N’ayant pas le temps de bloguer, ce matin, je voudrais
simplement illustrer mon billet d’hier avec la une de Google News et les quatre
articles qui sont arrivés en tête via le mystérieux algorithme : ils n’ont
que peu d’intérêt. J’ai lu les articles et les titres ne correspondent pas
nécessairement au contenu. Celui de Ouest France, par exemple, par le très peu
de la foire en question…
Peu d’intérêt ? Je ne critique pas le travail des
journalistes. Si un algorithme propulse ces textes en une, c’est bien parce qu’ils
intéressent les lecteurs. En outre, ils contiennent des considérations du niveau
de la politique politicienne, sujet qui me passionnel.
Le problème est peut-être là, d’ailleurs ! Ils sont du
niveau de billets de blogs, voire de publications par des inconnus dans les
réseaux sociaux. Ils ne font pas l’information : elle sera faite après le
8 septembre, selon le résultat du vote et les décisions d’Emmanuel Macron qu’on
ne peut pas anticiper d’autant qu’il n’en fait qu’à sa tête. Jusqu’à là, les discussions
de comptoir vont se multiplier ce qui nous occupera pendant que l’on boira nos
demis…
Justement, au bistro où j’étais mercredi soir, la télé était
branchée sur BFM mais le son était coupé. Je n’avais une idée des propos tenus
que grâce aux sous-titres incrustés sur l’écran. Je suis resté deux heures et
pendant tout ce temps des locdus que je ne connais semblent avoir fait des
supputations suite à l’annonce de François Bayrou datant de l’avant-veille.
Je préfère quand ils mettent « Equipe 21 » avec
des tournois de pétanque ou des courses de caisses à savon.
En outre, je ne parle ici que de la une de Google News et j’ignore
totalement si les journaux en question ont traité des sujets plus sérieux. Je
vais en citer un exemple : dans TikTok, j’ai vu un reportage au sujet de Portugal.
Ce pays a connu une dette pire que la nôtre et le gouvernement de l’époque à décidé
de supprimer quatre jours fériés. Voila ce que j’aimerais voir dans la presse :
des journalistes qui étudient et comparent les différentes pistes.
Je suis allé voir les grands sites de presse, ce matin :
aucun ne traite sérieusement de la double crise (institutionnelle et
budgétaire) que nous connaissons actuellement de manière sérieuse.
Avant de « répondre » aux articles de cette une, je
vais vous inviter à lire le
billet de ma consœur CC et notamment la conclusion que j’approuve
totalement : « Oui, il y a des défis. Des
défis très différents. Mais il y a quand même d'autres ressources : des moyens
de productions, une économie...et des choix politiques possibles.
Et je veux croire que les choix
politiques, comme en 1945, peuvent être ceux de la solidarité et de la justice
sociale.
N'oublions pas qu'en 1945, ces
choix-là ont conduit aux 30 glorieuses, à une croissance sans précédent dans
l'histoire de l'humanité et aux progrès de la science, de la médecine et des
technologies comme nous n'en avions jamais connus. »
Venons-en aux billets de blog en une de Google News. Dans
mon billet de blog d’hier, je suggérais, un peu comme CC, qu’on devrait faire
un gouvernement de type « union nationale » pour redresser tout ce
bazar et fuir les délires populistes de certains partis. Mais j’ajoutais que ce
gouvernement devrait être dirigé par une personnalité de gauche car avec son histoire
de conclave sur les retraites, François Bayrou avait montré qu’on ne pouvait
pas lui faire confiance. Au moins, on peut faire confiance aux socdems pour
trahir la gauche, me répondra-t-on astucieusement.
Dans les articles, une hypothèse envisagée est la nomination
de Bernard Cazeneuve qui est hors NFP mais qui n’est pas… envisageable vu qu’il
n’est pas blairé par LFI. Une autre hypothèse, par un autre journal, est de
nommer un premier ministre issu du Nouveau Front Populaire. Il ne tiendrait pas six mois sans être censuré.
Je voudrais rappeler que le NFP, descendant de la Nupes, est
enterré, notamment par le Parti Socialiste (et sans doute le PCF). Si le PS
revenait sur ses engagements du congrès, il serait définitivement coulé. Il ne
faut plus travailler avec LFI pour des raisons largement évoquées lors du dernier
semestre.
Je vais le dire : je me fous totalement du nombre d’élus
PS lors des prochaines législatives et tant pis si l’alliance est morte :
cette alliance pitoyable ne permettra jamais à la gauche de revenir au pouvoir.
En outre, il semble bien que LFI fasse tout pour torpiller les candidatures de
ses alliés lors des prochaines municipales. On ne peut pas être amis avec ceux qui
veulent devenir vos ennemis et non pas de simples adversaires ou concurrents.
C’est un peu l’avantage d’un blog politique engagé par
rapport à un organe de presse nationale : on peut balancer le fond de sa
pensée, non pas dans une logique d’information ou d’analyse mais dans un cadre
bien plus militant.
Je répète donc ce que je disais après les législatives de
2024 : il faut une espèce de gouvernement d’union nationale, dirigé par
un type du centre gauche qui ne soit pas connoté « partisan du NFP ».
Ca peut être Cazeneuve mais on pourra trouver d’autres candidats. Et si les
organes de presse faisaient leur boulot, ils n’enterreraient pas cette
possibilité.
J’aime bien quand je commence un billet en disant que je n’ai
pas le temps de bloguer et que je termine en faisant une tartine.
Je plussoie un gouvernement d’union nationale sans LFI (et suceurs) et le RN . Et bordel que ces politiques se rendent compte de la situation comme CC l’a remarqué
RépondreSupprimerCa me fait penser que dans le billet que je parlais d'un gouv "sans LFI" : pour moi la non participation du RN est évidente mais aurait dû être précisée.
SupprimerUn gouvernement d'union nationale n'est pas une mauvaise idée. Et bien qu'étant de centre-droit, je me fiche complètement s'il est dirigé par un mec de centre-gauche, tant qu'il est compétent et a comme priorité les intérêts de notre pays. Soyons un brin pragmatiques, la pureté idéologique ne mène qu'à voir les choses par le petit bout de la lorgnette, et cela ne fait pas avancer le schmilblick.
RépondreSupprimerIl faut être précis : il s'agit de mettre en place un gouvernement "de fin de règne", pour une période de 18 mois, en espérant que la prochaine séquence électorale permettra de rebattre les cartes... En plus, Macron aurait terminé son mandat par un ni droite ni gauche ce qui devrait lui être sympathique (d'autant qu'il va falloir annuler certaines mesures qu'il a prises dès 2017, pour rééquilibrer la fiscalité).
SupprimerMais oui, il faut que le chef du futur gouvernement soit compétent et pense aux intérêts supérieurs de la nation. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne soit pas transparent aux idéologies. Par exemple, il peut être franchement à gauche mais nommer des ministres importants (comme le budget qui est au coeur de nos préoccupations).
Ils diront en lisant ta conclusion;
RépondreSupprimerAuberge Espagnole en oubliant ce que disait JP Chevenement
"Mais à quoi ressemblait la France libre à ses débuts, pour ses contempteurs, sinon à une auberge espagnole ? Et toutes les formules d'union républicaine, de Waldeck Rousseau aux gouvernements de la Libération, sans parler du gouvernement de Pierre Mendès France ou du premier gouvernement formé par le général De Gaulle en 1958 : tous rassemblaient des sensibilités très différentes et tous ont fait de grandes choses. "
Vincent
Chevènement était un grand sage (mais il disait des conneries, des fois, ce qui n'est pas le cas ici).
SupprimerJe reviens juste sur ta première phrase : "ils diront en lisant ta conclusion". Le problème est peut-être qu'ils ne me lisent pas. Et encore, je dis "problème" pour rigoler. Les blogs politiques sont peu lus et certainement pas par des dirigeants de partis politiques. Mes billets sont trop longs pour faire le buzz et les simples militants sont souvent des fainéasses qui agissent en meute.
Je tiens mon blog pour donner mon avis et j'ai des lecteurs fidèles dont tu fais partie, souvent parce qu'ils sont d'accord avec moi. Mais si j'ai un des derniers blogs en activité "intensive", c'est peut-être parce que mes anciens confrères écrivaient pour être lus et ont abandonné quand ils ont sentis que le militantisme sur les réseaux sociaux était cuit.
Ainsi, j'ai écrit dans le billet précédent à deux occasions : "j'avais bien dit que... ce qui prouve que j'ai raison...". Ce que je n'ai pas dit c'est que je savais déjà qu'écrire des trucs ne servait à rien, à part à me faire plaisir et à montrer à des lecteurs qu'ils ne sont pas seuls... Ce qui est déjà pas mal.
Ce que vous dîtes en 1ère partie de votre billet, c'est ce que je constate souvent sur FranceInfo TV, dans entre autres l'émission Les Informés.
RépondreSupprimerOn nous parle de décrypter l'info, mais on n'en sait pas plus après l'émission qu'à la lecture d'un blog. C'est gênant pour des pros de l'info, avec une grosse audience.
Des analyses redondantes, parfois assez triviales, mais surtout en boucle. Une sorte d'aveu d'ignorance.
Pour ce qui est de B. Cazeneuve, ce qui le disqualifie à mes yeux, ce n'est pas son rejet de la part d'LFI. C'est plus son retrait de la vie politique et du PS. S'il veut diriger le pays, il doit s'y intéresser de plus près, et pas se poser en recours et en plus petit dénominateur commun.
Je sais que vous rejetez L. Castets. Moi, je soutiendrais sa candidature, faute de mieux. Elle est une émanation d'accords internes. Certes les militants n'ont pas été consultés, mais cela s'est fait à la va-vite.
Et à ce compte là, de mon point de vue, le passé militant de R. Glucksmann ne plaide pas plus en sa faveur (et même plutôt moins) que celui de L. Castets.
Mais à la limite, peu importe le nom du candidat. Un gvt d'union nationale, pourquoi pas. Mais il faudra une ligne claire. C'est indispensable. Et pour l'instant…
J'ai vu par ex quelques opportunistes retourner leur veste au PS avec la montée en puissance de LREM, au point même de passer des accords locaux avec des élus républicains. Sur la durée.
Quant à la droite et le centre, je n'en attends pas grand chose. On les a vu prendre le pouvoir tout en perdant des élections.
Marc
Cazeneuve n'est pas du tout retiré de la vie politique, il continue à faire des tours de France, à animer des conférences, à produire des documents pour ses abonnés (j'en reçois souvent mais je dois avouer que je ne lis pas). Il est un peu dans la situation de François Hollande à l'été 2010, personne ne pensais qu'il reviendrait sur le devant de la scène et surtout pas pour devenir président. Il était à moitié grillé au sein du PS et j'en passe.
SupprimerQu'on se rassurer : je ne suis pas un fan absolu du lascar (je pense qu'il n'a pas le charisme pour animer une campagne et qu'il a une image proche du "notaire de province"). Je le cite ici uniquement parce qu'il est cité par un des articles en une de Googles News dans l'illustration de mon billet.
En outre, Nanard n'a sans doute pas envie de revenir à Matignon : il sait que jamais un premier ministre de cohabitation (et nous serons bien en cohabitation vu qu'il faudra revenir en arrière sur la politique de Macron) n'a été élu à la présidentielle suivante.
Quant à Castets :
1. Elle est trop connotée proche de LFI. Il faut qu'elle soit acceptée par l'ensemble des partis susceptibles d'intégrer le gouvernement d'union nationale. Il ne s'agit pas de la personne ou du projet politique qu'elle pourrait menée (je la crois même assez forte pour faire les compromis nécessaire) mais tout simplement d'acceptation.
2. Elle a une mauvais image dans une large proportion de la population : elle apparait comme un OVNI résultat de tractations entre les partis de gauche à l'été 2024.
3. Récemment, elle s'est trop impliquée dans le processus de primaires à gauche (ce qui montre bien d'ailleurs que c'est une bille en politique vu qu'il était évident que Mélenchon et Glucksmann, allaient refuser ce processus) ce qui fait d'elle qu'elle n'est plus une candidate "neutre" mais bien quelqu'un d'engagée dans la prochaine présidentielle.
Tu parles d'une ligne claire et tu as en partie raison.
En partie, seulement, parce que les choix dépendront aussi des discussions entre les partis à l'Assemblée et après la nomination du premier ministre. La ligne claire sera fixée par le Premier Ministre qui sera nommé et il sera énoncé lors du discours de politique générale. Auparavant, elle sera utilisée pour les négociations avec les personnalités susceptibles d'intégrer ce gouvernement d'union.
Mais tu as raison, il faut que, dans les prochaines semaines, on sache où on va...
(je continue dans un autre commentaire).
Pour la fin de ton commentaire, la droite et le centre n'ont pas pris le pouvoir : c'est Macron qui l'a donné car il n'avait pas vraiment d'alternative (on en a déjà discuté très récemment) mais la gauche a imposé la proximité avec LFI ce que ne voulaient pas les partis du centre et de la droite. La gauche n'aurait pas réussi à bâtir une majorité.
SupprimerCe ne sont pas des opportunistes qui ont tourné le dos au PS lors de la victoire de Macron mais des gens convaincus qu'une ligne plus à gauche n'était pas tenable, des gens qui ont vu que l'électorat socialiste était parti vers Macron.
Enfin, tu dis que tu n'attends rien de la droite et du centre. Moi j'attends qu'ils jouent le jeu. C'est leur intérêt tout autant que celui de la gauche modéré : montrer que l'on peut gouverner loin des partis populistes.
Explications intéressantes.
SupprimerDeux remarques :
* Pour Lucie Castets, je la vois plus comme une parachutée parisienne. Ce n'est pas un point de vue provincial, juste une personne inconnue qui a fait carrière sous un parapluie, sans distribuer un tract. Une spécialité au PS.
* Pour les opportunistes, je parle d'élus locaux. Des socialistes, qui sont passés LREM en 2017, ont rejoint aux municipales de 2020 une liste menée par un élu LR, et sont restés dans la majorité municipale LR depuis 2020. Et ce n'est pas pour moi une question de ligne politique.
L'inconvénient de la politique dans les territoires ruraux ou semi-ruraux, c'est qu'on connait les gens et (une partie de) la tambouille. Je dis ça sans populisme.
Marc
Je n'ai pas dit qu'elle avait été "parachutée géographiquement", Lucie Castets. Je dis qu'elle avait été mise dans l'arène parce qu'il y avait eu un consensus autour d'elle par les partis : elle est parachutée dans la vie politique nationale et n'a pas eu le temps de se faire un nom. Macron, par exemple, avait été parachuté, aussi (il est Président alors qu'il ne s'était jamais présenté à un scrutin avant) mais il a eu le temps de se faire connaitre (pas très long : cinq ans, un peu comme secrétaire général de l'Elysée, un peu comme ministre et un peu comme candidat tombeur d'Hollande).
SupprimerPour ce qui concerne les élus locaux de gauche sur les listes LR, ce n'est pas que de l'opportunisme, on en discute souvent : dans la mesure où la gauche s'est radicalisée, ils n'y avaient plus leur place...
Ce n'est pas pour remettre un euro dans la machine, ni pour avoir le dernier mot. Mon dernier commentaire avant qqs jours. Je ne veux pas donner l'impression d'être là pour polémiquer.
SupprimerJe me suis mal exprimé :
* Quand je parle de parachutage de LC, j'aurais mieux fait de dire "sortie du chapeau" ou de nulle part.
* Pour ce qui est des élus locaux de gauche qui sont passés LREM, puis ont fait cause commune avec une majorité LR, selon moi ce n'est pas ce que vous dîtes, qui est valable au niveau national.
Je suis dans un département qui votait largement PS et Radicaux de Gauche. Les élus dont je parle se sont servis de l'appareil du PS pour accéder aux affaires, puis dans la tourmente sont partis.
Je pourrais donner des précisions (des noms, des faits, etc.) pour mieux comprendre, mais je suis anonyme et je n'aime pas ça. (indice : municipales 2020 de Tarbes)
Je veux juste dire qu'au PS il y a eu des forces centripètes (oui, je sais… pas terrible...) qui ont aggloméré des gens qui n'avaient pas tant de valeurs communes que ça. Les courants au PS, etc. Tout cela a volé en éclat, EM n'a été que le catalyseur.
Ce n'est pas une histoire de centre gauche. D'ailleurs c'est sans doute là que je suis le moins d'accord avec vous. Le centre gauche, c'est quoi ? Une seule voix ? Quelles positions unanimes ?
Ces élus municipaux qui étaient au PS sont encore dans la majorité LR. Ce n'est pas du tout une question de radicalisation d'une partie de la Gauche. C'est une question de conviction. Et le PS n'est pas entièrement ainsi (je dis cela de l'extérieur).
Il accueille juste ces gens qui sont arrivés en politique comme s'ils entraient dans un supermarché. C'est plus structurel qu'idéologique. Et ce qui est vrai ici, je ne vois pas pourquoi ce serait très différent ailleurs.
Marc
Dans ma commune, c'est aussi un peu le bordel avec des unions contre nature.
SupprimerOn est d'accord sur le fait que Macron a fait sauter ce qui faisait le charme du PS.
Pour le centre gauche, je suis aussi d'accord que ça ne peut pas être défini par une pensée unique. J'emploie souvent cette locution pour définir la partie de la gauche qui est incompatible au niveau national avec avec une gauche radicalisée tendance LFI. Mais je n'en fais pas un courant de pensée...
Dans mon dernier billet, je parle du budget présenté par le PS. Je ne suis pas d'accord avec tout mais il faut arriver à un compromis. Je m'assois donc sur les points avec lesquels je ne suis pas trop d'accord...
Une photo de Cazeneuve et je saute dans les commentaires ! Ça faisait longtemps.
RépondreSupprimerSandrine Rousseau le déteste car il était ministre de l'Intérieur au décès de Rémi Fraisse. Raison de plus pour moi d'accepter ce candidat.
Non, je déconne. Je suis 100% d'accord avec ta conclusion. Reste maintenant à trouver la bonne personne...
Voir la réponse que je fais à Marc, ci-dessus, à propos de Cazeneuve.
SupprimerSandrine Rousseau n'existe pas ou, du moins, n'existerait pas si elle n'avait pas sympathie de féministes diverrs...
Bon pour une personne à Gauche , je choisis une femme.. Non pas elle !!! ..
RépondreSupprimerSans hésiter bien qu'on n'en parle point ; je donne ce conseil à notre Président mais peu m'en chaut qu'il ne m'entende pas .
Nommez à ce poste Madame Valerie Rabault.
.. Si d'aventure François Bayrou est censuré ( ce que je ne souhaite pas car ça nous fera perdre beaucoup de temps ..)
Vincent
Quand je finalise des billets de blogs, je les accompagne souvent des personnalités dont je parle dans le billet et, quand je parle de gens que j'aime bien, je constate que je mets surtout des photos d'hommes... La raison n'est pas que je suis misogyne mais que les femmes ne sont pas assez visibles au sein de la gauche modérée (je ne veux pas débattre maintenant des raisons).
SupprimerCe constat de ne presque jamais mettre de photos de femmes que j'aime bien me met mal à l'aise parce que mes "copines" pourraient s'en rendre compte et tirer des conclusions erronées et, surtout, que cela joue contre "mon camp".
Tu cites Rabault, pourquoi pas ? Il y en a plein d'autres. Par exemple, Aubry (Martine, hein !). Elle va quitter la mairie de Lille et mettre fin à sa carrière politique mais pourquoi pas finir en beauté alors qu'elle sait que ce mandat de premier ministre se terminerai dans 18 mois.
Ce n'est pas du tout un souhait de ma part mais en lisant ton commentaire et en préparant la réponse, je me suis demandé quelle était la femme de gauche avec la plus forte notoriété et qui ne soit pas à moitié foldingue...
.. Et mon choix était fait en regard de la compétence de cette femme et aussi sortir "des sentiers battus"
SupprimerQui elle aussi en langage financier mérite un AA+ ;-)) .
Même si je reconnais que la notoriété de Martine c'est du AAA .
Vincent
Ah mais je ne doute pas de sa compétence !
SupprimerRemarque, Ségolène Royal c'est du AAAAA ! ;-)
SupprimerJe dirai plutôt du .. Ha Ha Ha Ha Ha! ;-))))
SupprimerVincent
Bah ! Elle ne me fait plus rire, cette andouille 5A...
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