25 septembre 2018

Ils étaient des milliers, ils étaient 58





Objectivement, on aurait pu accueillir ces 58 gugusses mais ils seraient arrivés à Marseille et auraient pu tomber sur Mélenchon. On leur a rendu service, en fait. 

Cela étant, tout cela est profondément ridicule. On a réussi à négocier. On va en prendre 18 et l’Allemagne et l’Espagne 15 chacun. C’est quoi ces négociations de chiffonnier ? Avec nos trois pays, on frôle les 200 millions d’habitants et j’ai du mal à imaginer qu’on dépense du pognon à négocier une soixantaine. 

Cela dit, les gugusses de la vraie gauche qui tentent de faire du buzz avec ces pauvres gens me cassent les couilles. N’ayant pas grand chose à dire, ils ciblent les cas particuliers sans penser au sujet dans sa globalité. Tant pis. Ils savent tous qu’on a largement les moyens d’accueillir toute la mise du monde alors que quand je vois la moindre crevure au comptoir, ça m’énerve. 

6 commentaires:

  1. Nous sommes encore quelques uns; nombreux?.. A trouver cela ridicule. Mais de grâce ne tombons pas dans l'angélisme où certains se complaisent ou bien l'extrémisme mortifère des autres.
    vincent

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    1. Bah. Le fond de mon billet n'est pas la nécessité ou pas d'accueillir des migrants mais le ridicule de cette négociation de chiffonnier.

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  2. Alors qu'il aurait été si simple d'envoyer par le fond ce rafiot de merde depuis déjà un bon moment : on est vraiment gouverné par des sans-couilles, moi j'vous l'dis !

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  3. Dis donc , mine de rien:
    - allusion discrète à Jean Ferrat,
    - un coup de griffe bien senti au révolutionnaire phocéen,
    - une attaque en règle d'une forme de pensée étique ( ce n'est pas une faute d'orthographe l'absence de H à étique).

    P.Castor

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