Après lecture des commentaires à mon dernier billet, je me demande si Romain n'aurait pas raison. Avec cette "histoire à la con qui n'en est pas une", on dirait bien une tentative de déstabilisation du patron du Fond Monétaire International. Non ?
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
19 octobre 2008
8 commentaires:
La modération des commentaires est activée. JE SUIS LE SEUL à décider des commentaires qui sont supprimés et ils ne le sont jamais pour divergence politique sauf si les propos tiennent du harcèlement de la part d'imbéciles qui ne savent pas prendre acte d'un constat de désaccord.
Je supprime les commentaires qui n'apportent rien à l'esprit de ce blog, tel que je me l'imagine. Tant pis pour les andouilles qui voient autre chose...
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Je partage son avis (à Romain), c'est la première idée qui m'est venue à l'esprit.
RépondreSupprimerPas sûr !
RépondreSupprimerC'est peut-être Sarkozy qui est visé indirectement !
:-)
C'est en tous cas ce que j'ai prétendu dans mon billet. Et je démontre ...
RépondreSupprimerEt voilà : on s'excite, on grimpe au rideau, et quand on est en haut tout se dégonfle...
RépondreSupprimermouais... complot non histoire de fesses
RépondreSupprimerComplot ? Disons plutôt ceux qui, à Wall Street et ailleurs, n'aiment pas DSK ont choisi le moment le plus inopportun pour sortir l'affaire, histoire de le couler (et jeter le discrédit sur ses propositions de régulation des marchés financiers). Mais pour être juste, ce cher Dominique-Gaston aurait mieux fait de ne pas jouer avec le feu. Il savait pourtant bien qu'il mettait les pieds dans un environnement pas du tout indulgent pour ceux qui mélangent relations intimes et professionnelles. Cf. Bill Clinton, Paul Wolfovitz, Eliot Spitzer...
RépondreSupprimermerci pour la citation ami du KB
RépondreSupprimerDe rien !
RépondreSupprimerTiens, je n'avais répondu à personne ici : je baisse.