20 août 2017

Vive les amis !

Les amis de Facebook de mes amis de Facebook sont mes amis de Facebook. Malgré une légère tendance à les conchier. Cette notion d'amitié Facebook est surréaliste. Parmi les miens, il y a un noir qui a dit hier : je suis fier d'avoir des amis français. 

Moi, j'accepte toutes les demandes d'amitié. Mon cœur est grand. Sauf celles de gonzesses canon avec qui j'ai peu d'amis en commun. Ce sont des putes. Mon cœur est grand mais pas ma bite. Ni mon portefeuille. 

Cela étant, Ronald me faisait la réflexion dans les commentaires d'une andouille comme Dada ou Laurent, qu'il avait des vrais amis dans Facebook. C'est vrai. Au fait, quelqu'un a des nouvelles de Patrice ?

On pourrait catégoriser les amis (indépendamment des classifications Facebook) :
- les vrais connus depuis longtemps,
- les vrais connus dans les réseaux sociaux,
- les vrais connus à une lointaine époque et qu'on retrouve avec les réseaux sociaux, ce qui compte d'ailleurs des types de la famille,
- des types un peu connus du grand public, des zinfluents, avec qui on a sympathisé pour des raisons diverses,
- des types qu'on ne connaît pas ou peu dans la vraie vie mais avec qui on discute souvent dans les réseaux,
- les autres connards (Smiley) qu'on unfollowe ou qu'on bloque lorsqu'ils deviennent trop casse couilles mais dont on aime bien voir les sympathiques publications. 

Dans la vraie vie, j'ai un problème. Je ne suis pas physionomiste. Je croise des collègues de bureau dans la rue, je le les reconnais pas. Pareil avec les noms des personnes. Au boulot, tiens ! Je reçois un mail d'un type que je connais "de nom" mais je suis incapable de me rappeler d'où il vient. Ou alors, je confonds. Hier, dans Twitter, un type répond à un de mes tweets. Je croyais que c'était un collègue (Emmanuel, si tu me lis...). 

Par contre, au comptoir, j'ai une mémoire visuelle supérieure à la normale. Je reconnais un tas de types. Je pourrais presque être videur, donc physionomiste !, ce que je ne suis pas avec les types que je connais quand on n'est pas dans l'environnement habituel (un collègue dans la rue). 

C'est dans les réseaux sociaux, je connais des centaines voir des milliers de types par leurs pseudos alors que des études (réelles) montrent qu'on ne peut pas connaître plus de 150 (149, de mémoire) dans un réseau social (pas au sens informatique : la famille, le bistro, le boulot). 

Le plus drôle est que je découvre parfois que je connais un type parce son blog et par Facebook ou Twitter sans savoir que c'est la même personne (hein, Jerome-Olivier !).

Et c'est pour ça que trois de mes blogs (voire 4 à une époque) ont été très bien classés dans les classements de machins. Je connais un tas de types. 

Des amis.

9 commentaires:

  1. Réponses
    1. bah oui et il fait se rencontre des andouilles, c'est une grande qualité. Twitter et Facebook m'ont permis de rencontre des gens alors que ma bande de potes (enfin bref)....

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  2. "je pourrais être videur..." bah c'est déjà le cas... videur de demis.

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  3. Je me suis vidé quelques bonnes bières fraiches cet été en pensant à toi tiens!

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  4. Joli billet.

    Sinon David te connaît mal (t'es pas un chic type, tu es un vilain, bouh (fausse gauche en plus bah) )

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