29 mai 2018

Se laver les mains : avant ou après la miction

C’est le sujet du billet du jour du blog de Didier Goux qu’il arrive à rédiger sans le moindre racisme ou autre discrimation autre que sur l’hygiène de nos morceaux intime. 

http://didiergouxbis.blogspot.com/2018/05/de-lhomme-de-lurinoir-et-des-vastes.html?m=1


Je vous livre le commentaire que je lui ai laissé, ça m’évitera de faire un vrai billet :

Enfin un sujet important exposé dans les blogs.

Il ne faut pas omettre de la réflexion le problème du robinet. Il y en a trois types différents :
- ceux qui se tournent à la main,
- les boutons poussoirs qui donnent de l’eau pendant 20 ou 30 secondes,
- ceux à pédale (rien d’homophobe), ils s’activent avec le genoux ou le pied (je crois qu’ils sont obligatoire dans certaines cuisines, notamment celle de cantines mais je dois reconnaître que j’y pisse rarement). 

C’était ma contribution à la réflexion. 

Pour mon cas personnel, c’est plus un réflexe idiot. Je le lave les mains après systématiquement sauf si je suis chez moi (ou dans la maison de vacances de ma mère). Allez savoir pourquoi ? 

Si un lecteur me trouve dégueulasse, j’ai un argumentaire. Au bureau ou bistro, on se lave les mains parce qu’on passe pour salle si on ne le fait pas (et on évite de conserver de la pisse sur les doigts avant de les mettre sur un clavier ou un verre, voire un bol de cacahuètes).

Au bureau et au bistro, il y a pire : les gens qu’on croise en sortant des toilettes (eux ou nous). Personne n’ose dire : « excuse moi, je sors des wc, j’ai les doigts mouillés (ou plein d’urine) ». Donc je le lave les mains surtout pour montrer qu’elles sont mouillées et à voir un prétexte pour ne pas serrer celles des autres. 

Ce qui, au fond, est bien hygiénique. Par définition, j’ai la bite et les mains plus propres que les mains des autres. Je me fous de la propriété de la bite des autres sauf si on doit partager le même trou mais c’est un autre problème. 

5 commentaires:

  1. Et voilà le résultat: on retrouve pas moins de 14 traces d'urines différentes dans les bols de cacahuètes proposés dans les bars, rapporte France Soir. C'est le très sérieux docteur Frédéric Saldmann, qui exerce à l'hôpital Georges Pompidou de Paris, qui l'a révélé dans son livre Les nouveaux risques alimentaires. Ecoeurant, non?

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    1. Ce qui est écœurant, c'est de se gaver de trucs salés et gras, alors qu'il est si simple et si diététique de boire sans manger…

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  2. Je n'ai aucun commentaire de vous "en attente", moi !

    Enfin, ravi de vous avoir inspiré…

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  3. Malgré tout, pour moi, c'est avant.
    Par respect pour un morceau de la moitié des acteurs de l'histoire de l'Humanité

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  4. Je ne vois aucun commentaire sur le sujet . Je vais me risquer a donner le mien et surtout te faire part d'une réflexion que je ne m'étais faite jusqu'alors .
    Pour ce qui est " d'avant " la miction c'est selon ce que j'ai fais avec mes mains auparavant ; pour ce que qui est de " l'après " c'est oui systématiquement .
    A oui ma réflexion .
    On devrait installer le point d'eau non pas dedans mais en dehors de l'urinoir et systématiquement pourvu d'un robinet automatique ou à pédale, je n'y vois que des avantages .
    vincent .

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