16 septembre 2018

Un grand plan contre le chômage !




Je pique l’illustration à Valerio (mais je crois bien que j’ai fait la vanne avant lui dans Facebook). Toujours est-il que notre président a dit à un jeune horticulteur au chômage qu’il était facile de trouver du boulot : il suffit de traverser la rue et de demander dans les bistros. 

Je tiens à préambuler avec l’objectivité qui me caractérise : j’ai traverser plusieurs fois la rue pour aller au bistro, ce matin, je n’ai jamais demander du boulot. C’est aussi que je sais que les établissements concernés n’embauchent pas (même s’ils devraient). 

Les propos de Manu ont énervé ma conchose Elodie :

On a été pris à parti par des fans du vendeur de mug made in China dans Twitter. Du genre : « vous n’avez aucune proposition ». Ce en quoi on a répondu : « vous, vous proposez de traverser la rue, nous pas. »

L’engueulade fut furieuse avec cette équipe de débiles légers assez sûrs d’eux. Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu de tels crétins. Je vais leur expliquer : dans le feu de l’action, leur chef a dit une connerie. Ce n’est pas grave. Il est la risée du web. Les risques du métier. Le défendre est absolument absurde. Lui-même doit regretter ses conneries qui le font passer pour odieux, agressif, con, imbu,... 

Ou alors, il mène une stratégie pour conquérir les types de droite comme une andouille telle Wauquiez. Je l’arrête : ça va être raté. 

15 commentaires:

  1. Ca va etre tellement raté qu'il risque meme de perdre des troupes au profit de Wauquiez. Il y en a qui sont presque mûrs

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  2. Elodie, tu es tombée sur une bande de trolls en Marche à 70 followers qui font tout pour exister. Ignore les cons d’En Marche c’est salutaire, les chiens aboient et la caravane passe. ;-)

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    1. Eh bien, moi, mes chiens successifs aboient depuis environ 20 ans et je n'ai encore jamais vu passer la moindre caravane. Comme quoi, c'est bien des idées qu'on se fait.

      Pour ce qui est du sujet de fond, tous les artisans que l'on est amené à rencontrer disent tous la même chose : qu'ils sont prêts à embaucher des jeunes, mais qu'il n'y a pas moyen d'en trouver. Ou de le garder quand, par miracle, on en a trouvé un. D'après Catherine qui en revient, la situation est encore pire au Québec. Il y a quand même, là, quelque chose qui ne colle pas.

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    2. Il y a trois ou quatre millions de chômeurs et quelques centaines de milliers de poste à pourvoir. Le compte n'y est pas et le système est bordélique...

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    3. Donc laissons ces postes sans postulants en attendant qu'il y est adéquation?...
      vincent

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    4. zut il y ait
      vincent

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  3. Tout comme on a enterré FH ,continuons a faire du Mélenchon ou du Pavageau et brossons l'électeur dans le sens du poil et voyons la suite ... Sûr on s'en portera mieux .
    vincent

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