Avec la crise financière, Nicolas Sarkozy et ses collègues ont largement insisté sur la nécessité de moraliser la vie financière. Mais, parallèlement, ils détruisent les moyens de contrôle, de justice, ... en "tuant" le pôle financier. Le Coucou nous raconte comment.
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
26 mai 2009
9 commentaires:
La modération des commentaires est activée. JE SUIS LE SEUL à décider des commentaires qui sont supprimés et ils ne le sont jamais pour divergence politique sauf si les propos tiennent du harcèlement de la part d'imbéciles qui ne savent pas prendre acte d'un constat de désaccord.
Je supprime les commentaires qui n'apportent rien à l'esprit de ce blog, tel que je me l'imagine. Tant pis pour les andouilles qui voient autre chose...
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La moralisation de la vie financière, c'est dépenser ses sous à l'église plutôt qu'au bistrot.
RépondreSupprimerC'est pas moral...
RépondreSupprimerDéjà soupirer chez le Coucou... Je soupire aussi chez toi, tiens... (soupir...)
RépondreSupprimerSans compter qu'avec la suppression programmée du juge d'instruction, et une dépendance marquée du Ministère Public à l'égard du gouvernement, la moralisation de la vie financière s'en trouvera nettement affecté.
RépondreSupprimerOui, c'est aussi ce qui est souligné par le Coucou.
RépondreSupprimerMerci Nicolas! Si le juge d'instruction est supprimé, le seul moyen pour le pouvoir de démontrer qu'il ne veut pas manipuler à l'occasion la justice en faveur de ses amis, ce serait de couper totalement les liens de dépendance entre le parquet et le ministère de la justice. Mais aucun gouvernement n'a jamais songé sérieusement à le faire…
RépondreSupprimerDe rien !
RépondreSupprimer@ Le coucou
RépondreSupprimerToute la difficulté réside dans le fait de permettre d'établir et de suivre une politique pénale. En termes moins sybillins, que l'opportunité de poursuivre soit uniformément appliquée sur le territoire en accord avec les priorités établies par le peuple ou ses représentants.
L'une des solutions serait peut-être d'élire directement le Garde des Sceaux (risque de dérives à l'américaine) ou du moins d'en indépendantiser le statut et la nomination?
Un Garde des Sceaux nommé par le CSM? Les pistes existent.
@Nemo, je me doute que les choses sont loin d'être aussi simples! Le béotien en droit de mon espèce ne peut qu'exprimer l'attente d'une véritable indépendance de la justice, en espérant qu'elle sera un jour entendue de la meilleure façon possible…
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