02 avril 2008

Sport automobile, cinéma et littérature

La carrière de Max Mosley semble compromise. Allez savoir pourquoi.

Ce type, président de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) et des Joyeux Pollueurs associés, non content d’être le fils du « fondateur entre autres de la British Union of Fascists et leader des «chemises noires» britanniques dans les années 1930, qui s’est marié en 1936 chez Joseph Goebbels à Berlin »… a été pris la main dans le sac et la bite sur l’oreille et figure dans « une vidéo sadomasochiste dans laquelle [il] jouerait tour à tour le rôle d’un détenu et d’un gardien de camp de concentration ».

On s’amuse comme on peut.

15 commentaires:

  1. Et le petit prince rouquin n'était pas là ?

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  2. Ca n'a sûrement rien à voir, mais un des prédécesseurs de Mosley, à la tête de la FIA était Jean-Marie Balestre qui s'est "illustré" pendant la guerre, dans la waffen SS.
    Etonnant, non!

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  3. Didier,

    Il n'était pas invité ?

    Olivier P,

    Le nazisme mêne à tout...

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  4. Dans l'article de Libé, il y a bien marqué : "l’homme le plus influent du sport automobile mondial"...

    comme quoi : l'influence mène à tout ! :)

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  5. Oui il a un blog, http://cravache_moi_gunther.blogspot.com/

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  6. Ben ça y est, j'ai souillé mon pantalon...

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  7. Ceci dit la partouze sado-maso c'est moins con et moins indécent que la course automobile

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  8. Alors là, Tonnégrande, je suis bougrement d'accord.

    Nos descendants ne nous reprocheront pas notre amour pour la cravache, c'est certain.

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  9. il faisait des partouzes dans des hôtels Formule Un ?

    :-]

    (monsieur poireau, blague à toute heure !)

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