17 avril 2009

Mais quel vieux c...

Je propose qu’on organise une souscription pour lui permettre de venir tous les soirs à la Comète pour papoter avec Tonnegrande et moi pour lui éviter de rester tout seul devant son écran pendant que l’Irremplaçable vaque à ses activités préférées.

Ca lui éviterait de balancer des billets tournés vers le passé en maudissant l’avenir. Ca lui éviterait de redéfinir les mots en croyant éradiquer les maux.

Tiens ! Il pourrait redéfinir « pédophilie ». Non. Il préfèrera probablement redéfinir « négationnisme ».

Par contre, dans cette souscription, il est souhaitable d’intégrer les consommations de Tonnegrande et les miennes, ainsi que de nouvelles cravates pour moi au cas où des auréoles de bière les rendraient inutilisables, car on ne récompense jamais assez les travailleurs sociaux.

11 commentaires:

  1. J'applaudis des deux mains (enfin quand elles sont libres) à cette suggestion, auquel cas tu peux compter sur ma participation...
    C'est quoi tes cravates au fait ? Armani (là... peut-être que... on me ferait une remise, et je pourrai en acheter deux) Azzedine Alaïa... Je ne propose pas Cardin... trop classique et trop triste pour toi...
    Tiens merci de me faire sourire et surtout rire...
    Pour le reste, il me semble que tu as raison... autant se tourner vers l'avenir et le préparer plutôt que de chercher des responsables parmi "ceux d'avant"... Ceci dit il serait peut-être amusant de placer les jeunes d'aujourd'hui dans le contexte d'autrefois (me souviens encore des conditions de travail et de salaires lorsque j'étais "assistante dans l'enseignement" et qu'il fallait assurer cours et en plus surveillance - réfectoire et dortoir - d'une classe de 40 élèves)pour financer de modestes études... A vrai dire, je ne regrette rien, cela rend plus tolérant...

    RépondreSupprimer
  2. Zut, zut et rezut... j'ai oublié monsieur Tonnegrande... est-ce qu'il porte des cravates lui aussi... Mes plates excuses à lui... je sais qu'il a beaucoup d'humour et qu'il ne m'en voudra pas.

    RépondreSupprimer
  3. Jeffanne,

    Je ne prends jamais de cravate "de marque" par principe (personne ne voit la marque et si on la voyait ça serait de l'exhibition... et surtout c'est complètement con de payer 100 euros quand tu peux n'en dépenser qu'une vingtaine pour un truc qui sera bon à jeter après une tâche de café) (ou de rouge).

    Si tu l'appelles Monsieur, Tonnegrande te pardonnera.

    RépondreSupprimer
  4. Oh mais, Nicolas, je te taquinais juste un tout petit peu (un soupçon quoi, voire l'ombre d'un soupçon) je te sais "très attentif" aux autres et ce, discrètement (là aussi le petit mot pour remonter le moral tu sais l'écrire...).
    Dans l'ensemble, je laisse peu de coms, mais je lis le plus souvent possible... plus précisément dès que je le peux...

    RépondreSupprimer
  5. Ah, enfin mes provocs stupides commencent à donner des résultats tangibles ! J'appuie à donf cette idée de souscription.

    RépondreSupprimer
  6. Didier : tout ça pour en arriver là.

    Nicolas : une solution, la cravate en toile cirée. Découpée par vos soins sur mesure, le gonflement du nœud tenu par trois points de superglu, ajustée à l'aide d'un élastique à culotte ou à nœud pap', invisible sous le col de la chemise. Grand choix de motifs, de l'uni au cerf brâmant dans la clairière, en passant par le style Mondrian ou Walt disney.

    RépondreSupprimer
  7. Didier,

    Ivrogne.

    Suzanne,

    C'est une idée.

    RépondreSupprimer
  8. Qu'est ce qu'il a encore fait ?
    :-))

    [Il semble bien le seul à ne pas voir sur quel chemin il avance, prenant l'opprobre pour de la gloire et nos avertissements pour de la peur de notre part. Bravache de petit chemin…].

    RépondreSupprimer
  9. Tu ne lis pas son blog ? Tu as raison.

    RépondreSupprimer
  10. Nicolas : je ne lis pas tout. Pour les trucs trop réactionnaires, j'ai souvent mieux à faire ! :-))

    RépondreSupprimer
  11. Zut, j'ai loupé une blogowar ?

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux c'est-à-dire tous sauf ceux qui proviennent probablement d'emmerdeurs notoires.