de chanter, de passer à télé. On a le droit d'aimer. Et tout ça. On a le droit de penser que mettre un voile pour se cacher et passer à la télé est grotesque. On a le droit de penser que chercher la célébrité après avoir tweeter que le gouvernement est une bande de terroristes pendant que le pays est à feu et à sang est de préparer à recevoir des baffes dans la gueule. 


Alléluia et tout ça. 


Cela étant, le voile ne change rien. La gonzesse est bonne et j'ai de mauvaises pensées. 

09 février 2018

PowerPoint et alors ?

On a eu une miniconférence, ce midi, à propos de la communication. C'était passionnant mais peu importe. Pour illustrer le thème "trop de communication tue la communication", le type a pris pour exemple un  phénomène : des lascars comme nous (cadres dans le siège d'une grosse boite) reçoivent l'équivalent de 400 pages de lecture par jour. J'ai vérifié avec mon cas personnel : on est proche de la vérité. Et on ne lit pas tout, évidemment, ce qui est d'ailleurs logique (si un collègue envoie un document à un autre en me mettant en copie pour une raison ou pour l'autre, je ne vais même ouvrir le document).

Et je vous passe tous les textes trop longs que je vois dans les réseaux sociaux... ;-)

La conf était organisée autour de la méthode à utiliser pour bâtir une présentation Powerpoint. Il est vrai que subir de longues séances avec des informations qui nous entrent par une oreille et sortent par l'autre est un tantinet gonflant. Les mecs qui rédigent les "slides" écrivent plein de trucs pour différentes raisons (donner de l'information, s'abstenir de faire des notes précises, montrer qu'ils ont travaillé, qu'ils ont la science et j'en passe). Certaines sont louables, d'autres pas. On a des gens qui s'imaginent soigner des présentations avec des beaux graphiques (qui ne servent à rien mais font scientifiques) et des animations (qui sont contre-productives, le cerveau est concentré sur l'animation et pas ce qu'on veut dire). Les présentations sont articulées pour dire ce qu'on a à dire mais pas pour le message qu'on souhaite que les auditeurs retiennent. 

Ca me rappelle le président de la boîte où je bossais avant qui interdisait les slides lors des présentations auxquelles il participait et, d'ailleurs, à chaque fois que j'ai assisté à des présentations professionnelles par des sommités, il n'y avait pas de support.

Il y a des gens très sérieux qui travaillent sur les slides. Par exemple, des scientifiques qui mettent des lunettes spéciales à des cobayes pour étudier le mouvement des yeux quand ils lisent des slides. C'est fou ce par quoi le regard est attiré et les parties qui ne sont pas lues.

Il nous a fait faire un exercice, il nous a demandé de mettre les téléphones dans nos poches pendant cinq minutes (ben oui, pendant les réunions peu importantes, on guette les notifications en cas de problème), nous a filé, à chacun, une feuille blanche et un stylo. Faites l'exercice, tiens ! Ensuite, il nous a demandé de dessiner en quelques secondes le logo d'Appel. Personne d'entre nous n'a été capable de le faire alors qu'on voit le logo toujours... (il nous a expliqué le logo mais je ne suis pas sûr d'avoir compris : c'est évidemment une pomme croquée, mais ce qu'on a au dessus, l'espèce de queue ou de feuille, est exactement ce qu'il faut pour boucher le trou "croqué", ce qui crée une sensation d'équilibre entre les moitiés).

Il nous a donné des conseils pour faire des présentations. Je ne vous en dirai pas plus (ce n'est pas par cachotterie, mais je ne suis pas formateur, je pourrais dire des conneries).

J'ajoute, "à titre personnel", que ces conseils ne servent pas à grand chose. Dans les boîtes, nous sommes confrontés à un formalisme (telles couleurs, tels fonds,...) contre-productif, nous avons des chefs qui nous relisent et ne sont pas d'accord. Nous avons des auditeurs formatés pour avoir l'information dans le slide et pas dans une note d'accompagnement, qui ont la flemme de prendre des notes (d'ailleurs on est tellement habitué à recevoir du texte qu'on ne prend pas de note). Donc ils gueuleraient parce que le support est incomplet ! Bref, on est habitués à lire des slides plutôt qu'à regarder une présentation sur un écran. C'est tout le drame de Powerpoint. Les gens l'ont pris pour Word. Ils y mettent du tableau, du texte, des graphiques.

Et oublient de mettre le message qu'il faut faire passer, les éléments qui permettront à un supérieur hiérarchique de prendre une décision sans avoir à se fatiguer à lire des trucs sans importance alors qu'il a des collaborateurs (nous...) pour penser à sa place.

07 février 2018

L'arène des neiges et le roi des cons

De mémoire, du temps d'Hollande, on n'avait pas été emmerdé comme ça par la neige, à Paris. Toujours de mémoire, la dernière "catastrophe" date du dernier hiver de Sarkozy au pouvoir. 

Et déjà, à l'époque, les crétins accusaient le pouvoir d'être incompétent, de ne pas avoir pris les bonnes mesures. On se rappelle d'ailleurs les déclarations ridicules de certains politique (je ne sais plus si c'est pas Guéant, ministre de l'intérieur, qui avait dit qu'il n'y avait aucun risque. Au moins, ce n'est pas arrive cette fois). 

Et les gens gueulaient. Et j'avais un blog d'opposition obligé, par objectivité, de défendre le gouvernement. Ces gens disaient que les autorités étaient incapable d'agir comme, par exemple, au Canada. Et je répondais : connard, tu veux payer des astreintes pour que des agents soient logés à des endroits stratégiques avec des équipements de déneigement proches des lieux ou une intervention sera évidente (je me comprends) pendant les cinq mois par an où il y a un risque pour un truc qui nous emmerde deux jours tous les quatre ou cinq ans ?

Cette année, on a les mêmes abrutis. On a même Juppé qui a fait un tweet (qui a buzzé) pour engueuler la SNCF parce que son TGV a mis 4 heures pour aller de Paris à Bordeaux à cause de 5 centimètres de neige ? Pure démagogie débile ! Et s'il y avait eu un accident parce que le TGV avais mis 100 mètres de trop à s'arrêter ? 

Mais il y a un progrès, cette année. Ce n'est sans doute pas politique ou organisationnel, mais technologique. On savait, à l'avance, que ça allait être le bordel alors qu'en 2012, il me semble que c'était moins prévu. A six heures, hier matin, et peut-être avant (j'ai la flemme de rechercher), tous les flashs d'information nous prévenaient des risques. 

Et on trouve toujours des abrutis qui disent que "on" a rien fait pour gérer le problème. Je vais leur répondre : connards, on vous a dit à la télé, la radio, sur internet,... de ne pas prendre la voiture et vous l'avez fait quand même. 

Je ne peux rien pour vous. Les autorités non plus. En 2012, il avait commencé à neiger plus tard. Hier, dès le matin, le bordel était prévisible par  le premier imbécile ouvrant les yeux. 

Impardonnables.

01 février 2018

La bourde du jour en communication politique

Cette histoire est délirante. Nous avons un type qui a tué sa femme (d'après la rumeur parce qu'elle a dit qu'il bandait mou). Son avocat dit des conneries à la télé. La ministresse du droit des gonzesses dit, à raison, qu'on ne peut pas justifier un feminicide avec de telles conneries. 


Le chef du parti unique du gouvernement auquel elle appartient répond que les ministres n'ont pas à entrer dans une affaire judiciaire ce à quoi elle est obligée de répondre (illustration). 


Si le patron de LREM de permet de recadrer un membre du gouvernement, on ne peut pas omettre d'imaginer que ce type est un vrai con. D'autant que le recadrage en question est complètement crétin. 


Si un avocat dit des conneries sur un me affaire judiciaire à la télé pour essayer de convaincre le public que son client ne mérite pas de condamnation, il mérite des baffes et, surtout, de se faire recadrer par un membre du gouvernement. 


Et si Casta laisse entendre qu'une ministre du gouvernement intervient dans une procédure judiciaire, il mérite d'être licencié sur le champ. Même du temps d'Hollande au pouvoir, on n'avait pas vu une telle erreur. Pourtant, les chefs du PS de l'époque... Dépasser CambaDesir, il fallait le faire.