Dans mon précédent billet, j’annonçais la sortie de crise. J’étais optimiste. Désolé. Les signes sont pourtant là pour montrer l’état de notre pays : le Président de la République va acheter des pizzas en vélo.
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
14 août 2009
10 commentaires:
La modération des commentaires est activée. JE SUIS LE SEUL à décider des commentaires qui sont supprimés et ils ne le sont jamais pour divergence politique sauf si les propos tiennent du harcèlement de la part d'imbéciles qui ne savent pas prendre acte d'un constat de désaccord.
Je supprime les commentaires qui n'apportent rien à l'esprit de ce blog, tel que je me l'imagine. Tant pis pour les andouilles qui voient autre chose...
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En fait il se girscardise :-)
RépondreSupprimerà vélo (tu ne vas pas te mettre à faire de la synthaxe sarkoziste tout de même)
RépondreSupprimerTrop tard...
RépondreSupprimerGiscard allait chercher des pizzas en accordéon.
RépondreSupprimer... Non, giscard allait chercher des pizzas,en étant accompagné de journalistes.
RépondreSupprimerComme Fabius pour les croissants...
RépondreSupprimeroui
RépondreSupprimerSans journalistes, la pizza est moins berlusconienne..Pizza Del Arte, pour la beauté du geste sans doute?
RépondreSupprimerVa pas quand même pas aller les chercher en trottinette ... il serait trop "chou" non ???
RépondreSupprimerCa aurait de l'effet !
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