08 décembre 2008

Partis, c'est fini ?

C’est un de ces lundis matin où rien ne va. Vous avez passé une nuit assez mauvaise car vous n’aviez pas sommeil car vous avez trop dormi la veille ce qui ne vous empêche pas de vous lever à la bourre car vous avez piqué un dernier roupillon à 7 heures. Vous prenez un premier café en lisant vos mails, épluchant l’information, étudiant quelques blogs et écoutant la radio. De votre navigation sur Internet, vous n’avez retenu qu’une chose : le PS est mal barré mais vous n’y comprenez rien. Vous montez dans la voiture pour aller au boulot et vous entendez à la radio ce que vous aviez déjà entendu chez vous mais qui est ressorti immédiatement par l’autre oreille pendant que vous vous brossiez les dents : Xavier Bertrand va être nommé à la tête de l’UMP.

C’est à cet instant que j’ai failli écraser un piéton, en sortant de chez moi. Ca aurait été de sa faute. Il n’avait qu’à savoir que j’avais la tête dans le cul… et se lever plus tôt ce qui lui éviter d’avoir à courir pour aller prendre son métro.

A ce moment, comme tous les matins, je réfléchissais à l’idée saugrenue de billet que je venais d’avoir eue pour ce matin : comparer le PS et l’UMP. J’en étais là à reprendre mes esprits après avoir pilé pour éviter l’andouille galopante. J’allais redémarrer quand une piétonne s’est pointée. « Allez-y madame » lui fais-je signe « je ne suis pas à deux minutes près ». « Non, je vous en prie allez y », « Passez, je vous en prie ». Elle s’est décidé juste au moment où j’allais ouvrir la fenêtre pour lui dire « Bon, ça suffit, c’est vous la vieille dame, c’est moi qui doit vous laisser passer, c’est dans le code de la route ».

J’ai subitement retrouvé la pêche : j’avais eu l’idée complémentaire pour le billet… Y intégrer le Modem. Commençons par lui.

MODEM

Un événement d’amplitude planétaire s’est produit récemment : Farid Taha a rejoint les left_blogs. Je vous conseille la relecture de sa dernière année de blogage pour comprendre ce qu’est le MODEM, une espèce de machin antidémocratique, totalement centré sur le chef avec un tas de militants hypermotivés dans leurs trucs pour tenter de faire de la politique autrement sans voir que François Bayrou himself empêche ce « autrement » au sein même du parti.

UMP

Je croyais que Brice Hortefeux allait prendre la tête du parti mais c’est en fait Xavier Bertrand. Faut suivre. Et imaginer une bonne raison… Sortir Xavier Bertrand du gouvernement pour qu’il puisse revenir « propre » après un an ou deux ? Remettre un chef capable de lutter avec Jean-François Copé ? Toujours est-il que ceux qui ironisent sur la démocratie au PS pourraient réfléchir au fonctionnement de l’UMP… Le chef semble directement imposé par l’Elysée.

Parti Socialiste

J’espérais qu’avec l’élection du Premier Secrétaire, les choses allaient à peu près se calmer. Il n’en est rien : ça continue à se battre avec pour principal argument : « c’est pas nous c’est les autres ». Martin explique ça très bien mais j’ai la furieuse certitude que c’est une volonté délibéré d’un clan d’attendre une hypothétique déroute de Martine Aubry aux Européennes en commençant déjà à lui glisser des peaux de bananes…

La question des alliances

L’histoire de la « vraie fausse invitation » à un meeting en présence de Martine Aubry et d’un représentant du Modem pour soutenir un candidat à une élection locale semble d’ailleurs avoir buzzés uniquement dans ce sens. Je vois donc mon groupe des left_blogs passer des « oui mais c’est local » dans tous les sens. C’est grotesque. Le Modem n’existant pas au niveau national en dehors de François Bayrou, proposer des alliances à ce niveau national équivaut à proposer des alliances avec François Bayrou. Autant dire : « on veut bien travailler avec lui, il est très bien ». Autant lui laisser maintenant les clés du deuxième tour de 2012. Au niveau local, par contre, on retrouve des vrais militants. S’il faut travailler avec eux, faisons le mais ne mélenchon mélangeons pas tout.

L’argumentation à la petite semaine pour le seul plaisir de torpiller Martine Aubry n’a que trop duré. C’est toute la gauche qui est torpillée.

39 commentaires:

  1. Comment fais-tu le lien entre une vieille dame et le MODEM ? Fascinant...

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  2. Mais quel turn-over en ce moment!
    Je me demande si l'ump n'est pas en crise...

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  3. Le besoin de reprendre en main l'UMP doit se faire sentir… Mais quel contraste, sur le plan de la démocratie, avec le PS! Tu as raison de le souligner. Dommage par contre pour le PS que l'on s'obstine, dans les deux camps, à jouer encore au poker.

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  4. On se pose moins de question sur les changements très fréquents de la tête du parti UMP, le PS devrait s'en inspirer... C'est la force de proposition qui doit faire adhérer les français et arrêter de se demander si il faut un parti de supporters ou de militants, comme si il y avait de moins bon militants... Cela montre le manque d'ouverture et de rassemblement du PS.
    C'est bien dommage.

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  5. Mathieu,

    Ce n'est pas la vieille mais l'échange de politesses... Mais je ne sais pas pourquoi !

    Mélina,

    Si, mais ils arrivent à le cacher...

    Le Coucou,

    Ouais... Les deux extrêmes... voire, avec le Modem, les trois.

    Stef,

    S'inspirer de l'UMP ?

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  6. Je voulais dire que le PS doit changer le mode de désignation du premier secrétaire... Quand on voit le résultat, on peut se demander si tout cela était bien nécessaire.

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  7. Ce qui se produit est tout à fait ce que j'ai dit il y a quelques semaines. On accusait Royal d'être "clivante" et on louait Aubry pour sa capacité de rassemblement. Il m'avait semblé à l'époque qu'en réalité, elles incarnaient toutes les deux une forme de clivage.

    C'était là les deux pires candidats. Et ce sont ces deux là qui bousillent l'espoir d'écrabouiller la droite aux prochaines élections présidentielles...ça va très mal. De mal en pis, même.

    (bravo pour ton sens civil, Nicolas, mais tu aurais dû descendre de ta voiture et aider la vieille dame à traverser, quitte à créer un embouteillage momentané)

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  8. Ton billet est très bon, mais je crois que tu oublies un truc essentiel. Les partis ne sont là finalement que pour "gagner" les élections, des élections, et prendre des postes. C'est tout. Les convictions, c'est pour nous, pauvres bloggueurs, ou militants, ou parfois les deux.

    Donc c'est marrant, ça nous fait rire (ou pleurer), ça nous interresse parce qu'on adore ça. Mais au final, les Mélanchon ou Dupont Aignan, malgré tout le bien qu'on peut penser d'eux, verront que le deuxième tour sera souvent UMP contre PS. Car au final le rassemblement se fait toujours, quand y a des élections à gagner, et des places à se distribuer entre petits copains tout en haut.

    Donc Xavier Bertrand pourquoi pas finalement... C'est pas un meneur d'homme, et il a le charisme d'un sombre milieu de terrain défensif du ventre mou du championnat de Ligue 2, mais c'est un gars qui fera le métier. Et qui est "loyal vis à vis du président de la République" d'après ce que dit Devedjian...

    La fin des partis ? Tant qu'il y a des places à distribuer, bien sur que non... Que ça soit dommage ? Peut être...

    Bonne semaine à tous

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  9. On est mal barré, cette élection au PS sentait mauvais depuis le début.
    Quand à la bêtise, c'est le programme PS tel qu'on nous le sert depuis longtemps...
    Attention aux piétons, laisses-en pour les autres...

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  10. Tu as vu le nouveau bureau national du PS? il me donne la gerbe...

    Tout à fait OK avec Falconhill sur sa vision de Xavier Bertrand: "il a le charisme d'un sombre milieu de terrain défensif du ventre mou du championnat de Ligue 2, mais c'est un gars qui fera le métier".

    C'est exactement ça.

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  11. il y a clairement un souci, si le clan ségoléniste décide de se poster en embuscade


    sur l'UMP, c'est caricatural: Devedjian commençait à montrer des signes d'indépendance, et sarko commençait à se dire que c'était pas bon de laisser l'UMP à des gens incontrolables

    résultat: bertrand ou hortefeux.

    évidemment un vote aurait été bien trop dangereux

    en 2011, on fera passer l'idée dans les médias que le candidat naturel est le président sortant, ce qui évitera d'avoir à se confronter à Villepin au sein de l'UMP

    mais j'espère que Villepin va pouvoir se présenter tout de même

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  12. Tiens on parle d'embuscade? Mais ça ne vous vient pas à l'esprit que le nouveau BN puisse se planter TOUT SEUL ? sans que personne ne l'aide.

    Au PS, le nombre de gens capables de se fabriquer leur propre peau de banane est considérable. On pourrait rappeler 2002 par exemple, ou certains candidats à la primaire de 2006 qui se sont fait voir dans des clubs échangistes.

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  13. David75

    En 2006 Ségolène Royal était censée ne pas avoir pas de troupe ni de courant derrière elle donc facile a abattre pebseiant-ils.
    Depuis le 21 novembre Aubry et consorts n'ont pas encore prit la mesure de ce qui s'est passé ils font fî de plus de 29% de sa motion et certainement plus de 50% des militants.
    Une chose est sûre comme l'a très bien dit Mélechon Ségolène Royal finira de toute façon par diriger le PS, c'est une question de temps, surement après les européene car je en vois pas comment les élus PS pouurons se passer du soutien de Royal qui est très populaire chez les français.
    Quant aux relations avec le Modem c'est du vent, un chiffon rouge pour tromper les militants, ils s'agit des électeurs du Modem et non de Bayrou.
    Ce qui s'est passé entre les deux tour de la présidentielle était exeptionnel, c'était une urgence, il s'agissait absolument de barrrer la route à Sarkozy mais elle n'a pas été suivie. Nous avons donc le résultat et la situation que nous connaissons.
    Il fût donc facile après coup pour des militants élus pour défendre leur privilèges personnels de fustiger sa prise de position.
    Il va falloir que la direction du PS compte et recompte toutes les voix de gauche faudra avoir et qu'il pourront faire au 1er tour, compter et recompter pour additionner les voix de toute la gauche du moins celle qui voudrons gouverner.

    A cet effet ils n'auront rien d'autre que les sondages pour faire le calcul et les projections des votes.

    Et cette fois ils ne pourront pas tricher pour faire l'appoint après le dépouillement.

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  14. Stef,

    Oui, il faut probablement qu'il change.

    Dorham,

    Elle n'avait pas de difficulté à marcher, contrairement au PS.

    Falconhill,

    Il faut des deux : des gens et des convictions... Il faut des gens pour arriver au pouvoir et porter les convictions. Mais c'est mal engagé...

    Martin,

    Oui, occupons nous de Villepin !

    Dagrouik,

    Moi, les clubs échangistes me sont fermés : je suis célibataire.

    David,

    Tu es comme les autres, tu ne fais que dire "c'est de leur faute". Quant à la popularité de Ségolène Royal chez les Français... heu... on ne doit pas fréquenter les mêmes.

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  15. David75

    Peur être que je me trompe

    Peillon l'explique mieux que moi


    08 décembre 2008 - 08h41
    Politique : Vincent Peillon est l'invité de Christophe Barbier

    http://laposte.lci.fr/infos/france/politique/0,,4184145-VU5WX0lEIDQ0OQ==,00-vincent-peillon-est-l-invite-de-christophe-barbier-.html

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  16. Si Peillon est neutre dans l'histoire...

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  17. "Royal qui est très populaire chez les français" ... ha bon ? *tousse*

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  18. tiens, va voir chez moscovici tu verras que com dab c'est chez lui qu'on trouve le point de vue le plus juste:

    http://moscovici.typepad.fr/blognational/2008/12/libert%C3%A9-et-loyaut%C3%A9.html?cid=141780290#comments

    à croire qu'il lit ici

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  19. J'ai l'impression qu'il faut retenir de ce billet qu'être un expert en politique permet de finalement se rendre compte qu'aucun parti ne rattrape l'autre, ce que bon nombre de gens qui s'en tapent et ne votent pas avaient compris depuis le début.
    C'est désespérant.

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  20. informons nous avec le nouvel obs
    "«Je suis ouverte»
    Ces centristes qui font tanguer Aubry
    A Paris, elle ne veut pas entendre parler du MoDem. A Lille, c'est la lune de miel. Retour sur image

    Martine Aubry sait surprendre. Samedi dernier, la nouvelle première secrétaire du PS reçoit pour la deuxième fois Ségolène Royal et ses principaux lieutenants. La ligne politique, voilà ce qui importe, explique-t-elle en substance à ses visiteurs, avant d annoncer l'élaboration d un texte d'orientation qui condamnera toute alliance du PS avec le MoDem. A ce moment, Vincent Peillon ne peut pas s'empêcher de lâcher : «Alors il va falloir dénoncer tous les accords locaux avec le MoDem ? Et toi, que vas-tu faire à Lille ?»
    A l'occasion du récent congrès du PS, Martine Aubry a réussi un exploit digne des meilleurs dialecticiens : apparaître à Paris comme la championne de l'ancrage à gauche, alors qu'elle gouverne avec le centre et... une partie de la droite à Lille et dans la communauté urbaine. Dans l'exercice de la main tendue au MoDem, Martine Aubry a été plus loin, localement, que Ségolène Royal, nationale- ment. Entre les deux tours de la présidentielle, la candidate socialiste a improvisé un rapprochement avec un François Bayrou qu'elle classait jusque-là obstinément à droite. A Lille, Martine Aubry a mûri son alliance avec le MoDem : «On a commencé à en discuter quelques mois auparavant», reconnaît Olivier Henno, patron de la fédération MoDem du Nord. «Il n'est pas anormal que des gens qui partagent des valeurs humanistes puissent se retrouver, je suis ouverte», déclarait Aubry au «Nouvel Observateur» avant l'élection.


    Le soir du premier tour, un allié «naturel» du PS lillois, Eric Quiquet, le leader local des Verts, conteste l'utilité de cette alliance au centre : la gauche est largement majoritaire dans la ville. Aubry lui rétorque que cette alliance est nécessaire au niveau de la communauté urbaine. Pour la maire sortante de Lille, le vrai challenge est le gain de la présidence de cette communauté, jusque-là détenue par Pierre Mauroy. Pour lui succéder, Aubry a peaufiné son dispositif : un accord avec le MoDem mais aussi avec un collectif d'élus sans étiquette regroupés sous la bannière «Lille Métropole». Ce collectif compte aujourd'hui deux premiers vice-présidents, dont Henri Ségard, par ailleurs membre du groupe UMP au conseil régional du Nord- Pas-de-Calais.
    Tout au long de la campagne interne du PS, Bertrand Delanoë a expliqué à voix basse que la dérive des socialistes du Nord était beaucoup plus grave : à l'entendre, il y aurait eu un accord de désistement réciproque aux élections cantonales de 2008 entre le PS et le MoDem. En l'occurrence, le maire de Paris forçait le trait. Arrivé en tête dans le canton de Lille-Ouest, le candidat centriste a eu la bonne surprise de voir la candidate socialiste se retirer. «Je n'avais rien demandé», jure aujourd'hui Olivier Henno qui a su à l'époque renvoyer l'ascenseur : le MoDem a appelé à voter socialiste dans les autres cantons.
    Martine Aubry justifie ces bonnes manières par le fait que le MoDem du Nord est très antisarkozyste. Ce qui est exact. Elle ajoute qu'elle a commencé par rassembler la gauche : exact à nouveau, mais Ségolène Royal prône-t-elle autre chose ? Tant Jacques Richir, adjoint MoDem à la mairie, qu'Olivier Henno, premier vice-président MoDem à la communauté urbaine, vantent le sens du travail en équipe et la capacité à trancher de la maire de Lille. Dans ces conditions, ses philippiques parisiennes contre le MoDem apparaissent singulières : vérité au-delà de la Deûle (la rivière lilloise), erreur en deçà ?"

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  21. Superpado,

    Qui a mis en avant cette information ? Tu es exactement dans la ligne que je "dénonce" : c'est pas moi, c'est l'autre... sans analyser objectivement ces histoires d'alliance et de REELLE différence entre le nationale et le local.

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  22. Il fallait que ce soit Bertrand, car dans la fourberie, la mauvaise fois, la fausse candeur et l'ouverture d'esprit feinte, il n'a que lui qui puisse rivaliser avec Copé. Ce balourd de chien fidèle de Hortefeux n'a pas ce côté subtil dans l'abject qui caractérise les deux autres. Je sens va bien rigoler.

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  24. Halte au spam.

    Parkane,

    Oui, mais ça fait un peu compliqué...

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  25. Grosse ambiance dis donc today chez toi

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  26. Ce qui est cocasse, c'est que ni toi ni aucun média ne relève que X Bertrand est nommé par le chef de l'Etat, sans aucune discussion démocratique. C'est tellement naturel que ça ne mérite même plus d'être commenté, contesté. C'est comme ça et puis c'est tout...

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  27. Oui, j'exagère en disant que tu ne le mentionnes pas. Mais ça pourrait faire l'objet d'un billet (tu l'as fait!) ou d'articles dans les journaux, d'édito de Jean Michel Aphatie. Bref, un scandale.

    Et d'ailleurs, un député UMP vient de rendre sa carte aujourd'hui: écoueré d'appartenir à un parti où il n'y a plus de débat.

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  28. C'est vrai que c'est hallucinant.
    Mais les gens se disent: "bon bah avec Sarko, c'est comme ça, point barre, au moins on sait. Et puis quand on voit le bordel que c'est au PS, on comprend le fonctionnement de l'UMP."

    C'est triste mais bon, que faire???

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  29. Le trop de démocratie tue le PS,
    l'UMP tue le trop de démocratie,
    un partout, la balle à droite ...

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  30. M. Superpado s'est contenté de recopier le Nouvel Observateur. Sans citer sa source : une distraction, sans doute...

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  31. Martin P : Moscovici est sans doute un mec brillant ( Vive Mosco, hop j'ai soif), n'empêche qu'il s'est fait avoir ( pour ne pas dire baiser) par plus d'un dans cette histoire.

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  32. J'aimerais bien savoir sur quel argument politique Xavier Bertrand est préféré à Brice Hortefeux. Je me demande si ce n'est pas pour continuer à séduire les petites vieilles !
    :-)))

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  33. "Farid Taha a rejoint les left_blogs"

    Une info d'importance planétaire qui aurait pu faire un buzz aussi énorme que l'éphémère doigt d'honneur de Benoit Hamon, passe comme ça au milieu d'un billet sur les partis ...

    Si j'avais su j'aura parti chez Arlette ;-)))

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  34. Un billet entier ?

    Tu rigoles, un BuZZZZZZZZZZZZZ

    On nous a assez fait chier avec les rares PS qui ont voté bayrOu en 2007 et là un des fondateirs du mOdem, conseiller national de surcroit rejoint les leftblogs et tu te pose des questions :-D

    On est mal barrés pour 2012 !

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  35. Oui.

    Les leftblogs n'ont néanmoins la célébrité d'un parti politique. Ca pourrait changer...

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