23 août 2020

Fin de vacances masquées

En ce cent-soixantième jours de crise (23 semaines demain), les congés se terminent. J’ai fait à peu près ce que j’avais prévus : une petite visite à Paris, puis près de trois semaines à glander à Loudéac et dont une en gardant Ghao qui vient de partir alors qu’il commençait à peine à connaitre la maison et moi… Pendant les deux premières semaines, j’aurais dû partir quelques jours avec ma mère et, les autres, l’amener à la maison mais le reconfinement a fait son job.-

 

Les covidosceptiques qui pullulent dans les réseaux sociaux continuent à me fatiguer. Ils continuent à nier une crise grave ce qui les poussent à trouver tous les prétextes possibles genre : « les gouvernements sont à la solde de bigpharma pour vendre des vaccins ». Aucun recul, de la bêtise pure. La crise est mondiale, des pays ont leurs frontières totalement fermées mais des ahuris franchouillards continuent à dénoncer, pour dénoncer, ce qu’ils trouvent à dénoncer alors que l'industrie pharmaceutique gagne plus à soigner les gens qu'à les empêcher d'être malades... Les industriels ne vont pas se dépêcher à produire des vaccins pour lesquels ils doivent investir beaucoup alors qu'ils ne sont pas persuadés de gagner de l'oseille à faire vu qu'il est probable que plusieurs vaccins seront trouvés et que la loi du marché entraînera un prix dérisoire...

 

L’OMS a récemment communiqué qu’elle espérait que la pandémie soit stoppée avant deux ans. Plus drôle : depuis hier, le port du masque est obligatoire à Loudéac sous prétexte quand on est dans une zone touristique ce qui est totalement faux. Cet arrêté est délirant. Le port du masque est obligatoire à Trégastel mais pas à Lannion et à Perros. On se demande si le préfet ne picole pas un peu (ou, plus précisément, si son secrétariat est bien réveillé en aout).  Néanmoins, la mesure, même surréaliste, n’est très certainement pas décidée à la légère. La crise est réelle, c’est-à-dire qu’il y a un réel danger et une vraie nécessité d’amplifier les mesures de protection !

 

J’espère évidement que les optimistes ont raison (il se dit maintenant que le virus à muter et n’est plus méchant mais il n’y a aucune preuve) mais nous ne pouvons pas vraiment prendre de risque d’autant qu’il n’y a rien de très grave à porter un masque, éviter les rassemblements et j’en passe comme rester faire du télétravail en Bretagne même s’il n’y aucun bistro ce soir pour la finale et une offre réduite, demain, comme tous les lundis.

 

Ghao a occupé le jardin pendant une semaine ; j’ai raconté quelques péripéties dans Facebook (vivre avec un nouveau maître dans une nouvelle maison que l’on connaît un peu n’est visiblement pas facile). Pour ma part, je n’ai rien fait dans ce jardin pendant mes trois semaines de congés. La météo n’a pas été au top (rien de dramatique) et, surtout, je crois que j’aime bien faire des pauses de 10 minutes pendant mes journées de travail pour tailler trois rosiers ou tondre la pelouse, enlever des mauvaises herbes sur les pavés… Dans mon planning des jours de congés, je n’arrive pas à planifier les interruptions de siestes ! J’ai même presque l’angoisse de ne pas avoir assez de temps pour la faire entièrement et, cette après-midi, où je n’avais rien d’autre à faire, je n’ai fait que dormir.

 

Cela m’amuse ! Pendant mes journées de télétravail, j’arrive à faire des pauses pour le jardin et les blogs mais pas pendant les vacances, alors que je travaille réellement. C’est une question d’organisation et uniquement cela… Au début du confinement (et même pendant les deux mois), c’était le contraire (et c’est pour ça que je le note ici, sinon, cela n’a évidement aucun intérêt) : je n’arrivais pas du tout à m’organiser et c’est bien au bout de huit ou dix semaines que j’ai retrouvé ma précision voire ma rigueur « légendaire », totalement perdue pendant ces congés !

 

On verra ce que donnera demain ! Ce soir, en finissant la rédaction de ce billet, je n'ai qu'une seule préoccupation : vérifier qu'il y a bien du blanc à la cave pour boire avec la brandade de morue achetée au rayon frais d'Intermarché en attendant le début du match, un match historique : je n'arrive pas à m'en foutre. Je n'aime pas le foot mais j'aime bien quand les clubs français font des exploits !

22 commentaires:

  1. « Néanmoins, la mesure, même surréaliste, n’est très certainement pas décidée à la légère. »

    C'est beau, la foi…

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Rien à voir : vous croyez que les guignols qui nous gouvernent font ça par hasard ?

      Supprimer
    2. À peu près, oui. Ce n'est d'ailleurs pas vraiment leur faute, dans la mesure où leurs électeurs exigent d'eux qu'ils fassent "quelque chose" et qu'ils ne savent évidemment pas quoi.

      D'autre part, si crise il y a, et si mondiale elle est, il ne faut pas en incriminer ce malheureux virus "covidentiel", qui n'est là que comme modeste déclencheur. Un peu comme un archiduc austro-hongrois qui se ferait assassiné par un Serbe excité, ce qui déclencherait finalement une guerre mondiale. Sinon, franchement, au vu du nombre de morts sur l'ensemble de la planète et l'âge moyen des morts en question, il me paraît légèrement outré de parler de "crise mondiale", si on n'envisage strictement que la "pandémie" virale.

      Supprimer
    3. Ben justement, s'il n'y a rien, pourquoi font-ils tout ça ?

      Supprimer
    4. Tenez, voici à point nommé, et dans notre sujet, un article de votre ami H16.


      https://www.contrepoints.org/2020/08/24/378510-epidemie-hysterie-hygieniste-des-lendemains-qui-chantent-peu

      (Désolé, je ne suis plus foutu, ce matin, de faire un lien qui fonctionne !)

      Supprimer
    5. C'est contrepoints, une officine libérale. Ils oublient que le gouvernement français n'est pas le seul "taré". Et ils oublient les raisons potentielles de ce bordel gouvernemental.

      Supprimer
    6. Je m’immisce dans le débat mais plus ça va plus je partage les interrogations de Didier. Et plus je pense qu'ils pilotent totalement à vue, et que la seule crainte est de ne pas être "coupable d'inaction" comme ils l'ont été au début où le masque ne servait à rien et où "ceux qui n'ont pas respecté le confinement sont malades et bien fait pour eux" dixit le préfet de police de Paris.

      je suis un gêné car aujourd'hui on nous parle de reconfiner Marseille. On impose à certains le masque (utile hier pour les connards qui ont tout cassé à Paris, on ne les a pas trop reconnu... Quoique la cagoule protège elle du Covid ?)
      Par contre on ne reconfinera pas pour ne pas tuer l'économie. Et une petite musique lancinante "oh, le virus est moins grave... Et puis on a des masques... c'est bien".

      Par hasard je ne sais pas. Mais je n'aimerais pas être en fonction en ce moment dans une municipalité ou ailleurs, c'est un vrai bordel.

      Supprimer
    7. Didier et toi devriez lire le dernier édito de Polony dans Marianne.

      Pour le reste, je n’ai pas de réponse à deux questions :
      1.pourquoi critiquer la France alors que tous les pays font la même chose (en France, on a en plus de grosses erreurs de communication) ?
      2. A qui profite le crime ? Pourquoi maintenir cette pression s’il n’y avait pas un potentiel vrai danger ?

      Supprimer
  2. Je ne suis pas d’accord avec M. Jegou (c’est assez constant chez moi) mais je partage par contre le point de vue de H16 dans son billet de ce jour. Toutefois, l’argument portant sur la faible chance d'avoir un alignement de tous les gouvernements sur plus ou moins les mêmes mesures "tarées" (Jégou dixit) est intéressant. Faut-il le retenir ?
    A première vue, on pourrait penser qu'il est étrange que tous les gouvernements, du parti communiste chinois au gouvernement US en passant par les ayatollahs iraniens aillent plus ou moins dans la même direction et pratiquent pèle mêle l'atteinte aux libertés de déplacement et de commerce, le port du masque obligatoire, les tests peu probants mais tout aussi obligatoires, et bientôt l'obligation de vaccination ... Les seules différences étant dans l'intensité de ces mesures et dans les moyens de faire obtempérer les récalcitrants : Amende à 135 euros ici, coups de bâtons en Inde, perte de points sur son "crédit social" en Chine. M. Jégou en tire la conclusion que puisque tous les systèmes politiques répondent de la même façon c'est que nous avons affaire à un virus très sérieux et très méchant. Je pense qu'il va un peu vite en besogne, et qu'il oublie plusieurs points.
    - La connerie est assez bien partagée de par le monde (et même au sein de chacun de nous) et donc chez les membres des gouvernements qui nous représentent peu ou prou. Peu sont capables de prouesses et de courage. Churchill est une exception, le président Lebrun la règle dans le personnel politique des nations.
    - Internet a créé une opinion publique mondialisée dans un monde passablement sécularisé au préalable et donc terrorisé à l'idée de la mort. A cette panique collective et mondiale, il n'est pas étonnant que des gouvernements essayent de répondre par le même moyen : Une privation des libertés qui rassure. Plus la potion est amère, plus les citoyens la considèrent efficace. Dès que le vaccin sera disponible, ce sera la ruée ! Gare a l’homme politique qui ne l’aura pas rendu obligatoire.
    - La plupart des membres des gouvernements de la planète ont une faible culture scientifique. Si on leur propose deux modèles de propagation d'un virus, l'un catastrophique et l'autre mineur, ils ne pourront pas les juger sur leurs fondements scientifiques. Ils vont donc jeter leur dévolu sur le plus catastrophique : C'est celui qui pourra les mettre le mieux en valeur et, dans certains pays, c'est celui qui leur permettra de limiter leurs risques juridiques. Tous leurs choix procéderont donc du même biais.
    - Le dernier et peut être le plus intéressant point que M. Jégou a oublié, malgré le rappel de son camarade socialiste M. Strauss Kahn dans un intéressant article du Point d'avril dernier, est la leçon de M. Karl Polanyi. M. Karl Polanyi est un économiste du début du XXème siècle, tendance socialiste à lunettes. Ce bon Karl (tous les socialistes sont bons par définition) a théorisé qu'à l'échelle du monde, les périodes de libéralisme (comme celle que nous avons vécu partout depuis la fin des années 70) ne sont que des périodes limitées entre des moments de régulations. Nous avons probablement terminé une période de libéralisme sans nous en rendre compte en 2008 avec la crise des subprimes et, comme dans un moment de cristallisation d'un liquide en surfusion, les gouvernements, qu'ils soient composés de sages ou de de clowns, se sont tous mis subitement et comme un seul homme à réguler, à décréter, à interdire, à créer de nouvelles taxes. Le COVID n'est qu'un catalyseur, un mouvement d'aile de papillon à l'origine d'un cataclysme. Mais il n'est pas la cause majeure ni principale du mouvement unanime et liberticide que nous pouvons observer. COVID ou pas COVID, il reste impératif de lutter pour nos libertés et de continuer de porter un regard critique sur les propos de M. Jégou et les mesures de M. Macron en matière d’hygiène.
    CQFD

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu es fou et con. Laissons tomber le premier point, pour le deuxième, tu n'as pas lu mes billets et je ne fais qu'avoir un regard critique...

      Supprimer
    2. Pour une fois que vous aviez un commentateur sensé et essayant de n'être pas totalement superficiel, il faut encore que vous nous le fâchiez !

      Vous n'êtes pas raisonnable…

      Supprimer
    3. Mais si !


      David Simard
      al23 astSpiasuootûtnasle, o2rre2lc:ac47di ·
      #Covid_19 Plusieurs contre-vérités circulent sur les réseaux sociaux (notamment sur Facebook, partagées par certain.es de mes contacts) à propos des indicateurs hospitaliers :
      1) les hospitalisations baissent : VRAI mais FAUX. Ce sont les hospitalisations en cours qui continuent de baisser (en moyenne sur 7 jours). Mais celles-ci, comme je l'ai souvent répété, sont le solde entre les entrées et les sorties. Or, les entrées hebdomadaires à l'hôpital augmentent de façon continue depuis 5 semaines. La baisse des hospitalisations en cours est due au fait que les sorties hospitalières restent supérieures aux nouvelles entrées. Mais depuis 4 semaines, l'écart entre les entrées et les sorties ne cesse de se réduire, et les courbes se rapprochent. Elles pourraient donc bientôt se croiser, avec les entrées devenant supérieures aux sorties, cessant ainsi de masquer la hausse continue des nouvelles hospitalisations. Précisons en outre que ces dernières ont presque doublé en 5 semaines (1060 au 21 août en semaine glissante contre 583 il y a 5 semaines).
      De plus, les sorties hospitalières incluent les sorties par décès. Or, la part de ces derniers dans les sorties a doublé en 5 semaines (passant de 4,2% à 8,2%). Cela reste pour l'instant sous les 10% et nous sommes loin des 25% de sorties hospitalières par décès de mars dernier. Mais cet indicateur doit être pris en compte dans le niveau des sorties hospitalières, avant de se satisfaire de la baisse des hospitalisations en cours.

      Supprimer
    4. 2) Les réanimations stagnent : VRAI mais FAUX, pour les mêmes raisons de jeu de solde entre les entrées et les sorties. Depuis 4 semaines, la moyenne sur 7 jours des réanimations en cours stagne (autour de 360), mais les nouvelles admissions en réanimation et soins intensifs augmentent depuis 4 semaines, et ont même doublé sur cette période (175 au 21 août en semaine glissante contre 86 il y a 4 semaines).
      3) Il n'y a plus de décès : FAUX. Le nombre hebdomadaire des décès a cessé de descendre il y a 5 semaines (à l'exception d'une légère baisse du 1er au 7 août en semaine glissante). Il réaugmente depuis 3 semaines (93 au 21 août en semaine glissante contre 68 le 7 août, et entre 72 et 83 les semaines précédentes). Certes, il n'y a pas à ce jour de hausse spectaculaire des décès, qui restent sous la barre des 100 par semaine. Nous sommes loin des centaines de décès par jour de mars-avril. Mais les décès sont bien repartis à la hausse, ce qui ne peut être ignoré.
      4) l'épidémie est terminée (en France) : FAUX. Le virus circule toujours, et les tests positifs tendent à indiquer que sa diffusion est croissante. Cette diffusion constitue le réservoir d'où seront issues les nouvelles hospitalisations et réanimations, et malheureusement les nouveaux décès. Le fait que l'augmentation actuelle des indicateurs hospitaliers reste dans des proportions bien inférieures à ce qu'il en était au pic de la première vague épidémique n'est pas un argument recevable pour décréter la fin de l'épidémie. Nous ne vivons pas actuellement une deuxième vague si l'on réserve cette expression à l'augmentation exponentielle des indicateurs hospitaliers (ce qui est réducteur : la définition d'une vague épidémique ne repose pas uniquement sur les cas d'hospitalisation). Mais nous vivons bien une reprise de l'épidémie, avec l'augmentation de l'incidence des cas positifs pour 100 mille habitants, qui se traduit depuis plusieurs semaines dans les indicateurs hospitaliers, dont plusieurs ont doublé ces 4 ou 5 dernières semaines.
      Il ne s'agit pas d'être catastrophiste. Je suis incapable de dire s'il y aura une 2e vague. Mais il ne s'agit pas non plus d'être dans le déni, alors que pratiquement tous les indicateurs, depuis le début de la cinétique épidémique (tests positifs) jusqu'à la fin de celle-ci (décès) sont en hausse, alors qu'ils étaient en baisse continue depuis le pic épidémique en avril jusqu'à la mi-juillet environ. Les seuls indicateurs hospitaliers qui continuent de baisser ou qui stagnent sont les hospitalisations et les réanimations en cours. Mais comme je l'ai rappelé à plusieurs reprises, il s'agit de soldes, qui, si on ne les décompose pas entre les entrées et les sorties, ne permettent pas d'identifier leur dynamique interne et de repérer, en l'occurrence, la hausse des admissions à l'hôpital et en réanimation.

      Supprimer
  3. Bref, tout le monde peut écrire n'importe quoi, ne nous en privons pas. Cela étant, Riton fait une tartine pour dire qu'il n'est pas d'accord avec moi mais il parle d'autre chose et je ne sais pas en quoi il n'est pas d'accord avec moi...

    Peut-être sur le fait que j'allais manger de la brandade de morue ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je goute peu de la brandade de morue, mais peu importe. Je ne suis pas d'accord avec vous sur l'obéissance nécessaire à respecter les privations de libertés qui nous sont imposées. Ma tartine avait pour but de répondre à votre première question (pourquoi critiquer la France alors que tous les pays font de même). Je critique la France parce que je suis en France mais je considère que tous les gouvernements ont le même tropisme et j'ai essayé d'expliquer pourquoi en 4 points. J'aimerai que le gouvernement de mon pays et mes concitoyens soit plus clairvoyants et plus respectueux des libertés, mais je constate que ce n'est pas le cas et je le regrette.

      Je vais essayer de faire plus court pour répondre à votre deuxième question ce soir.

      Supprimer
    2. Au fait, je vous remercie d'avoir publié mon commentaire mais je vous serais gré d'avoir un vocabulaire plus respectueux à mon égard. Je suis peut être "fou et con", mais cela ne regarde que moi!

      Supprimer
    3. Ce n'est pas la peine de répondre à une autre question. Là, je ne parais pas de l'obéissance nécessaire mais tout juste du fait que ce n'était pas dramatique, non plus de porter le masque.

      Tu as brandi des arguments en commentaires, j'en ai sorti d'autres pour te répondre, entièrement pompés dans Facebook (mais sans les illustrations, j'ai trouvé ça rigolo).

      Je voudrais aussi que mes concitoyens soient plus clairvoyants par exemple en mettant ce putain de masque quand ils croisent du monde plutôt que de réciter des argumentations diverses.

      Je voudrais aussi que mes citoyens soient plus respectueux des libertés, celle notamment, pour les autres, de vivre sans être malade...

      Supprimer
    4. « ce n'était pas dramatique, non plus de porter le masque. »

      Dans la fable de La Fontaine, le chien domestique expliquait déjà au loup que ce n'était pas dramatique de devoir porter un collier et d'être attaché pour la nuit. N'empêche que le loup s'est enfui à toutes pattes "et court encor".

      Supprimer
  4. Pour les hospitalisations, il faut attendre trois semaines après les contaminations...
    Cette maladie est mortelle à environ 0.7 % des contaminés ce qui 7000 morts par million de contaminés dans un pays à haut niveau sanitaire. Le taux de la grippe est à 0.1 %.
    La contamination peut se révéler rapidement exponentielle. En mars on avait un doublement tous les 3 jours.
    Le port du masque et les gestes barrière peuvent éviter 90 % des contaminations.
    On se vaccine pour la grippe pour une létalité à 0.1 %

    Je ne vois pas en quoi se protéger restreint nos libertés à part la liberté de passer 5 semaines sur le ventre dans un coma artificiel et éventuellement de mourir après avoir coûté des fortunes à la collectivité...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. On est à peu près d'accord, RPH, mais la protection est faite avec une très mauvaise communication et cela depuis six ou sept mois.

      Supprimer
    2. « On se vaccine pour la grippe pour une létalité à 0.1 % »

      Qui ça, "On" ? Pas moi en tout cas !

      Et puis, la grosse différence est que ceux qui se vaccine ne passent pas leur temps à casser les couilles de ceux qui ne le font pas. Mais le temps n'est sûrement pas loin où le vaccin contre la grippe sera obligatoire de 7 à 77ans, ce qui vous réjouira sûrement.

      Supprimer
    3. D Goux-> Je me vaccine pour la grippe depuis mes 65 ans et je passe ainsi un hiver tranquille et paisible sans être malade. Je ne vois pas l'intérêt de passer une semaine au lit avec de la fièvre. Mais bon, chacun fait comme il l'entend...

      Supprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux c'est-à-dire tous sauf ceux qui proviennent probablement d'emmerdeurs notoires.