19 octobre 2012

Henri Guaino et la repentance abimée

"Est-ce que ça va nous mener à la repentance sur le conflit algérien ? Si c'est ça j'y suis opposé." J'informe Monsieur Guaino qu'il n'a aucune légitimité pour s'opposer à ce que peut faire le Président de la République. Pour qui il se prend ?

Il a aussi déclaré que François Hollande avait abîmé la France. Ce n'est pas lui qui avait rédigée le discours de Dakar ?

"Si le président de la République va en Algérie, fait acte de repentance pour tout ce qui s'est passé, et qui était horrible, de part et d'autre, que va-t-il dire aux Français dont les parents ou les fils ont été égorgés, éventrés ?" A-t-il aussi déclaré comme s'il était dépositaire de je ne sais qu'elle morale à quatre sous. Est-ce que ce genre de réac peut se mettre dans le crane que s'il y avait la guerre, là-bas, c'est parce que nous avons envahi ces braves gens ?

Les réacs peuvent toujours gueuler contre l'immigration et les gens qui occupent un terrain qui n'est pas "le leur". J'en connais qui gueulent parce que des immigrés Musulmans voudraient nous imposer certaines de leurs "pratiques" mais qui ont oublié qu'on a essayé de leur imposer notre civilisation. 

Je n'ai jamais été un grand partisan de la repentance, parce qu'on n'est pas coupable des crimes qu'ont pu exercer nos aïeux, mais l'exagération opposée me parait complètement ridicule. En fait, si, je suis partisan. Comme le souligne Dorham, ça permet aux réacs de pondre leurs âneries habituelles.

Henri Guaino a été un des plus proches collaborateurs d'un Président qui nous a fait passer pour des guignols dans le monde entier. L'UMP a commis une erreur majeure en lui donnant une investiture qu'il croit légitime d'utiliser pour nous rappeler tout ce qui fait qu'une majorité de Français a voulu foutre la droite dehors. 

La droite forte dans toute sa splendeur devrait aller consulter un psychothérapeute à Boulogne-Billancourt

66 commentaires:

  1. Je ne vois pas bien l'utilité de répeter, encore une fois, que ce qui s'est passé fut horrible, d'un coté comme de l'autre.

    La guerre c'est pas beau et les raisons pour la faire sont rarement justifiés.

    Et si plutot que de systématiquement regarder le passé on s'occupait un peu de l'avenir ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le billet ne porte pas sur les propos de Hollande mais ceux de Guaino.

      Supprimer
  2. Le fait d'être citoyen français me paraît être une légitimité suffisante pour se déclarer opposé à ce que que dit ou fait le président de la République, non ?

    Pour le reste, il est évidemment inutile d'argumenter, j'en suis fatigué rien que d'y penser…

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui mais c'est la manière avec laquelle il le dit qui est rigolote.

      Supprimer
  3. la police française est républicaine , surtout à Sucy en Brie
    donc on n'a jamais rien à lui reprocher

    RépondreSupprimer
  4. "Henri Guaino a été un des plus proches collaborateurs d'un Président qui nous a fait passer pour des guignols dans le monde entier."

    Excusez-moi, mais vous devez confondre ! Guaino n'a jamais, que je sache, été proche de M. Hollande. Si vous avez des informations que je n'ai pas, n'hésitez pas à me les communiquer !

    RépondreSupprimer
  5. Je ne pense pas que la repentance soit utile: et ce n'est pas le terme qui est adéquat.
    Je pense plutôt que c'est la reconnaissance qui doit être privilégiée, laisser faire les historiens et admettre qu'il y a eu des pages noires de notre histoire. C'est plutôt ce que va faire Hollande, il me semble.
    Après, on pourra passer à autre chose.
    Hollande n'a jamais sous-entendu qu'il fallait battre sa coulpe en se flagellant.

    RépondreSupprimer
  6. Tout pareil que Rosa Elle. ;)

    RépondreSupprimer
  7. A ceci près que nous n'avons pas cherché à imposer notre civilisation, bien au contraire. La présence française en Algérie a bel et bien été une occupation, au sens strict du terme. Pour autant le gouverneurs français ont toujours pris soin de conserver aux algériens les structures qui étaient celles auxquelles ils étaient habitués. En fait, il y avait deux modes d'administration de la population : l'administration des européens et l'administration des indigènes. Les provinces ne furent qu'à peine retouchées, les tribus et leurs territoires restèrent inchangées ainsi que leurs divers échelons de commandement : caïds, bachagas, aghas, etc.

    Je veux bien qu'on fasse reproche de la colonisation, je n'ai jamais vraiment compris l'intérêt de la chose pour le pays, car dans le fond elle a été très coûteuse, n'a quasiment rien rapporté au pays à la différence des divers profiteurs qui ont su faire leur pelote. Mais reprocher à la France d'avoir voulu imposer sa civilisation, certainement pas.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Donc mettre tout sur la table serait une bonne chose, non?
      On pourrait donc en débattre avec des documents, des chiffres, des faits historiques vérifiés: admettons que vous aviez raison, la vérité n'est donc pas à craindre pour vous.
      Et de quelle manière la plus éclatante ne peut-elle pas arriver mieux que dans des débats sans tabou?

      Supprimer
    2. Honnêtement j'en ai rien à battre de ces singeries. Ce qui a eu lieu, à eu lieu, on ne peut pas revenir en arrière et changer l'histoire. Alors se confire en chouineries sur le mode "houlalà comme on a été méchants" ça me laisse froid. Je laisse ça aux mateurs de psychologie à deux sous et à tous ceux qui ont honte d'eux, comme vous l'avouez ingénument dans votre dernier billet.

      Ce que je ne supporte pas en revanche, c'est d'impliquer la France là-dedans. La république n'est pas la France, pas plus que les guignols qui s'affublent du titre de "président" ou ceux qui ont pu donner les ordres en 1961.

      Supprimer
    3. il fallait lire "amateurs".

      Supprimer
    4. Le simple fait de débattre sur le sujet reviendrait à faire repentance, car le but du débat est de remettre en cause l'idée de base. Et en effet, c'est du passé, débattre de ce qui s'est passé serait (une fois de plus) une manière de présenter aux Algériens nos plus plates excuses pour des choses qui appartiennent au passé.

      Supprimer
    5. Pierre, c'est Guaino qui a ouvert le débat. Merci d'aller dans mon sens.

      Supprimer
    6. Je croyais que c'était Hollande qui avait ouvert le débat avec ses propos.

      Supprimer
    7. Vas réellement chier, tu es réellement trop con. Hollande parle d'un événement à Paris, Guaino parle de l'Algeriie.

      Fous moi la paix tu sais ce que je t'ai déjà dit.
      1. Un seul commentaire par billet sauf discussion.
      2. Tu n'interviens pas dans les discussion entre moi et les connards.

      Tu n'interviens plus sur ce billet.

      Supprimer
    8. Pourquoi je me marre quand vous me demandez de partir sous forme d'ordre? Vous seriez pas quelqu'un de grognon par hasard, car je trouve ça plutôt drôle.
      Je me casse, bon week-end quand même!

      Supprimer
  8. Gaino a parfaitement raison, et le discours de Dakar était bien en-dessous de la réalité. Evidemment, c'est plus facile de dire aux Africains qu'ils sont formidables, qu'on a tout à apprendre d'eux, etc., que de les inciter à se sortir de la merde tout seuls, comme des grands, en se mettant un peu à la page (c'était là le sens du fameux discours, que les opposants systématiques ont fait semblant de comprendre de travers).

    Dans cette affaire d'octobre 61, Hollande se comporte comme un traître qui brade la mémoire de la France dans l'espoir d'être bien accueilli à Alger. Il se place ainsi en position d'infériorité : "oui, nous sommes les méchants, je le reconnais", ce qu'un chef d'Etat ne devrait jamais faire, quelque soit la vérité historique. Voilà en tout cas ce qu'un Mitterand, lecteur de Machiavel, s'était toujours refusé à faire, lui. Il est vrai que Mitterand savait un peu mieux de quoi il parlait, en matière de guerre d'Algérie...

    Hollande s'enfonce chaque jour un peu plus dans les questions annexes, repentance, mariage homo..., parce qu'il est incapable de faire quoi que ce soit en politique générale et sérieuse, mains liées qu'il est par le traité européen. Il n'y aura bientôt plus que vous, Nico, pour le défendre.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Surtout que la Françafrique existera toujours. A cause des réseaux bien plus concrets que les incantations de mister Mhollande.

      Supprimer
  9. marco polo
    refais donc la route de la soie pour méditer à ton anerie

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci du conseil. Il est tellement argumenté que je vais m'empresser de le suivre, c'est sûr.

      Supprimer
  10. Mon appeau à trolls reacs a fonctionné à merveille. C'est un bonheur.

    Hollande n'a rien dit. C'est Guaino et qui a fait une supposition idiote.

    Et voilà les reacs avec leur habituelle couche de réécriture de l'histoire, sans compter le royaliste imbécile de service qui avait déjà été viré de ce blog.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Hollande n'a rien dit, mais tous les journaux d'Algérie font leur une sur ce non-discours, c'est étrange.

      Supprimer
    2. Qui a écrit ça : "on a essayé de leur imposer notre civilisation." Moi ou vous ?

      Je me suis contenté de recadrer votre propos.

      S'il y a bien un imbécile, c'est vous. Car sur le fond je ne remets pas en cause votre appréciation de l'aventure coloniale.

      Supprimer
    3. Recarder ? Mouarf... S'ils voulaient quelques droits ils fallait qu'ils demandent la nationalité, la nôtre. 50 ans après une grande partie de leur presse est encore en français.

      Recadrer ? Mouarf ! Un imbécile qui ne reconnaît pas la république vient nous expliquer ce qu'elle devrait faire ou ne pas faire !

      Qui est l'imbécile ? Le vieux con aigri ?

      Supprimer
    4. le pilier de bistrot ?

      Supprimer
    5. Ceci dit, vous êtes un inculte. La nationalité, ils l'avaient. Seulement leur statut ne leur ouvrait pas les mêmes droits qu'aux européens. Et ça mon gros, c'est le fruit de votre république chérie. Et l'aventure coloniale a été le fait de politiciens de gauche soutenus par les libéraux de l'époque.

      Supprimer
    6. Ne joue pas sur les mots imbéciles. Pour avoir les droits civiques, donc pour être comme les autres Français, il fallait demander.

      Supprimer
    7. Oui et qui a accouché de cet état de fait sinon votre république ? Et qui était à l'origine de cette aventure sinon les précurseurs du socialisme épaulés par les libéraux ?

      Supprimer
    8. Vive les incultes. Le Président du conseil était Polignac quand la marine française est partie pour l'Algérie.

      C'est bien ce que je dis , tu détournes les conversations, tu réécris l'histoire.

      Pauvre fou.

      Supprimer
    9. La conquête de l'Algérie s'est limitée à l'époque aux régions côtières et à l'immédiat arrière-pays. La conquête générale de ce pays qui n'avait aucune existence avant l'occupation française, est intervenue à la suite de l'insurrection d'El-Mokrani en 1870/1871.Quant à la conquête des régions sahariennes elles ont été bouclées vers 1900.
      Par ailleurs, je me permets de vous faire remarquer que jusqu'à l'arrivée de la république, il ne s'agissait que d'une occupation militaire, d'une gestion administrative avec création d'un cadastre inexistant avant destiné à gérer l'attribution de terres à des colons. Le statut de l'indigénat a été une création républicaine. Avant on se contentait de garder le pays militairement soumis, il n'a jamais été question de leur imposer notre civilisation.

      Supprimer
    10. Ne rechange pas le sujet. La consolidations a bien commencé sous la royauté.

      Maintenant vas chier ailleurs j'ai bistro.

      Supprimer
    11. Cet échange a du relief en tout cas.
      Bien joué les gars.

      Supprimer
    12. Bonne bibine, profitez, ça risque d'augmenter.

      Supprimer
  11. Notre envoyé spécial à l’Elysée s’est procuré le texte que prépare François Hollande pour sa prochaine visite en Algérie pour satisfaire les commentateurs réactionnaires du dernier billet de ce blog qui vivent dans leur monde à eux en délire permanent.



    Mesdames, Messieurs,



    En juillet 2005, le Président Chirac avait fait acte de repentance pour la colonisation. Je ne vais pas recommencé, il y a eu trop de loi qui ont ravivé d’anciennes blessures.



    Par contre, je présente mes sincères excuses au peuple Algérien pour que les colons Français aient refusé de se laisser massacrer lors de ce que nous appelons, chez nous, la « guerre d’Algérie ». Les militaires français ont commis les pires atrocités pour empêcher des tueries qui étaient pourtant parfaitement justifiées vu que nous étions les envahisseurs.



    Je vous remercie d’accepter à nouveau ces excuses et j’ai le plaisir de vous informer que nos frontières seront totalement ouvertes à vos compatriotes et qu’ils pourront manger gratuitement dans toutes les cantines réservées aux fonctionnaires et bénéficieront en priorité des logements sociaux.



    Je n’aime pas les riches, mais j’aime bien l’Algérie, le peuple Algérien !



    Vive la France,

    Mais surtout,

    Vive l’Algérie !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Finalement c'est Didier Goux qui avait raison : argumenter est vraiment inutile. Soit on ne comprend rien à ce que vous dites, soit c'est truffé de poncifs.

      Supprimer
    2. Mais non. Tu argumentes à partir de conneries de Guaino puis tu viens sortir des conneries grosses comme toi.

      Tu es ridicule. Comme chez Didier.

      Supprimer
    3. Faudra dire à celui qui a écrit le texte du président qu'il y a une faute à "recommencé".
      Je sais, à l'oral ça ne change rien mais c'est un texte présidentiel quand même !

      Supprimer
    4. Si tu n'as que ça à dire...

      Supprimer
  12. Très bien, je pense exactement la même chose.

    David75

    RépondreSupprimer
  13. Je pense que sous Sarko, la France était Guignol pour les pays du sud, mais un sacré partenaire pour les pays du nord, du fait que le couple Sarko/MémèreKel était assez redoutable.

    Au sujet de Guaino, je dirai qu'il joue son rôle d'opposition. Comme si finalement, depuis plus de 15 ans, l'opposition se devait de beugler et ne jamais proposer. Car en France, l'opposition n'a jamais son mot à dire face aux gouvernements de copains qui nous dirigent.

    La Droite Forte c'est surtout Pelletier pour moi. Ce sera la figure UMPiste dans quelques années s'il reste dans ce parti.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mais non. Sarko était la risée du monde entier. Tout ce qu'il voulait c'est faire les déclarations après avoir reçu les ordres de Merkel pour épater les clowns comme toi.

      Supprimer
    2. Oh! Salaud. Non, je ne suis pas sur qu'il n'y ait que les clowns comme moi. De nombreux journaux relayaient l'etat d'esprit des pays concernés, et tout n'était pas mauvais.
      Entre nous, mieux vaut obéir au 1er de la classe qu'aux cancres. Ca me paraît bien plus intelligent que la ligne socialiste, qui obéit aux pays du sud.

      Supprimer
    3. Le rôle de l'opposition ne consiste pas à dire n'importe quoi tout le temps sur n'importe quoi. Une vraie opposition doit faire des propositions et non à critiquer du matin au soir juste pour critiquer.

      David75

      Supprimer
  14. Vas chier aussi. Tu ne comprends rien. Il répondait oui à la politique qui a ruiné l'Europe.

    RépondreSupprimer
  15. Le guaino c'est bien la fiente des mouettes, mais pourquoi Henri???
    A cause de Henri, Henri en s'amuse , quand ça tombe sur la tronche ???

    RépondreSupprimer
  16. Nicolas, vous passez de plus en plus votre temps à envoyer chier Pierre, Paul ou Jacques, sans le moindre argument à produire contre Pierre, Paul ou Jacques.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Didier,

      Je ne sais pas trop ce que vous appelez "argumenter". Si argumenter, c'est reproduire le texte absolument grotesque et imbécile que vous avez reproduit hier, alors, force est de constater que c'est un exercice peu engageant... Toute l'argumentation de ce texte, pour qui veut réfléchir, sans dogmatisme, est assez aisé à contester et à réduire en cendres. Par exemple, l'argument selon lequel la morgue n'a reçu que 4 corps. C'est amusant, la veille vous accusiez les scientifiques d'avoir comploté pour inventer le réchauffement climatique, sous le regard bienveillant des états consentants. Mais en l'espèce, si l'on parle du massacre d'octobre 61, on n'imagine pas une seconde que les chiffres aient été bidouillés et on conteste la prise en compte de statistiques sur plus de deux jours après l'évènement. Alors que ce serait le bon sens si l'on prend en compte les versions accréditant la thèse de corps jetés dans la Seine. Ou celles qui évoquent une police coupable, qui se serait empressé de maquiller ses crimes. C'est tellement grotesque que c'en est risible. Où est donc passé votre esprit critique ? Vous essayez de faire croire à tout le monde que vous, les réacs, êtes des types absolument libres de toute entrave, mais étrangement, vous orientez toujours l'Histoire dans le même sens... Ne dites pas que cela vous fatigue d'argumenter. Parce que vous ne le faites pas...

      Supprimer
    2. Ah ! Te voilà, toi ! Je fais un billet pour toi et tu mets des heures à arriver.

      Supprimer
    3. S'il y avait eu autant de corps que cela, les morgues auraient débordé. Or, malgré l'acharnement des journalistes compagnons de route, on ne trouve aucun article là-dessus. Autant je veux bien croire que l'IML de Paris pouvait être sous contrôle, autant il me semble spécieux d'imaginer qu'on ait pu contrôler celles de plusieurs hôpitaux, proches du cours du fleuve, d'autant que les moyens de communication de l'époque étaient plus rudimentaires qu'aujourd'hui, et que cela représente énormément de personnel à mettre au secret.

      Supprimer
    4. Nicolas,

      Hier, c'était carrément le bordel.

      Koltchak,

      Honnêtement, vous m'exaspérez. Il y a sans doute une vérité entre celle qui consiste à dire qu'il y eut 4 morts et celle qui voudrait faire croire qu'il y en eut des centaines. Documentez-vous au-delà de ce qui fonde votre idéologie.

      Vous êtes consternant. Vous vous prétendez catholique mais vous n'avez de compassion pour à peu près personne. Tous vos propos sont violence, rejet, mise en cause personnelle. "Tant mieux si untel s'est fait péter la gueule" ; "qu'untel aille se faire foutre" ; "que tel autre crève"...

      Supprimer
    5. Oui, il est consternant. Mais arrête de lui répliquer, je lui ai demandé de se barrer.

      Supprimer
  17. Didier, deux choses

    La première : vous avez dit vous mêmes que ce n'était pas la peine d'argumenter. Ne me dites pas que vous croyez encore que ça serve à quelque chose tant je trouve certaines positions grotesques.

    La deuxième : ils sont partis en sucette sur un procès d'intention que fait Guaino à Hollande, c'est leur problème.

    Cela étant Kolmachin et Didier Goux sont tarés et Pierre fait tout pour prouver qu'il est débile léger.

    Dites moi où j'ai manqué d'arguments... Ils étaient tous en train de réécrire l'histoire ou de raconter des conneries.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'était juste pour le plaisir de vous énerver un chouïa…

      Supprimer
    2. En plus, j'ai même réussi à tirer Dorham de sa somnolence naturelle : c'est beau.

      Supprimer
    3. Hé ! Toutes mes excuses, dans le message précédent, je dis que vous êtes taré, je pensais à Marco Polo. Vous n'êtes pas taré. Enfin, moins.

      Supprimer
    4. Depuis quand ma somnolence serait naturelle ? Je ne somnole pas, vous conjecturez. Cela fait bien longtemps que je ne réagis plus à chaque mouvement d'orteils des réacs. Comme je vous l'ai dit, je sais trop souvent ce qu'ils vont écrire avant même qu'ils y pensent.

      Supprimer
  18. Ricky ou la vie moche20 octobre, 2012 01:31

    "s'il y avait la guerre, là-bas, c'est parce que nous avons envahi ces braves gens"

    C'est bien. Ca marche aussi en sens inverse?

    RépondreSupprimer
  19. Guaino, qui essaie de ressortir le thème de l'irresponsabilité gaulliste pour tout et n'importe quoi.
    La parenthèse de 40 à 44 (donc la déportation c'est surtout pas non, c'est l'"Etat français"),
    itou pour le 17/10/61.
    On inverse la logique, et on blâme la repentance, bien usée jusqu'à la corde depuis la campagne 2007.
    Et le mec, pas à un procédé classieux près, oppose les victimes de cette chasse sanglante à l'homme dans Paris aux "Français dont les parents ou les fils ont été égorgés, éventrés" ?
    Ah bon, défoncer des manifestants - alors nationaux français, même si ils ne disposaient pas de droits politiques - c'était pour défendre la sécurité des français pieds-noirs ?
    Et le pouvoir gaulliste qu'il adule tant, il a pas tout fait pour faire passer les pieds-noirs rapatriés pour un bloc uniforme d'extrêmistes & exploiteurs, histoire de les rendre inaudibles, au ban de la République.
    Sacrés beaux principes, Riton Guaino

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...